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L’Europe Et L’Amérique Dans La Prophétie

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La plus grande nation du monde est-elle ignorée dans la prophétie biblique? Si c’est le cas, comment la prophétie pourrait-elle être considérée comme étant valide? Comment la prophétie pourrait-elle être inspirée, si les États-Unis d’Amérique ne sont mentionnés nulle part?

Assurément, si la prophétie biblique est pertinente pour notre époque, ALORS, elle DOIT mentionner les États-Unis! Beaucoup de petites nations insignifiantes sont mentionnées: l’Éthiopie, la Libye, la Syrie, l’Égypte. Les étudiants de la prophétie savent que beaucoup de nations du Moyen-Orient sont identifiées ; certaines d’entre elles par leurs noms modernes. Qu’en est-il de la Grande-Bretagne, du Canada, de l’Australie ; du Commonwealth? Et qu’en est-il des nations de l’Europe?

La montée en puissance vertigineuse du pouvoir et de la grandeur nationale des États-Unis est sans précédent dans toute l’histoire! Le cours de l’histoire du monde a été considérablement modifié par la montée en puissance des États-Unis.

Aujourd’hui, nous sommes une superpuissance majeure. Les astronautes américains ont marché et conduit un véhicule sur la surface de la lune. En deux guerres mondiales, les américains ont apporté un soutien décisif à leurs frères en Angleterre et en France, ainsi qu’à d’autres nations émergentes, victorieuses dans les luttes mondiales qui ont conduit directement au statut de superpuissance de l’Amérique.

Pensez à l’histoire du monde au cours des cent dernières années! Quelle influence l’Amérique a-t-elle exercée? Combien important la contribution de l’Angleterre a-t-elle été ?

Il est absurde de croire que les prophéties de la Bible pourraient être précises ; qu’elles pourraient être mises à jour, dépeignant des événements devant se produire de nos jours, MAINTENANT, si elles omettent de mentionner les États-Unis et la Grande-Bretagne! Ce serait un manquement, une erreur aussi grossière jusqu’à contester la crédulité de la Bible elle-même!

Mais les États-Unis sont bel et bien mentionnés dans la prophétie biblique. Croyez-le ou non, plus fréquemment que toute autre nation!

Les prophéties bibliques sont-elles simplement de la littérature d’un âge passé, des histoires qui se racontent autour d’un feu de bois par des voyants et des sages d’antan? Sont-elles des déclarations courroucées de prophètes indignés? Sont-elles simplement des anciens fragments d’une langue morte utilisée par la littérature d’une race oubliée ; des histoires, des généalogies, des mythes?

Ou bien, le bon tiers de la Bible, qui est en fait de la prophétie, est-il pertinent, significatif pour NOUS, pour nos enfants et petits-enfants à cet âge nucléaire moderne?

LA FAMILLE D’UN SEUL HOMME

À bien des égards, la Bible pourrait être appelée l’histoire de «la famille d’un seul homme». En seulement quelques courts chapitres, un sixième de toute l’histoire du monde est couverte ; depuis la création jusqu’au déluge de Noé, soit une période d’environ mille ans.

Ensuite suit le récit du peuplement de la terre par les enfants de Noé ; la tentative de fusion raciale et la tour de Babel ; la division des nations et de la confusion de leurs langues, le tout en quelques chapitres seulement. À partir du douzième chapitre du premier livre de la Bible, la Genèse, nous commençons à lire des passages à propos d’un homme nommé «Abram», qui a été appelé par Dieu pour une grande mission dans sa vie. Allez à ce douzième chapitre vital et lisez-le vous-même.

« L’Éternel dit à Abram: Va-t’en de ton pays, de ta patrie, et de la maison de ton père, dans le pays que je te montrerai.

Je ferai de toi une grande nation, et je te bénirai ; je rendrai ton nom grand, et tu seras une source de bénédiction. Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi.» (Genèse 12: 1-3)

Quelle promesse!

Ce fut une promesse de reconnaissance de Dieu Tout-Puissant. Cela signifiait qu’Abram aurait un grand nom. Des millions de personnes ne luttent-elles pas pour la reconnaissance, pour la «célébrité», ainsi que la fortune? Des millions de personnes n’espèrent-elles pas de «se faire un nom»? Ceci était une promesse d’une grande richesse, de renommée et d’une réputation si grande que ceux qui «bénirait» Abram, serait eux-mêmes les récipiendaires de grandes bénédictions!

Ce qui suit est un exemple exceptionnel de l’obéissance d’un homme à Dieu. Sans contester, Abram fit exactement tel que cela lui avait été dit. Il obéit Dieu!

Plus tard, dans les écritures à travers la Bible, Abraham, comme il sera connu, est appelé le «père de la foi». Il est un exemple de l’obéissance INCONDITIONNELLE à Dieu! Abraham vint à comprendre que lorsque Dieu parle, on OBÉIT instantanément, sans équivoque, sans doute ou contestation! Ce fut une qualité de caractère qui conduit ce grand homme à se faire aimer par Dieu, une qualité de caractère presque totalement manquant à l’humanité d’aujourd’hui!

«L’Éternel dit à Abram, après que Lot se fut séparé de lui: Lève les yeux, et, du lieu où tu es, regarde vers le NORD ET LE MIDI, VERS L’ORIENT ET L’OCCIDENT ; car tout le pays que tu vois, je le donnerai à toi et à ta postérité pour toujours

«Je rendrai ta postérité [vos enfants, ta descendance] comme la poussière de la terre [des centaines de millions de personnes], en sorte que, si quelqu’un peut compter la poussière de la terre, ta postérité aussi sera comptée.» (Genèse 13: 14-16).

Dieu ne promet pas que les enfants d’Abram deviennent juste une petite nation vivant péniblement au Moyen-Orient! Ce n’est pas une description d’«Israël» de ces temps modernes, une nation moderne, entourée par des nations arabes hostiles, luttant pour leur survie.

Les Juifs en Israël moderne composent à peine une nation aussi grande ; un peuple occupant tous les points de la boussole aussi nombreux que «la poussière de la terre».

Plus tard, Dieu a étendu cette merveilleuse promesse à Abram! Il a promis au petit-fils d’Abraham, Jacob (dont le nom fut changé en «Israël»): «Et ta postérité sera comme la poussière de la terre, et tu te répandras à l’ouest et à l’est, et au nord, et au sud: en toi et en ta postérité toutes les familles de la terre seront bénies!»

De toute évidence, cette grande promesse indiquait clairement que les enfants d’Abraham «se répandraient A L’ETRANGER» à partir de l’ancienne terre de Palestine ; qu’on les trouverait finalement dans toutes les directions; nord, est, sud, ouest, à partir de la Palestine! Ils se compteraient en plusieurs MILLIONS de personnes aussi nombreuses «que la poussière de la terre»!

Cette promesse a transcendé les frontières nationales étroites de l’ancienne Palestine! Cette promesse était MONDIALE!

Fixer cela fermement dans votre esprit, et n’oubliez jamais, qu’Abraham et ses enfants ont reçu la promesse d’avoir une Progéniture de plusieurs millions de personnes, à maintes et maintes reprises! Il y a ceux qui tentent de tromper et de confondre, en affirmant que la promesse de bénir le monde par la postérité d’Abraham ne signifiait que le Christ seulement! Comme nous le verrons, il est fait référence de manière définie «à UNE SEMENCE» qui était le Christ ; et il est vrai qu’il y a une dualité dans la promesse : «Et toutes les nations de la terre se béniront en ta semence». Mais fixez fermement dans votre esprit la façon dont Dieu a fait la promesse, encore et encore, d’innombrables semences, comme la «poussière de la terre» à Abraham, son fils et petit-fils ; qu’ils devaient se répandre sur la terre vers tous les points cardinaux.

Abraham fit exactement ce que Dieu avait ordonné. En conséquence, Dieu confirma Sa promesse à Abraham de nombreuses fois. Il dit: «… Regarde vers les cieux, et [compte] les étoiles, si tu peux les compter. Et il lui dit: Ainsi sera ta semence.

Et il crut l’Éternel; et il lui compta cela à justice.» (Genèse 15: 5, 6)

Cette promesse de plusieurs millions de descendants se produit deux chapitres avant l’«alliance» finale entre Dieu et Abraham ; avant le changement de nom ; de «Abram» à «Abraham», ce qui signifiait, «père de plusieurs nations».

JH Allen a écrit peut-être l’un des plus connu de ses nombreux livres attestant l’identité de la Grande-Bretagne et de l’Amérique actuelles dans la prophétie biblique. Dans l’avant-propos de son livre bien connu Judah’s Sceptre and Joseph’s Birthright (en français Le Sceptre de Juda Sceptre et le Droit de Naissance de Joseph), Allen dit : «Bien que cela ne soit généralement pas connu, il est néanmoins vrai que Dieu a fait deux alliances avec Abraham, ou, plutôt, qu’il a fait une avec Abram et en a fait une autre avec ce même homme après que son nom ait été changé en Abraham. Ce changement de nom fut fait pour s’harmoniser avec le nouveau personnage et le nouvel ordre des choses qui se rapportent à l’homme de l’alliance.

«La première alliance (avec Abram) fut faite quand l’homme était âgé de 90 années ; mais la seconde, (avec Abraham) ne fut faite que quand cet homme fut appelé à faire l’un des plus grands sacrifices de sa vie.»

Nous verrons ce grand test requis d’Abraham un peu plus tard.

Maintenant, remarquez cette deuxième alliance (celle avec «Abraham») que Dieu fit: «Lorsque Abram fut âgé de quatre- vingt-dix-neuf ans, l’Éternel apparut à Abram, et lui dit: Je suis le Dieu Tout-Puissant. Marche devant ma face, et sois intègre. J’établirai mon alliance entre moi et toi, et je te multiplierai à l’extrême. . . et Dieu lui parla en disant : Voici mon alliance, que je fais avec toi. Tu deviendras [va devenir] PERE D’UNE MULTITUDE DE NATIONS!

«On ne t’appellera plus Abram ; mais ton nom sera Abraham, car je te rends père d’un multitude de nations.

«Je te rendrai fécond à l’extrêmes, je ferai de toi des nations [PLURIEL! PLUS D’UNE NATION!] Et des rois [PLURIEL! BEAUCOUP DE ROIS!] sortiront de toi.

«J’établirai mon alliance entre moi et toi, et tes descendants [pluriel! semences multiples et nationales, comme la poussière de la terre et les étoiles du ciel pour nombre!] après toi, selon leurs générations : ce sera une alliance perpétuelle, en vertu de laquelle je serai ton Dieu et celui de ta postérité [millions d’entre eux] après toi.

«Je te donnerai, et à tes descendants après toi, le pays que tu habites comme étranger, tout le pays de Canaan, en possession perpétuelle, et je serai leur Dieu.

«Dieu dit à Abraham: Toi, tu garderas mon alliance, toi et tes descendants après toi, selon leurs générations.» (Genèse 17: 1-9)

Cela laisse-t-il le moindre doute dans votre esprit sur les promesses de Dieu à Abraham de plusieurs MILLIONS de personnes comme progéniture? Combien de grains de poussière sont là? Combien d’étoiles pouvez-vous voir? Les scientifiques nous apprennent qu’il y a quelque chose comme deux cents MILLIARDS d’étoiles seulement dans la voie lactée. Bien que ce soit de toute évidence une métaphore, et non destiné à prédire un nombre fini, Dieu tient absolument à ses promesses en ce que la descendance d’Abraham allait devenir de nombreux pays que toutes dynasties de rois seraient parmi ses descendants ; que, finalement, des MULTIPLES MILLIONS d’êtres humains allaient descendre d’Abraham!

Toute personne qui tente d’interpréter ces faits comme ne s’appliquant qu’à «cette seule Semence», qui est le Christ, tronque violemment la Parole sacrée de Dieu! Notez-le bien; que cela brûle profondément dans votre esprit et que vous ne l’oubliez jamais!

(1) «Abraham», le nouveau nom d’Abram, signifie «Le père des PLUSIEURS NATIONS».

(2) Dieu a promis: «… Je ferai de toi des NATIONS … »

(3) Dieu a promis: «…DES ROIS [pluriel! Plus d’un!] sortiront de toi».

(4) Dieu a promis: «Je vais établir mon alliance entre moi et toi, et ta postérité [pluriel!] après toi, dans   LEURS [pluriel!] générations! »

(5) Dieu a promis: «Je te donnerai la terre à toi et à ta postérité [Pluriel!]… »

(6) Dieu a promis: «Je serai LEUR [pluriel!] Dieu! »

(7) Dieu promit (à maintes et maintes reprises, qu’Abraham devait devenir l’ancêtre de nombreux pays; que des dynasties entières de rois venaient de lui ; que sa progéniture allait devenir «comme la poussière de les étoiles du ciel» en nombre.

Pourtant, comme dans de nombreux cas dans la Bible, en particulier dans la prophétie, il y a souvent DUALITÉ dans la Parole de Dieu. Par la suite, comme nous le verrons, les enfants de Jacob (dont le nom a été changé en Israël) reçurent des déclarations spécifiques, et prophétiques: chacun des douze fils de Jacob (treize en tout, car Éphraïm et Manassé étaient les deux fils du fils préféré de Jacob, Joseph) ont reçu une prophétie nationale spécifique -un aperçu de l’avenir ; montrant les caractéristiques nationales; l’héritage ultime de chacun.

UNE PROMESSE INCONDITIONNELLE

Au début, Dieu a dit à Abraham : «Marche devant moi, et sois parfait, et je serai un Dieu pour toi». Il a fait des promesses à Abraham conditionnelles, sur la base de l’obéissance d’Abraham. Mais plus tard, comme nous allons le voir, Dieu a fait ces promesses absolument inconditionnelles.

Lisez Genèse, le chapitre 22. Ceci est le récit de la façon dont Dieu ordonna à Abraham de faire quelque chose qui semblait tout à fait impensable, impossible!

Bien qu’Abraham et Sarah avaient été sans enfants pendant toute leur vie d’adulte jusqu’à ce qu’ils fussent très vieux, Dieu, à plusieurs reprises, promis à Abraham qu’il deviendrait un père qui à travers son fils, deviendrait l’ancêtre de nombreuses nations. « Dieu dit à Abraham: tu ne donneras plus Saraï, ta femme, le nom de Saraï, mais son nom sera Sara.

«Je la bénirai, et je te donnerai d’elle un fils ; je la bénirai, et elle deviendra la mère des nations, et des rois de peuples sortiront doivent d’elle.

«Abraham tomba sur sa face ; il rit, et dit en son cœur : Naitrait-il un fils a un homme de cent ans ? Et Sara, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait – elle ?

«Et Abraham dit à Dieu: Oh ! Qu’Ismaël vive devant ta face! (Ismaël était le fils d’Abraham par sa servante, Hagar.)

«Dieu dit : certainement Sara, ta femme, t’enfantera un fils ; et tu l’appelleras du nom d’Isaac. J’établirai mon alliance avec lui comme une alliance perpétuelle pour sa postérité après lui. . . J’établirai mon alliance avec Isaac que Sara t’enfantera à cette époque-ci de l’année prochaine. » Genèse 17: 15-21)

Dieu a répété la promesse dans Genèse 18, où vous avez lu le récit du messager de Dieu confirmant la promesse de Sarah et Abraham sur la parentalité ; du rire incrédule de Sarah, se croyant beaucoup trop vielle pour procréer.

Vient ensuite le récit du sauvetage de Lot et de sa famille de Sodome ; la destruction de Sodome et Gomorrhe par le feu (et le puissant témoignage de l’attitude de Dieu envers l’homosexualité!).

Genèse 21 contient le récit de la naissance d’Isaac:   « l’Éternel se souvint de ce qu’il avait dit à Sara, et l’Éternel accomplit pour Sara ce qu’il avait promis.

«Sarah devint enceinte, et elle enfanta un fils à Abraham dans sa vieillesse, au temps fixé dont Dieu lui avait parlé.

«Abraham donna le nom d’Isaac qui lui était né, que Sara lui avait enfanté…» (Genèse 21: 1-3)

Abraham savait que Dieu avait tenu sa promesse! Enfin, il eut un fils de ses propres reins ; un fils de son propre bien-aimée épouse, Sarah! Avec plus de cent ans d’âge à la naissance d’Isaac, Abraham devait être grandement ravi par le jeune homme ; il pouvait voir en lui l’accomplissement de nombreuses promesses de Dieu ; se rendit compte qu’Isaac deviendrait l’ancêtre de rois, de nations, des centaines de millions personnes!

Puis vint une rude épreuve!

Abraham doit avoir été presque abasourdi quand Dieu lui ordonna de sacrifier son propre fils, le fils même que Dieu avait promis. À cette époque, Abraham avait envoyé Agar et Ismaël pour régler la difficulté de la famille ; la jalousie et le ressentiment entre Sara et Agar. Dieu avait sauvé Sarah d’Abimélec, un pacte avait été fait entre eux, et Abraham avait creusé un puits à Beersheba et qu’il avait appelé «le puits du serment de sept» pour rappeler l’accord entre Abraham et Abimélec.

Puis, comme dans un coup de tonnerre, Dieu dit à Abraham: «Prends ton fils, ton fils unique, Isaac, que tu aimes, et sors dans le pays de Morija ; et là offre-le en holocauste sur l’une des montagnes que je te montrerai.»

Était-ce possible? Était-ce pensable? Ici, Dieu avait promis encore et encore à Abraham qu’il aurait un fils ; que, grâce à ce fils, il deviendrait l’ancêtre de centaines de millions de personnes ; que des lignées de rois sortiraient de lui. Maintenant, il semblait que Dieu changeait Son avis! Dieu lui ordonnait maintenant de sacrifier Isaac! De tuer le fils qu’il aimait par-dessus, qu’il aimait plus que sa propre vie!

Ce qui suit est un exemple de foi et d’obéissance pratiquement sans égal dans l’histoire! Des siècles plus tard, Paul a écrit: «Que dirons-nous donc qu’Abraham, notre père, selon la chair, a obtenu? Si Abraham a été justifié par les œuvres, il a sujet de se glorifier [se vanter]; mais non devant Dieu.

«Car que dit l’Écriture? Abraham crut à Dieu, et cela lui fut imputé à justice.» (Romains 4: 1-3).

Dans ce chapitre, se trouve l’une des meilleures descriptions bibliques de la foi couplée avec et illustrée par l’OBÉISSANCE! Paul dit: «Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu ; et AYANT LA PLEINE CONVICTION QUE CE QU’IL PROMET IL PEUT AUSSI L’ACCOMPLIR !» (Romains 4:20, 21)

Dieu avait promis qu’Abraham deviendrait le père de plusieurs nations ; qu’il deviendrait l’ancêtre de centaines de millions de personnes ; de rois! Puis, il lui a donné Isaac. Maintenant, il ordonnait à Abraham de sacrifier Isaac! Ensuite, qu’est-ce que Dieu envisageait-il de faire ?

L’esprit charnel ; un esprit influencé par Satan, commencerait à DOUTER de Dieu à ce point! Il serait rempli d’ apitoiement ; avec l’illogisme apparent de tout cela! Il serait rempli de ressentiment! «Que fait Dieu?» L’esprit charnel se demanderait dans l’apitoiement et le doute: «Mais ce n’est pas juste, Dieu donne, et ensuite Il enlève!»

L’esprit charnel penserait: «Mais, ce serait un assassinat! Dieu ne dit-Il pas, dans sa propre loi, tu ne tueras point? Et maintenant, Il me dit de tuer mon propre fils !» Un torrent d’indignation, d’apitoiement sur soi, de colère, d’hostilité, de ressentiment, d’incrédulité et de doute, ferait rage à travers l’esprit charnel, un esprit qui n’a jamais été «pleinement persuadé que, ce qu’Il avait promis, Il le réaliserait aussi!»

Et Abraham? Qu’en pensait-IL?

Nous ne pouvons pas le savoir exactement, mais voici, juste une hypothèse très logique! Il a dû penser:

(1) Alors Dieu va ressusciter immédiatement Isaac! Il ne permettra pas à Sa parole d’échouer! Il a promis, et, comme Il est Dieu, Il ne peut pas mentir, il ne reviendra pas sur Sa parole. Par conséquent, Il a l’intention de ressusciter Isaac ; de le ramener à la vie!

(2) Ou, sinon, alors Dieu va me donner un autre fils! Peut-être deux, ou trois, ou cinq, ou dix! Mais Dieu va sûrement accomplir Sa parole envers moi, comme Il l’a promis!

(3) D’ailleurs, qu’est-ce que je dois à Dieu? Je lui dois ma vie ; tout ce que je possède. Je Lui dois la liberté de Sarah; ma femme aurait pu m’être enlevée et je ne l’aurais plus jamais revue si elle avait fait partie du harem d’Abimélec! Oui, Dieu m’a aidé ; Il épargné Sarah et m’a donné Isaac. Elle peut encore me donner d’autres fils!

Quelles qu’eut été les pensées d’Abraham, la Bible dit : «Abraham se leva de bon matin, sella son âne, et prit deux serviteurs et son fils Isaac. Il fendit du bois pour l’holocauste, et partit pour aller au lieu que Dieu lui avait dit.»

Quel exemple de foi et d’obéissance! Quand Dieu appela Abraham à l’origine dans son propre pays, la Bible dit simplement, «Et Abraham partit.» C’est simple. Dieu ordonne. Abraham obéit. Au tout dernier moment, comme Abraham allait sacrifier Isaac, Dieu appela! «Abraham! Abraham!» Il répondit: «Me voici.»

«Et il dit: N’étends pas ta main sur l’enfant, et ne lui fais rien; car maintenant je sais que tu crains Dieu, et que tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique.

« Et Abraham leva ses yeux, et vit, et voici, il y avait derrière lui un bélier retenu à un buisson par les cornes; et Abraham alla et prit le bélier, et l’offrit en holocauste à la place de son fils. » (Genèse 22: 1-14).

Voici une vague représentation de Dieu, le Père, étant prêt à offrir son Fils unique, Jésus-Christ, pour les péchés du monde (Jean 3:16).

Avant, Dieu avait dit à Abraham: «Marche devant moi, et sois PARFAIT, et je ferai de toi un père de nombreuses nations … » Maintenant, Abraham avait réussi au dernier test final! Dieu savait, maintenant, qu’Abraham était prêt à Lui obéir sans poser de questions! Il savait qu’Abraham avait CRU EN DIEU! Aujourd’hui, des millions de personnes «croient» en Christ. Ils «croient» qu’il était le Fils de Dieu ; ils «croient en Lui». Mais ils NE LE CROIENT PAS! Ils refusent de croire CE QU’IL A DIT! Christ a dit, «Ne croyez PAS que je sois venu pour abolir la loi … » Des millions de personnes croient qu’Il est VRAIMENT venu pour la détruire! Christ a dit qu’il resterait trois jours et trois nuits dans le tombeau (Matthieu 12:40), et des millions de personnes croient qu’il était dans la tombe du vendredi au coucher du soleil jusqu’à dimanche matin au lever du soleil, deux nuits, et un jour! Il a dit : «Mais si tu veux entrer dans la vie, GARDE LES COMMANDEMENTS! » (Matthieu 19:17) et des millions croient qu’il a fait disparaître la loi de son Père!

Des Millions de personnes croient «en» Christ! Mais elles ne croient pas au message de Son Évangile ; un message sur son Royaume qui s’établira très bientôt ; le règne mondial de Christ SUR LA TERRE pendant mille ans. (Apocalypse 20: 4; 2:26; 3:21).

Abraham n’a pas simplement eu une «croyance», comme celle des millions de chrétiens le disent aujourd’hui. Il SAVAIT! Il y a une différence!

Par conséquent, l’ange de l’Éternel appela une seconde fois Abraham des cieux, et dit : «Je le jure par moi-même, parole de l’Éternel ! Parce que tu as fait cela, et que tu n’as pas refusé ton fils, ton fils unique, je te bénirai, et multiplierai ta postérité, comme les étoiles du ciel et comme le sable qui est sur le bord de la mer ; et ta postérité possédera la porte de ses ennemis. Toutes les nations de la terre seront bénies en ta postérité, parce que tu as obéi à ma voix.» (Genèse 22: 15-18)

Une fois de plus, notez bien que la postérité d’Abraham devait être inombrable! Ils devaient posséder les portes stratégiques de la terre et de la mer qui permettraient d’assurer leur prospérité, la protection de leurs ennemis!

Ces promesses fabuleuses ont été reconfirmées à Isaac ; puis à Jacob. Plus tard, les promesses du droit d’aînesse étaient répercutées par les fils de Jacob ; ses deux petits-fils, Éphraïm et Manassé, fils de Joseph, le fils préféré de Jacob, par Isaac dans sa vieillesse, comme il était mourant.

Mais, comme nous le verrons, Dieu a dit, «Le sceptre ne sortira point de Juda!» Bien que Dieu ait permis à la nature humaine et au raisonnement humain d’accomplir son grand dessein ; autoriser à Rebecca et à Jacob de tromper Isaac dans l’affaire de passation de la bénédiction du droit d’aînesse à Jacob, au lieu d’Ésaü, Il a néanmoins déterminé que le «sceptre» ; la promesse de cette «graine», qui était le Christ, ne sortirait pas de JUDA, qui n’était pas encore né ; un des douze fils de Jacob, et l’ancêtre des «Juifs», qui est simplement un «pseudonyme » de «Juda». Comme nous le verront, il y eut une division nécessaire dans la double alliance ; une de la RACE et une de la GRACE. Beaucoup plus tard dans l’histoire, après plusieurs siècles ; après l’émergence de deux nations, incarnant treize tribus en tout ; après que les dix tribus du nord aient été retirées de leur terre et disparaissent de l’histoire, l’un des apôtres choisis de Dieu illustrait à des païens incrédules la validité des pouvoirs du Christ comme la «semence» promise d’Abraham ; la GRACE promise ; l’accomplissement de la prédiction de Dieu que «Le sceptre ne partira pas de Juda!»

De nombreuses personnes, saisissant ce passage, essaient de mettre de côté et de nier tout ce que vous avez lu: toutes les promesses reprises par le Dieu Tout-Puissant envers Abraham concernant LA SEMENCE MULTIPLE ; LES NATIONS, LES ROIS, LES POPULATIONS COMME LA POUSSIERE DE LA TERRE ET LES ETOILES DU CIEL!

Maintenant, remarquez! Lorsque l’apôtre Paul argumentait concernant la promesse de LA GRACE (pas de la RACE) avec les Galates, il dit: «Or les promesses ont été faites à Abraham et à sa postérité. Il n’est pas dit: et aux postérités, comme s’il s’agissait de plusieurs, mais en tant qu’il s’agit d’une seule: et à ta postérité, c’est-à-dire, à Christ.» (Galates 3:16)

Mais remarquez la différence entre les promesses de l’héritage national et racial et la promesse de l’héritage de la grâce.

«Le sceptre ne se retirera point de Juda …» (Genèse 49:10). Dieu a prophétisé, «Juda fut, à la vérité, puissant parmi ses frères, et de lui est issu un prince [dirigeant] ; mais le droit d’aînesse est Joseph » (1 Chroniques 5: 2)!

Le droit d’aînesse est quelque chose qui devait revenir à Joseph (Éphraïm et Manassé étaient deux fils de Joseph, sur les têtes desquels Jacob [Israël], au moment de sa mort dit: «qu’ils soient appelés de mon nom ») PAR DROIT DE NAISSANCE! Cela n’avait rien à avoir avec la «grâce». Ce n’était pas quelque chose à gagner ou à mériter: c’était LE DROIT D’AINESSE de Joseph. Selon la Parole de Dieu, il est clair que, bien que la lignée qui devait aboutir à Christ vienne de JUDA, la promesse de semence multiple, les rois; les nations, les millions de descendants, se poursuivrait par JOSEPH!

Un sceptre est un bâton officiel, ou baguette d’un roi. Il connote la royauté. Christ devait venir au travers de JUDA! Remarquez : «Car il est notoire que notre Seigneur est sorti de Juda, tribu dont Moïse n’a rien dit pour ce qui concerne le sacerdoce.» (Hébreux 7:14).

Pensez un moment à la double signification inhérente de l’expression, «En toi seront bénies toutes les nations.» Plus vous lirez, plus vous comprendrez ; comme vous l’apprendrez, si vous avez étudié l’histoire récente du monde, le monde entier a été puissamment béni à cause de deux nations: la Grande-Bretagne et les États-Unis d’ Amérique! Cette déclaration est tellement évidente qu’elle n’a pas besoin d’amplification.

Mais pensez donc à la communauté mondiale des nations ; aux anglais colonisant les nations sous-développées et pauvres en voie de développement et les développant à travers les affaires et le commerce. Pensez à ce que le monde aurait pu être s’il n’y avait jamais eu la Grande-Bretagne ou les États-Unis! Des centaines de nations ont été bénies, matériellement et spirituellement, par ces deux grandes nations!

Et quel est le sens du mot «nation»? Habituellement, vous pensez à une nation comme étant une entité politique, un pays sur la carte, ayant un nom. Mais aujourd’hui, l’utilisation du mot a changé de son intention initiale. À l’origine, le terme signifiait une famille de personnes rassemblées en une seule entité politique ou en un pays.

Il vient de la même racine que «naissance» ou «nativité», «natal» et «natif». Sa signification se rapporte à une naissance, ou à une famille.

Cependant, dans les temps modernes, un certain nombre de souches raciales, les «familles» de personnes ayant des origines généalogiques communes peuvent être incorporées à l’intérieur de frontières nationales données. La Belgique actuelle, par exemple, est une entité politique appelée «nation». Pourtant, il y a deux souches raciales distinctes au sein de la Belgique: les flamands et les wallons. Comme dans de nombreux autres pays aujourd’hui, ces deux souches raciales ne s’entendent pas toujours. La même chose vaut pour la Yougoslavie, pour l’ex-Tchécoslovaquie (aujourd’hui la République tchèque et la Slovaquie), et pour l’ ex-Union soviétique, qui est composée de plus d’une douzaine de différentes souches raciales: mongols, géorgiens, ukrainiens, azerbaïdjanais, ouzbeks, russes et beaucoup d’autres. La Suisse se compose de trois cultures distinctes: Allemande, Française et Italienne.

Sachant que beaucoup de nations modernes sont devenues métissées ne permet pas de mettre de côté les promesses de Dieu concernant les nombreuses «nations» qui devaient sortir d’Abraham. Même si les frontières politiques ont devenues confuses ; même si de nombreux pays sont devenus des souches raciales mixtes, un «pot de fusion» de souches raciales virtuelles, les promesses de Dieu n’ont pas été contrariée! Sa parole est toujours valable!

LE DROIT D’AINESSE VENDU ET TRANSFERE

Maintenant, essayons de comprendre la grande différence entre les promesses du droit d’aînesse et celles du sceptre royal qui devait être accomplies par la venue du Sauveur, Jésus-Christ.

L’histoire fascinante de la façon dont la bénédiction du droit d’aînesse fut transférée de Joseph à ses fils, Éphraïm et Manassé, se trouve dans Genèse 48.

«Israël [Jacob] regarda les fils de Joseph, et dit: Qui sont ceux-ci? Joseph répondit à son père: Ce sont mes fils, que Dieu m’a donnés ici. Israël dit: Fais-les, je te prie, approcher de moi, pour que je les bénisse.»

Les yeux d’Israël étaient appesantis par la vieillesse ; il ne pouvait plus voir. Il [Joseph] les fit approcher de lui ; et Israël [Jacob] leur donna un baiser, et les embrassa.

«Israël dit à Joseph: Je n’avais pas pensé voir ton visage; et voici, Dieu m’a fait voir aussi ta semence.

« Et Joseph les retira d’entre ses genoux, et se prosterna le visage contre terre.

« Et Joseph les prit les deux, Éphraïm de sa main droite, à la gauche d’Israël, et Manassé de sa main gauche, à la droite d’Israël, et les fit approcher de lui;

« mais Israël étendit sa main droite, et la posa sur la tête de d’Éphraïm (or il était le plus jeune), et sa main gauche sur la tête de Manassé, plaçant ainsi ses mains à dessein [«rendant ses mains sage»; note dans la marge], car Manassé était le premier-né

« Et il bénit Joseph, et dit: Que le Dieu devant la face duquel ont marché mes pères, Abraham et Isaac, le Dieu qui a été mon berger depuis que je suis jusqu’à ce jour, l’Ange [«messager» en hébreu] qui m’a délivré de tout mal, bénisse ces jeunes hommes; et QU’ILS SOIENT APPELÉS DE MON NOM et du nom de mes pères, Abraham et Isaac, et qu’ils croissent pour être une multitude au milieu du pays.

« Et Joseph vit que son père posait sa main droite sur la tête d’Éphraïm, et cela fut mauvais à ses yeux; et il saisit la main de son père pour la détourner de dessus la tête d’Éphraïm et la poser sur la tête de Manassé.

« Joseph dit à son père: Pas ainsi, mon père; car celui-ci est le premier-né; mets ta main droite sur sa tête.

« Et son père refusa, disant: Je le sais, mon fils, je le sais; lui aussi deviendra un peuple, et lui aussi sera grand; toutefois son frère, qui est le plus jeune, sera plus grand que lui, et sa semence sera une MULTITUDE DE NATIONS. »

QUELLE PROMESSE!

Ces deux fils de Joseph allaient devenir deux grands peuples, l’aîné, Manassé, une seule grande nation et le plus jeune, Éphraïm, un GRAND GROUPE DE NATIONS, une «multitude de nations».

Et QUI, à travers l’histoire, devait porter le nom ISRAËL? Vous l’avez bien lu clairement! Israël dans la vieillesse (Jacob) dit: «QU’ILS SOIENT APPELÉS DE MON NOM» et il a également dit que les noms d’Abraham et d’Isaac Seraient sur eux.

Des millions d’américains et de britanniques sont parfaitement inconscients de leurs racines anciennes. Ils n’ont pas la moindre idée que la grande communauté des nations appelée le Commonwealth britannique, y compris la Grande-Bretagne, Le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Afrique du Sud, comprennent les peuples d’Éphraïm. De même, d’innombrables, des millions de personnes aux États-Unis ne comprennent qu’elles sont le Manassé de l’histoire biblique, de la prophétie biblique!

Au lieu de cela, des millions de personnes croient, à tort, que les noms «Israël» et «Juifs» sont synonymes. C’est une grossière erreur ; Une hypothèse complètement fausse, mais des millions sont totalement ignorants de cela. Nous donnerons des détails plus loin. Mais pour l’instant, que cela soit bien clair dans votre esprit que Jacob, qui était mourant et dont le nom fut changé en ISRAËL, dit clairement que Son nom devait être lié de manière indélébiles A EPHRAÏM ET A MANASSE!

Les deux seules tribus qu’une grande partie du monde connait sont celles de Juda et de Lévi. On trouve beaucoup, beaucoup de noms parmi ceux qui sont communément appelé «Juifs», qui sont en fait «Lévites». En Hébreu, le nom «Cohen» signifie «prêtre» ou «Lévite». Les noms Levi, Levine, Levinson, Levy, Kahn, Kuhn, Cohan, Kohane, Cohen, Kohn, Levitz, Lewitz, Lewis, Lewison, Liebov, Leibowitz, et beaucoup, beaucoup d’autres sont des dérivations de «Levi» et de «Cohen», ou «prêtre».

Et combien savent, même parmi le peuple Juif, où les tribus d’Issacar, Dan, Zebulon, Nephtali, Ruben, et d’autres sont situées? La plupart n’en ont pas la moindre idée! Des millions de personnes croient que les termes «Juif» et «Israélite» sont synonymes! Quelle grossière erreur! Quelle ignorance!

Les deux fils de Joseph étaient frères. Ces deux nations frères devaient finalement devenir une grande et seule nation, et une «société des nations». Où, dans le monde d’aujourd’hui, quelqu’un cherche-t-il à trouver des nations correspondant à ces descriptions, des frères jouissant d’une relation longue et durables (même si des frères se battent parfois et ne sont pas toujours d’accord), deux grands peuples qui se partagent une grande partie de la richesse du monde?

Vous pouvez faire des recherches historiques ; étudier l’ethnologie, la géographie, la géopolitique et vous verrez que les SEULS peuples qui s’adaptent à cette description biblique sont les peuples des États-Unis d’Amérique et du Commonwealth Britannique!

«LES PORTES DES ENNEMIS»

Les anglais ont colonisé, développé et se sont répandu dans le monde entier, pour finalement atteindre le statut d’EMPIRE. Étudier n’importe quelle carte du monde antérieure à la Deuxième Guerre mondiale. Les cartes et globes de cette période avaient généralement la couleur rouge du Commonwealth Britannique ; ses territoires et protectorats étaient roses.

On pouvait regarder n’importe quel point de la terre et trouver des possessions sous influence et domination britannique.

Tout d’abord, on voyait les Îles Britanniques, couchée comme un lion dominant la mer au-delà de l’Europe ; en sécurité derrière la célèbre Manche, gardant pourtant les passerelles vers l’Europe ; le Kattegat et le Skagerrak ; les ports de Hollande et de France. La position des Îles Britanniques a été absolument décisive dans le cours de l’histoire et a influencé considérablement le résultat de beaucoup, beaucoup de guerres, y compris la première et la deuxième guerre mondiale!

Ensuite, pensez à l’immensité du territoire, des ressources naturelles et de la richesse physique du Canada ; le continent «situé aux antipodes», l’Australie; la nation île de la Nouvelle-Zélande. Il y a l’Afrique du Sud, ayant certains des gisements de minéraux et les richesses naturelles les plus riches de la terre.

Au cours de la dernière partie du XIXe siècle et une grande partie du XXe, la Grande-Bretagne contrôlait beaucoup, beaucoup d’autres nations, dont l’Inde, l’Égypte ; le Soudan anglo-égyptien, comme cela était appelé ; la plupart des nations de l’Est de l’Afrique, y compris ceux perdus par l’Allemagne après le Traité de Versailles. La Grande-Bretagne avait possessions partout sur le globe! Voici quelques-unes d’entre elles:

La Palestine, la Transjordanie, Gibraltar, Malte, la Crète, le canal de Suez, la passe de Khyber, les îles Andaman et Nicobar, les îles de Ceylan, la Rhodésie, le Kenya et le Tanganyika ; Singapour et le détroit de Malacca ; Hong Kong, Brunei, les îles Gilbert et Salomon, la Nouvelle-Géorgie et la Nouvelle-Guinée ; Santa Cruz. Dans l’Atlantique, la Grande-Bretagne contrôlait les îles Hébrides, les îles Malouines, les Bermudes, les Bahamas, Antigua et Barbuda, Saint-Vincent, Sainte-Lucie, la Barbade, les Îles, Cayman et le Honduras britannique, ainsi que la Guyane britannique.

Les grandes portes maritimes et terrestres du monde étaient en possession presque entière par la Grande Bretagne et les États-Unis.

Pour notre part, l’emplacement stratégique des États-Unis eux-mêmes, protégé des guerres de l’Europe par les grands océans Atlantique et Pacifique, a joué un rôle essentiel dans la préservation de la liberté en Amérique. Nous possédions des portes maritimes d’une importance vitale et des défenses stratégiques d’îles dans le canal de Panama ; Guantanamo à Cuba, les Îles Hawaï ; Midway, Guam et Wake. Nous possédions l’archipel glacial des Aléoutiennes avec Dutch Harbor. Même une connaissance superficielle de l’histoire servirait à impressionner quiconque sur le rôle vital et la valeur de ces zones stratégiques.

La Grande-Bretagne possédait Gibraltar et Suez, allant ainsi jusqu’à la Méditerranée, et avec Malte, la Crète et Chypre comme bases navales, sans mentionner Alexandrie en Égypte, ainsi que le Bosphore-Dardanelles entre la Turquie européenne et la péninsule anatolienne, allant jusqu’à la Mer Noire. La Grande-Bretagne était à cheval sur les voies maritimes les plus vitales du monde.

Ajoutez à cela l’énorme base navale à Singapour et le détroit de Malacca à Hong Kong sur le littoral chinois, avec Brunei, et on obtient une image de la manière dont et la raison pour laquelle la Grande-Bretagne a pu, avec les Néerlandais (qui sont les descendants de Zabulon, une autre des soi-disant «dix tribus perdues») qui possédaient des Indes orientales, en vue de maintenir une présence navale et militaire puissante dans l’Extrême-Orient.

Ceci est l’accomplissement d’une prophétie prononcée par les parents et les frères de Rebecca, épouse d’Isaac. C’est une autre confirmation et un élargissement des promesses que Dieu a donné à Abraham, qui ont été transmises par Isaac et Jacob. On donne souvent, dans la littérature biblique, un caractère romantique à l’histoire de la recherche de la femme d’Isaac ; c’est souvent le sujet de prédilection des classes d’enfants. Mais cet épisode est à peine romantique. Notons-le:

« Et Abraham était vieux, avancé en âge; et l’Éternel avait béni Abraham en toute chose.

« Et Abraham dit à son serviteur, le plus ancien de sa maison, qui avait le gouvernement de tout ce qui était à lui: Mets, je te prie, ta main sous ma cuisse,

« et je te ferai jurer par l’Éternel, le Dieu des cieux et le Dieu de la terre, que tu ne prendras pas de femme pour mon fils d’entre les filles des Cananéens, parmi lesquels j’habite;

« mais tu iras dans mon pays et vers ma parenté, et tu prendras une femme pour mon fils, pour Isaac.

« Et le serviteur lui dit: Peut-être la femme ne voudra-t-elle pas me suivre dans ce pays-ci: me faudra-t-il faire retourner ton fils dans le pays d’où tu es sorti?

« Et Abraham lui dit: Garde toi d’y faire retourner mon fils.

« L’Éternel, le Dieu des cieux, qui m’a pris de la maison de mon père et du pays de ma parenté, et qui m’a parlé et qui m’a juré, disant: Je donnerai à ta semence ce pays-ci; lui-même enverra son ange devant toi, et tu prendras de là une femme pour mon fils.

« Et si la femme ne veut pas te suivre, alors tu seras quitte envers moi de ce serment: seulement, tu ne feras pas retourner là mon fils. » (Genèse 24: 1-8).

Abraham était bien déterminé à ce que son serviteur ne permette pas à Isaac de quitter la terre de Palestine ; de ne pas retourner à la terre des ancêtres d’Abraham, de peur que cela n’annule les promesses de Dieu. En outre, il était déterminé qu’Isaac se marierait parmi sa race ; sa propre espèce, même parmi les parents éloignés.

L’histoire se poursuit tout au long du chapitre 24 de la Genèse.

Le serviteur arriva en Mésopotamie et avait besoin d’eau ; Rebecca, fille de Béthuel, qui était le fils de Nahor, qui était le frère d’Abraham (c’est-à-dire que Rébecca était la cousine d’Isaac au troisième degré) vint au puits avec une cruche sur son épaule ; donna un verre au serviteur d’Abraham ; puisa de l’eau pour ses chameaux.

Le serviteur savait que cette réunion était providentielle ; lui donna des cadeaux coûteux: peut-être des gages de fiançailles, et alla demeurer auprès de ses parents. Dans le récit qui suit, il s’identifia, parla à ses parents. Elle accepta de partir avec lui en vue de se marier à Isaac. Maintenant, lisez attentivement la prophétie étrange de Dieu qui poussa ses propres parents à se prononcer!

« Et ils bénirent Rebecca, et lui dirent: Toi, notre sœur, deviens des milliers de myriades, et que ta semence possède la porte de ses ennemis! » (Genèse 24:60).

Rebecca est devint la mère de Jacob et Ésaü et contribua fortement à s’assurer que la promesse du droit d’aînesse soit transmise à Jacob. Bien que Dieu ait permis à la nature humaine d’exécuter son dessein, et la vente du droit d’aînesse d’Ésaü en échange d’un plat de lentilles a souvent été cité comme un exemple de grand mépris, de la part d’Ésaü, pour quelque chose d’une valeur inestimable, bien que Dieu ait prévu que Jacob devienne l’héritier légitime.

Isaac, dans la vieillesse, trompé par Jacob et Rébecca, bénit Jacob, en supposant que c’était Ésaü. Il dit: «Que Dieu te donne de la rosée du ciel [les pluies en leur saison] et de la graisse de la terre, [des récoltes abondantes] du blé et du vin en abondance ! Que des peuples te soient soumis, Et que les nations se prosternent devant toi! Sois le maître de tes frères, Et que les fils de ta mère se prosternent devant toi ! Maudit soit quiconque te maudira, Et béni soit celui qui te bénira.» (Genèse 27:28, 29).

Ainsi, bien que Dieu ait permis que cela se produise par une ruse humaine, Jacob était possesseur à la fois du droit d’aînesse et de la bénédiction.

Les chapitres qui suivent concernent la vie de Jacob ; son travail pour Laban ; La tromperie de Laban et les femmes et enfants de Jacob. Remarquez comment Dieu a reconfirmé les promesses qu’il avait faites inconditionnellement à Abraham, en montrant que Jacob était désormais l’héritier légitime: « Dieu lui dit: Ton nom est Jacob ; tu ne seras appelé Jacob, mais ton nom sera Israël. Et il lui donna le nom d’Israël.

«Dieu lui dit: Je suis le Dieu Tout-Puissant. Sois fécond, et multiplie ; une NATION et une MULTITUDE DE NATIONS naitront de toi [pluriel! Plus d’un! Une dynastie de ROIS régnant sur PLUSIEURS NATIONS! Ceci ne fait pas allusion à cette «semence, qui est le Christ» ; sans parler du sceptre faisant partie de la promesse à deux volets de la race et de la grâce ; Cela se réfère à la partie du droit d’aînesse ; la promesse de la grandeur nationale!] sortiront de tes reins;

«Je te donnerai le pays que j’ai promis à Abraham et à Isaac, et je donnerai ce pays à ta postérité après toi.» (Genèse 35: 10-12).

Jacob dressa la célèbre «stèle» à cet endroit -là, l’oint avec de l’huile, et nomma l’endroit «Béthel», qui signifie «Maison de Dieu.» Ceci devint plus tard une ville importante de l’ancienne Palestine.

LA STELE DE PIERRE DE JACOB

Isaac, suivant le modèle établi par son père Abraham, défendit à son fils, Jacob, de se marier parmi les Cananéens.   «… Il appela Jacob, et le bénit, et le prévint, et lui dit: Tu ne prendras pas une femme parmi les filles de Canaan.

«Lève-toi, va à Paddan-Aram, à la maison de Béthuel, le père de ta mère, et prends –y une femme d’entre les filles de Laban, le frère ta mère.

«Que le Dieu Tout-Puissant te bénisse, te rende fécond et te multiplie, afin que tu deviennes une multiple des peuples ! Qu’il te donne la bénédiction d’Abraham. » (Genèse 28:14)

Ésaü aussi dédaigna de se marier parmi les Cananéens, sachant que cela déplairait à son père. (Genèse 28: 6-9)

«Jacob partit de Beer-Schéba, et s’en alla à Charan. Il arriva dans un lieu où il passa la nuit ; car le soleil était couché. Il y prit une pierre, dont il fit son chevet, et il se coucha dans le lieu-là.

«Et voici, une échelle était appuyée sur la terre, et son sommet touchait au ciel. Et voici, les anges de Dieu montaient et descendaient par cette échelle.

«Et voici, l’Éternel se tenait au-dessus d’elle ; et dit: Je suis l’Éternel, le Dieu d’Abraham, ton père et le Dieu d’Isaac. La terre sur laquelle tu es couché, je la donnerai à toi et à ta postérité.» (Genèse 28: 10-13)

Il y a ceux qui tentent de forcer l’interprétation selon laquelle Dieu promet seulement la terre de Palestine à Jacob ; qu’Il voulait dire «SEULEMENT le terrain sur lequel vous vous trouvez», et ne voulait pas dire d’accorder à Jacob la promesse de la semence qui se répandrait sur la terre!

Mais que c’est ridicule! Dieu promettait-il seulement un lopin de terre rocheuse d’environ six pieds par deux pieds et demi? La «terre sur laquelle tu te trouves» était en fait le lopin de terre rocheuse que le corps de Jacob touchait effectivement! Une telle hypothèse serait une pure absurdité! Ceux qui ne citent que ce verset, en essayant de nier les promesses de Dieu à Abraham, à Isaac et à Jacob et reconfirmée ici, souffrent-ils d’une maladie terrible de «vision en tunnel»? Eh bien, lisez attentivement le verset suivant :

«Ta postérité sera comme la poussière de la terre ; tu ÉTENDRAS À L’OCCIDENT, ET À L’ORIENT, AU SEPTENTRION, ET AU MIDI ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi et en ta postérité.» (Genèse 28:14)

Les familles de la terre seraient bénies parce que la semence de Jacob vivrait finalement partout au milieu d’eux, éparpillés AUTOUR DE LA TERRE!

Encore une fois, il est absolument prouvé que Dieu a promis à la postérité d’Abraham qu’elle constituerait finalement des centaines de millions de personnes ; qu’elle se répandrait À PARTIR de la terre de Palestine ; qu’on les trouveraient aux quatre points cardinaux à partir de la Palestine!

Jacob s’éveilla de son sommeil et il dit: «Certainement, l’Éternel est en ce lieu, et moi, je ne le savais pas !… Que ce lieu est redoutable! [Merveilleux ; intense, formidable!] Ceci est nul autre que la maison de Dieu, et cela est la porte du ciel.

«Et Jacob se leva de bon matin ; il prit la pierre dont il avait fait son chevet, il la dressa pour monument, [le mit debout, comme un monument, ou un repère] et il versa de l’huile sur son sommet.

«Et il donna a ce lieu le nom de Bethel [la maison de Dieu] ; mais la ville [qui plus tard est devenu] s’appelait auparavant Luz. Jacob fit un vœu, en disant: Si Dieu est avec moi, et me garde pendant ce voyage que je fais, s’il me donne du pain à manger et des habits pour me vêtir, et si je remonte en paix à la maison de mon père, alors l’Eternal mon Dieu;

«Cette pierre, que j’ai dressée pour monument, sera la maison de Dieu ; et je te donnerai la dîme de tout ce que tu me donneras ! » (Genèse 28: 16-22)

Comme son grand-père Abraham, qui avait donné la dîme à Melchisédech, le prêtre de Dieu très haut, Jacob compris la loi de la dîme. Il savait que Dieu a une créance prioritaire sur le premier dixième du revenu qu’Il donne librement à ceux qui lui obéissent! Notez bien que ces références à la loi de Dieu sur la dîme se produisent dans la Bible LONGTEMPS AVANT tout sacerdoce lévitique ; bien avant la naissance de Moïse ; bien avant les lois données au Sinaï.

Abraham, Isaac et Jacob OBEIRENT à Dieu. Ils n’avaient pas seulement de «belles pensées» au sujet de Dieu ; ils ne Lui offraient pas un service des lèvres seulement. Leur qualité de caractère n’était pas seulement une «bonne attitude» ; Ils PROUVERENT leur amour et leur obéissance à Dieu PAR LEUR ŒUVRES! Jacques a écrit: «Il en est ainsi de la foi: si elle n’a pas les œuvres, elle est morte en elle. Mais quelqu’un dira: Toi, tu as la foi ; et moi, j’ai les œuvres. Montre-moi ta foi sans les œuvres et moi, je te montrerai la foi PAR LES ŒUVRES. Tu crois qu’il y a un seul Dieu [Ou, «que Dieu est un»], tu fais bien ; les démons le croient aussi, et ils tremblent. » (Jacques 2: 17-19)

Le diable est un grand CROYANT! Il SAIT que Dieu existe, car il a VU Dieu! Ses anges déchus, appelés «démons», «croient» aussi! Comme des millions de chrétiens professant Christ, ils «croient à» Christ! Oh, ne doutez pas un instant que les démons SAVENT QUE JESUS EST LE CHRIST! Ils SAVENT qu’il est mort pour les péchés du monde ; qu’Il est le Sauveur de l’humanité! Satan, le diable, n’était-il pas en personne à l’intérieur de Judas Iscariote lors de la trahison de Christ?

Mais la «croyance» NE SUFFIT PAS!

Notez ! « Veux-tu savoir, ô homme vain, que la foi sans les œuvres est morte? Abraham, notre père, ne fut-il pas justifié par les œuvres, lorsqu’il offrit son fils Isaac sur l’autel?

«Tu vois que la foi agissait avec ses œuvres, et que les œuvres [actes-action!] la Foi fut rendue parfaite.

«Ainsi s’accomplit ce que dit l’Écriture: Abraham crut à Dieu, [il n’a pas simplement « cru en » Dieu, IL A CRU À DIEU] et cela lui fut imputé à justice ; et il fut appelé ami de Dieu». (Jacques 2: 17-23)

Comme résultat de l’obéissance de Jacob, Dieu a continué de le bénir au long de sa longue vie. Nous en dirons plus sur cette «stèle» de pierre plus tard.

Maintenant, nous arrivons à une vérité de la Bible si simple, et pourtant si profonde, qu’il est surprenant que des millions de chrétiens pratiquants confessant Christ ne comprennent pas! Cela est en lien avec l’identité de «la Maison d’Israël» et «la Maison de Juda».

Peu de gens semblent comprendre que tous les Israélites ne sont pas juifs!

Tout comme tous les Américains ne sont pas Texans, bien que tous les Texans (les résidents légaux) sont Américains, il est vrai que tous les Juifs sont Israélites! Mais tous les Israélites ne sont pas les Juifs!

Le terme «Juif» est un surnom pour l’ancêtre de la race juive, «Juda». Juda est l’un des enfants de Jacob, dont le nom avait été changé en «Israël».

Avec la division des tribus après la mort de Salomon, Roboam, fils de Salomon, contrôlait la partie sud du pays avec sa capitale, Jérusalem. Lévi était disséminé dans les autres tribus et n’avait pas de terre en héritage. La «Maison de Juda» incluait, principalement, la tribu de Juda, avec des parties de Lévi et de Siméon, et peut-être une petite partie de Benjamin, avec lequel Juda partageait une frontière commune au nord de Jérusalem.

Le royaume du nord, avec sa capitale Samarie, incarnait le reste de toutes les tribus d’Israël, au nombre total de dix, sous une dynastie complètement différentes de rois!

Pourquoi est-il que peu de «Chrétiens» pratiquants savent et comprennent qu’il y avait deux nations séparées, deux capitales séparées, deux dynasties distinctes de rois, et qu’il y a quatre livres entiers de la Bible consacrés aux histoires nationales distinctes de ces peuples ; que l’un d’entre eux a été appelé «la Maison d’Israël» et l’autre «la Maison de Juda»?

Jacob avait douze enfants

L’histoire de deux femmes de Jacob, Léa et Rachel, s’étale du chapitre 28 au chapitre 31 du livre de Genèse.

Léa était la mère des enfants suivants: Dina, Ruben, Siméon, Lévi, Juda, Issacar et Zabulon.

La servante de Rachel, Bilha, eut deux fils avec Jacob, Dan et Nephtali.

Zilpa, servante de Léa, enfanta Gad et Aser.

Enfin, Rachel, celle que Jacob avait choisi pour une femme et celle pour laquelle il avait travaillé si longtemps, eut deux fils Jacob, Joseph et Benjamin.

Après la saga de Jacob et Laban, son mariage avec les deux sœurs, les naissances de leurs nombreux enfants et de l’expiration de nombreuses années, la Bible montre combien Jacob a été enrichi et béni matériellement.

Dans sa prière, en raison de la peur de son frère Ésaü, Jacob dit: «Délivre-moi, je te prie, de la main de mon frère, de la main d’Ésaü! Car je le crains qu’il ne vienne, et qu’il ne me frappe, avec la mère et les enfants.

«Et toi, tu as dit: Je te ferai du bien, et je rendrai ta postérité comme le sable de la mer, si abondant qu’on ne saurait compter. » (Genèse 32:11, 12)

COMMENT JACOB EST DEVENU «ISRAËL»

Vient ensuite l’un des récits les plus étranges dans toute la Bible.

«Jacob demeura seul. Alors un homme lutta avec lui jusqu’au lever de l’aurore.

«Voyant qu’il ne pouvait le vaincre, cet homme le frappa [«le toucha», en hébreu] à l’emboiture de la hanche ; et l’emboiture de la hanche de Jacob se démit pendant qu’il luttait avec lui.

«Et il dit: Laisse-moi aller, car l’aurore se lève. Et Jacob répondit: Je ne te laisserai point aller, sans que tu m’aies béni.

«Et il lui dit: Quel est ton nom? Et il répondit: Jacob. «Il lui dit encore: ton nom ne sera plus Jacob, mais tu seras appelé Israël [celui qui cherche, persévère, ou surmonte avec Dieu] ; car tu as lutté avec Dieu et avec des hommes, et tu as été vainqueur.

«Jacob l’interrogea, en disant: Fais-moi je te prie connaître ton nom. Il répondit : Pourquoi demandes-tu mon nom? Et il le bénit là.

«Jacob appela ce lieu du nom de Péniel: car, dit-il, j’ai vu Dieu face à face, et mon âme a été sauvée.

«Le soleil se levait, lorsqu’il passa Péniel [le visage de Dieu]. Jacob [boitait] de la hanche.»

Ce récit mystérieux montre que Jacob lutta la plus grande partie de la nuit avec une personne qui plus tard sera appelée Dieu.

Peut-être d’une certaine façon étrange Jacob réalisa le défi que cette personne avait à voir avec le droit d’aînesse. Pour Jacob, il comprit peut-être qu’il devait juste persévérer, vaincre, s’accrocher et avoir la victoire dans ce test personnel de dure endurance, de force physique et prouesses, qu’il allait gagner de grandes récompenses.

Pour Jacob, cela avait peut-être été comme s’il avait trouvé la lampe d’Aladin, possédé la poule aux œufs d’or, un assaut du château dans lequel tous les trésors du roi étaient stockés, et de gagner un grand prix s’il pouvait vaincre et persévérer dans la lutte avec cette personnalité qui l’avait défié sur le plan de la force physique!

On vit cette lutte comme si elle durait des heures, et, parce que la personnalité que Jacob appela «Dieu» s’était manifesté comme un être humain physique, la ténacité de Jacob était telle que le seul moyen que cette personne trouva pour le faire fléchir fut de le frapper d’une manière non moins différente de celle d’un champion de karaté qui handicapa Jacob partiellement et abouti à un membre boiteux!

En tout état de cause, c’est après cet épisode étrange que Dieu changea le nom de Jacob en «ISRAËL»!

Plus tard, Dieu apparu à Jacob: «Et Dieu lui dit: Ton nom est Jacob; ton nom ne sera plus appelé Jacob, mais ISRAËL sera ton nom. Et il appela son nom Israël.

«Dieu lui dit: Je suis le Dieu Tout-Puissant. Sois fécond, et multiplie ; une nation [singulier] et une multitude de nations [plusieurs nations!] naitront de toi, et des rois [pluriel] sortiront de tes reins.

«Je te donnerai le pays que j’ai donné à Abraham et a Isaac, et je donnerai ce pays a ta postérité [semence multiple, des millions de personnes!] après toi.» (Genèse 35:10)

Les promesses inconditionnelles faites à Abraham passaient désormais à Jacob, dont le nom fut changé en Israël! Une grande partie du reste du livre de la Genèse reprend l’histoire de la façon dont les frères jaloux vendirent Joseph, le fils préféré d’Israël, en Égypte ; comment Dieu permit que cela se produise en vue de fournir un refuge pour cette famille afin de supporter la sécheresse brûlante qui allait prendre des milliers de vies en Palestine, et comment le résultat fut la naissance d’une nouvelle nation en captivité.

Vers la fin du livre de la Genèse se trouve un chapitre fascinant (le chapitre 49) qui donne des indices forts que l’identité de modem des nombreuses tribus de la «Maison d’Israël».

Dans le chapitre qui précède (Genèse 48) on trouve le récit d’une importance vitale de la façon dont le nom d’Israël passa sur Éphraïm et Manassé, deux fils de Joseph!

Mais le verset le plus important est le verset 16. Lisez-le encore!

« L’Ange [messager] qui m’a délivré de tout mal, bénisse ces jeunes hommes; et QU’ILS SOIENT APPELÉS DE MON NOM et du nom de mes pères, Abraham et Isaac, et qu’ils croissent pour être une multitude au milieu du pays. »

Quelles tribus, devrait alors, selon votre Bible, porter le nom d’Israël? Juda? Non. Siméon ou Levi? Non.

Le nom de la maison d’ISRAËL a été très clairement transmis aux deux fils de Joseph, Éphraïm et Manassé, dans cet ordre!

Selon la prophétie, Éphraïm devait devenir de nombreuses nations, et son frère, Manassé, une seule grande nation!

Ces deux frères devaient posséder les noms d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, ou ISRAEL!

Seuls eux, parmi les autres enfants de Jacob, devaient porter le nom d’«ISRAËL» sur eux!

Pourtant, des millions de chrétiens professant Christ restent parfaitement ignorants de ces passages bibliques d’importance vitale qui identifient clairement les «dix tribus perdues» ou les «peuples de l’alliance» dont il est prophétisé qu’ils hériteront la grandeur nationale promise aux enfants d’Abraham, d’Isaac et de Jacob!

COMMENT LES JUIFS POURRAIENT-ILS ALLER EN GUERRE CONTRE ISRAËL?

Comme mentionné précédemment, le terme «Juif» est simplement le surnom d’une personne de la maison de Juda. Le terme n’apparaît jamais dans la Bible avant 2 Rois 16: 6.

Tournez les pages de votre Bible et lisez ce passage biblique important: «En ce temps-là, Retsin, roi de Syrie, recouvra Élath pour la Syrie; et il expulsa d’Élath les Juifs; et les Syriens entrèrent à Élath, et ils y ont habité jusqu’à ce jour.» Lire tout le chapitre dans son contexte approprié.

Achaz, qui avait 20 ans quand il commença à régner (verset 2), fut accusé d’avoir causé que le royaume du sud de la Maison de Juda pêche de la même manière que l’avaient fait les rois d’Israël (verset 3), ce qui provoqua que son propre fils «passe à travers le feu», et plonge dans l’idolâtrie.

Pékach, fils de Remalia, était le roi d’Israël.

À la suite de l’idolâtrie de Juda, Dieu a utilisé Israël, avec son allié, la Syrie, pour attaquer Juda, les Juifs.

Notez le verset 5 : «Alors Retsin, roi de Syrie, et Pékach, fils de Remalia, roi d’Israël, montèrent à Jérusalem pour la guerre, et ils assiégèrent Achaz ; mais ils ne purent le vaincre».

Dans ce récit, les dix tribus de la nation d’Israël, allié avec les Syriens, sont en guerre contre la «Maison de Juda » sous le roi Achaz à Jérusalem.

Voici, donc, un récit clair de la guerre entre Israël et les Juifs!

Ceci est une preuve biblique sûre que le terme «Juif» et le terme «Israélite» ne sont absolument pas synonymes.

Toute lecture des quatre livres historiques de I et 2 Rois et de I et 2 Chroniques saura convaincre même un étudiant occasionnel de la Bible que ces quatre livres de l’Ancien Testament sont consacrés à des histoires nationales distinctes des 10 tribus de la «Maison d’Israël» au nord, et de la «Maison de Juda» (les Juifs) au sud.

Cette situation a prévalut depuis des générations.

LE PACTE DE DIEU AVEC DAVID

Un fil d’une importance vitale de l’histoire de l’identité nationale des peuples Américain et Britannique se trouve dans la promesse de Dieu à David.

Pourquoi? Rappelez-vous! Dieu a promis que «le sceptre ne partira point de Juda». David, comme grand-père de Roboam, le premier roi dans une longue lignée de dirigeants sur le royaume du sud, a reçu une promesse inconditionnelle de Dieu.

L’alliance avec David n’a rien à voir avec la promesse du droit d’aînesse; la promesse de la RACE. Au contraire, elle concerne la promesse du sceptre, la promesse de la GRACE ; la lignée par laquelle le Christ allait naître.

Pour une compréhension complète de l’alliance que Dieu fit avec David, tourner les pages de votre Bible et lisez tout le chapitre 7 de 2 Samuel.

Remarquez notamment les versets 12 à 17: «Quand tes jours seront accomplis et que tu seras couché avec tes pères, j’élèverai ta postérité après toi, celui qui sera sorti de tes entrailles, et j’affermirai pour toujours le trône de son royaume.

«Ce sera lui qui bâtira une maison à mon nom, et j’affermirai pour toujours le trône de son royaume.

«Je serai pour lui un père, et il sera pour moi un fils. S’il fait le mal, Je le châtierai avec la verge des hommes et avec les coups des enfants des hommes;

«Mais ma grâce ne se retirera point de lui, comme je l’ai retirée de Saül, que j’ai rejeté devant toi.

«Ta maison et ton royaume seront pour toujours assurés, ton trône sera pour Toujours affermi.

«Nathan rapporta à David toutes ces paroles et toute cette vision.»

La généalogie de Jésus-Christ prouve bien que Dieu a tenu cette promesse envers David. Lisez Luc 3:23 jusqu’en fin de chapitre et vous trouverez la généalogie «légale» de Jésus d’Adam à son père adoptif, Joseph. Les versets 31 et 32 comprennent aussi Isaïe, le père de David ainsi que David lui-même.

Chaque année à «Noël», les petits enfants sont enseignés à répéter l’énonciation angélique de la naissance de Christ. Des milliers de gens entendent ces paroles répétées année après année, sans toutefois comprendre leurs significations.

L’ange dit à Marie: «Ne crains point, Marie ; car tu as trouvé grâce devant Dieu.

«Et voici, tu deviendras enceinte, et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de JÉSUS.

« Il sera grand, et sera appelé Fils du Très-Haut, et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père. Il régnera sur la maison de Jacob éternellement, et son règne n’aura point de fin.» (Luc 1: 30-33)

Que signifie ce passage pour vous?

Elle vous indique, dans un langage clair et incontournable de la Parole inspirée de Dieu, que le trône de David demeurera un trône viable, c’est-à-dire une position de souveraineté sur une nation jusqu’ à la seconde venue du Christ!

Notez ! «Voici, les jours viennent, dit l’Éternel, où je susciterai à David un Germe juste ; il régnera en roi et prospérera, il pratiquera la justice et l’équité dans le pays.

«En son temps, Juda sera sauvé, et Israël [une nation différente] aura la sécurité dans sa demeure; Et voici le nom. On l’appellera, L’ÉTERNEL NOTRE JUSTICE.» (Jérémie 23: 5, 6)

La prophétie de Jérémie décrit la seconde venue de Jésus-Christ en vue de régner sur la terre pendant 1000 ans. Le langage ici concerne incontestablement Jésus qui est appelé à hériter le trône de David, son père. Il met l’accent sur la lignée de David jusqu’à ce que Jésus-Christ, et parle de l’accomplissement des prophéties de Paul concernant le salut des Juifs (Romains 11), qui n’aura lieu qu’après la seconde venue du Christ!

Lisez Jérémie 30, versets 7 à 11!

Ici, vous voyez que Dieu promet de «briser le joug» des ravisseurs d’Israël de leur cou, et une prophétie sur la résurrection.

«Je briserai son joug de dessus ton cou, je romprai tes liens, et des étrangers ne t’assujettiront plus.

«Ils serviront l’Éternel, leur Dieu, et David, leur roi, que je leur susciterai.

«Ne t’effraie pas, Israël ! Car je te délivrerai de la terre lointaine, je délivrerai ta postérité du pays où elle est captive ; Jacob [Israël] reviendra, et il jouira du repos et de la tranquillité, et il n’y aura personne pour le troubler.

«Car je suis avec toi, dit l’Éternel, pour te délivrer ; j’exterminerai toutes les nations parmi lesquelles je t’ai dispersé, mais toi je ne t’exterminerai pas … »

Le trône de David subsistera au moment de la seconde venue du Christ. David lui-même ressuscitera à cette époque, et s’assiéra sur un trône, régnant sur les 12 tribus d’Israël, toutefois sous l’autorité du Roi des rois et Seigneur des seigneurs, Jésus-Christ.

Il a été prophétisé au sujet de Jésus-Christ, qu’il viendrait «hériter le trône de David, son père», ce qui prouve que ce trône existe encore.

LES DIX TRIBUS D’ISRAËL SUPPRIMEES

Pendant des générations, Dieu a plaidé patiemment avec les dix tribus d’Israël, tribus au cou raide et rebelles. Dieu leur avait donné son jour de sabbat hebdomadaire comme un signe perpétuel entre lui et son peuple (Exode 31). Il leur avait révélé ses sabbats annuels (Lévitique 23), à commencer par la Pâque solennelle, qui avait été instituée à l’époque où Israël fut formée en tant que nation, délivrée de l’esclavage égyptien et envoyée vers leur propre terre.

Dieu montre que le Sabbat a été fait pour l’HOMME, et non pour «les Juifs» (Marc 2:26, 27). Le Sabbat fut créé lorsque Dieu se reposa le septième jour, et le sanctifia (sanctifié, mis à part pour fin et usage saint) (Genèse 2: 1-3). Il était le plus grand commandement TEST (Exode 16:28), révélé, imposé aux les Israélites bien avant l’octroi du Décalogue au mont Sinaï!

Voilà pourquoi Dieu a dit: «Souviens-toi du jour du Sabbat, pour le sanctifier … » (Exode 20: 8-11). Le sabbat représentait un moment saint. Dieu le sanctifia quand il se reposa ce jour-là ; il l’a donné à Israël comme une grande bénédiction; un jour de REPOS total sur sept jours ; un jour de réjouissance, de prière, d’étude, de culte à Dieu, de détente, de rajeunissement, un jour où l’on cessait de faire son travail journalier pour reconnaitre Dieu en tant que Créateur!

Dieu montre que le jour du Sabbat rappelle la Création, et entrevoit le règne millénaire de Christ. C’est une image du plan de Dieu des sept mille ans, où six mille années sont données à l’homme, pour écrire l’histoire de la souffrance humaine, la maladie, la misère, la pauvreté et la guerre, pour graver la leçon indélébile dans le sang humain que l’homme est totalement incapable de se gouverner indépendamment de Dieu! Dieu va montrer à l’humanité pécheresse comment Il dirigera et gouvernera pendant la période du septième millénaire, un modèle de repos du sabbat ; le règne millénaire de Christ! (Apocalypse 20: 4)

Généralement, la première chose que faisaient les mauvais dirigeants était de rejeter le Sabbat de Dieu ; d’ignorer ses jours saints annuels, les sabbats annuels, qui sont au nombre de sept en tout et qui dépeignent le grand PLAN de Dieu, le BUT principal de son œuvre ici-bas!

Quand Dieu a révélé la Pâque à Israël, il l’a fait au milieu de grandes plaies sur l’Égypte! Il a brisé le dos de la plus grande nation sur terre sur le plan financier et militaire. L’Égypte n’a plus jamais été une grande nation depuis ces jours dans l’Antiquité. Cela démontre les conséquences que subit toute nation qui se tourne vers l’idolâtrie, loin de Dieu et attaché à Satan et à ses hôtes maléfiques, livrée à la dérive du sacrifice infantile et de toute forme de perversion.

Les lois de Dieu, si on y obéit, garantiraient à Son peuple de rester en bonne santé, sans dettes! Ils auraient des entreprises performantes; des bons emplois, des mariages heureux et en bonne santé, des bonnes récoltes, de la pluie en sa saison, des bébés en bonne santé! Ils auraient la PAIX sur leurs terres, à l’abri de la peur et de l’inquiétude au sujet des voisins voraces ; ennemies potentiels! Étudiez Deutéronome 28 et Lévitique 26 qui parlent des deux opposés : de grandes bénédictions découlant de l’obéissance à Dieu, et de grandes malédictions pour désobéissance sont clairement énumérées!

L’histoire de la nouvelle nation de Dieu est révélée dans le livre de Josué quand ils entrèrent dans la terre promise. Les juges : l’époque du système des juges établi par Dieu, comme théocratie sous Dieu, a engendré la demande rebelle d’un roi qui régnerait sur eux dans I et 2 Samuel, comme chez les autres nations. Ce roi était Saül.

Sous le règne de Saül, Israël se trouva lourdement taxés. Il y eut la conscription militaire des jeunes gens, la guerre s’en est suivie, et le peuple n’avait plus de paix véritable.

Les livres de I et 2 Samuel détaillent le règne de Saül et son mauvais caractère. Alors qu’un décret royal était émis, décret selon lequel toute sorcière devrait être mise à mort ou expulsée du pays, Saül tout de même recherchait l’infâme sorcière d’Andorre dans une tentative de recevoir un message de la part de Samuel qui était déjà mort. Il a essayé sans cesse de tuer David, devenant jaloux de lui à cause de ses pouvoirs militaires et sa popularité.

Ensuite vient l’accession de David au trône, et l’expansion du royaume. Salomon, le fils de David lui succède et le temple est bâti ; le royaume est encore étendu jusqu’à atteindre son apogée ; une nation prospère, riche et dynamique, la plus renommée de toutes les nations sur terre à cette époque.

Sous le règne de Salomon, les métaux étaient extraits d’aussi loin que l’Angleterre ; Les navires de Salomon naviguaient sur l’Atlantique et faisaient le tour de l’Afrique. Ils rapportaient des oiseaux étranges et exotiques comme les paons, des animaux étranges de l’Inde et de l’Afrique. La reine de Saba, probablement Hatchepsout d’Égypte, fut impressionnée par Jérusalem, avec ses jardins en terrasses, fontaines, temple et bâtiments magnifiques, demeures splendides, grands trésors d’or, d’argent, et de pierres précieuses.

Mais Salomon devint corrompu dans son vieil âge ; il construisit des temples pour les dieux païens de ses nombreuses épouses et concubines, négligea les affaires du gouvernement et permit à d’autres forces de l’emporter. Par conséquent, l’un des serviteurs de Salomon, Jéroboam, amena les dix tribus du nord sur le point de succomber à une guerre civile avec Juda, et ceux associés aux Juifs à Jérusalem et ses contrées, y compris Levi, Siméon, et une partie de Benjamin qui avait des frontières contiguës.

Le royaume était divisé ; Jéroboam établit un gouvernement provisoire en Samarie, au nord, et Roboam, le fils de Salomon, continua à régner sur le trône à Jérusalem, comme roi de Juda.

Il y avait maintenant deux nations distinctes. La Maison d’Israël, au nord, ayant pour capitale la Samarie, sous le règne de Jéroboam, et la Maison de Juda, composée principalement de ceux de la tribu de Juda, avec de nombreux Lévites et Siméonites, avec pour capitale, Jérusalem. Jamais ces dix tribus au nord n’étaient appelés Juifs! Les «Juifs» étaient de Juda, d’où la dérivation du terme «Juif».

Maintenant, remarquez ce qui est arrivé immédiatement après la révolte d’Israël contre le règne malfaisant de Roboam: «Jéroboam dit en son cœur: Le royaume pourrait bien maintenant retourner à la maison de David [la lignée que Dieu promis par le sceptre de l’alliance; la promesse de la GRÂCE, et non la race]. Si ce peuple monte à Jérusalem pour faire des sacrifices dans la maison de l’Éternel, le cœur de ce peuple retournera à son seigneur, à Roboam, roi de Juda, et ils me tueront et retourneront à Roboam, roi de Juda.» (1 Rois 12: 26-27)

Jérusalem était la capitale économique, culturelle et spirituelle de l’ancienne nation! Le temple était le bâtiment le plus magnifique au monde! Des centaines de milliers de ces personnes considéraient ce voyage comme étant le rêve de leur vie, un véritable pèlerinage, pour être à même de visiter le temple pour y offrir des sacrifices, et adorer Dieu. Et QUAND faisaient-ils de tels pèlerinages?   PENDANT LES SABBATS ANNUELS, quand ils pouvaient faire usage de leur dîme du festival (comme une « Deuxième dîme » que les gens épargnaient POUR EUX-MEMES: POUR LEUR PROPRE FAMILLE – DIX POUR CENT DE LEUR REVENU ANNUEL QUI LEUR AVAIT ETE COMMANDE D’EPARGNER POUR CE BUT SPÉCIFIQUE!) (Deutéronome 14: 22-26).

Jéroboam réalisa que les liens spirituels, sociaux, culturels et économiques du peuple étaient à Jérusalem. Alors que fit-il ? Il se tourna délibérément vers l’IDOLATRIE! Comme un leader «spirituel» charlatan: « …Après avoir demandé conseil, le roi fit deux veaux d’or, et il dit au peuple: Assez longtemps vous êtes montés à Jérusalem ; Israël ! Voici ton dieu, qui t’a fait sortir du pays d’Égypte.

«Il plaça l’un de ces veaux à Béthel, et il mit l’autre à Dan.

«Ce fut la une occasion de PÉCHÉ. Le peuple alla devant l’un des veaux jusqu’à Dan.   Jéroboam il fit une maison de hauts lieux [ceux-ci étaient adorés sous les symboles d’Astarté et Ishtar (prononcé «Easter» comme en anglais) ; symboles phalliques disposées en «bosquets», utilisant généralement des troncs d’arbres verticaux, ou pierre ou en métal obélisques], et il créa des sacrificateurs PRIS PARMI TOUT LE PEUPLE et n’appartenant point aux fils de Lévi.

«Il établit une fête au huitième mois, … » (1 Rois 12: 26-32).

Quel que soit ce que Jéroboam faisait, il le faisait pour opportunisme politique. Voilà un homme cynique ; un homme qui ne croyait pas un seul instant au vrai Dieu et ne comptait pas lui obéir! Pourquoi?

Au début, Jéroboam s’était distingué à cause des péchés de Salomon ; il lui avait été dit qu’il hériterait les dix tribus du nord! Lisez-le, dans 1 Rois chapitre 11. Après avoir déchiré son manteau en douze morceaux, le prophète de Dieu donna dix morceaux à Jéroboam et dit : « … Voici, je vais arracher le royaume de la main de Salomon, et je te donnerai dix tribus: (Mais il aura une tribu à cause de mon serviteur David, et à cause de Jérusalem, la ville que j’ai choisie parmi toutes les tribus d’Israël 🙂 Et cela, parce qu’ils m’ont abandonnés devant Astarté [Ishtar; Astarté prononcé comme «Easter» «Pâques» en anglais ; la déesse païenne de la reproduction sexuelle et de la fertilité] … et parce qu’ils n’ont point marché dans mes voies pour faire ce qui est droit à mes yeux et pour observer mes lois et mes ordonnances, comme l’a fait David, père de Salomon. … Mais j’ôterai le royaume de la main de son fils [Salomon], et je t’en donnerai dix tribus ; … Si tu obéis à tout ce que je t’ordonnerai, si tu marches dans mes voies et si tu fais ce qui est droit à mes yeux, en observant mes lois et mes commandements, comme l’a fait David, mon serviteur, je serai avec toi, je te bâtirai une maison stable, comme j’en ai bâti à David, et je te donnerai Israël. » (1 Rois 11: 30-38).

Il y avait là, une fois de plus, une alliance conditionnelle. Si Jéroboam restait fidèle aux lois de Dieu en étant un bon exemple pour les peuples d’Israël élus de Dieu, il recevrait les bénédictions de Dieu! Sa progéniture pourrait continuer à régner sur le trône.

Au lieu de cela, il a eu recours à la politique, au raisonnement humain. Il n’a pas vraiment cru en Dieu, comme l’avait fait Abraham. Il n’aspirait qu’au pouvoir, au poste, à l’argent et aux biens matériels! Sa pensée était centrée sur SOI, sur son ego et sa vanité!

Comme tout dictateur, il était paranoïaque! Craignant de placer quelqu’un d’une intelligence réelle dans des postes de «pouvoir» potentiel et en raison d’une menace possible pour lui et sa fonction, il responsabilisait les moindre des intelligents: les moins qualifiés dans le pays comme ses prêtres!

Maintenant, les dix tribus nordiques d’Israël étaient solidement dans les mains d’un malhonnête, un politicien égocentrique assoiffé de pouvoir! Maintenant, leurs dirigeants étaient «ses hommes», spécialement choisis pour leur banalité ; leur manque brutal d’éducation, de caractère ou de qualifications. Réalisant qu’il perdrait le pouvoir si le peuple demeurait spirituellement attaché à Jérusalem, il chercha à contester tout motif possible de leurs pèlerinages. Il éleva des veaux d’or: idoles qui étaient des abominations aux yeux de Dieu, tant à Dan qu’à Beersheba.   Malgré ça, il n’était pas satisfait. Estimant que le peuple était habitué à la célébration de la grande fête des tabernacles au septième mois, il chercha à modifier même ce commandement de Dieu. Il établit une fête alternative au huitième mois, celle dédiée à Ashteroth, et pas au Dieu vivant.

Peu de temps après, Dieu envoya un puissant témoin à Jéroboam pour ses énormes péchés. Il envoya son prophète pour avertir Jéroboam, qu’il trouva debout devant son autel d’encens païen. Le prophète parla contre Jéroboam et contre l’autel en disant : «Autel, autel, ainsi parle l’Éternel: Voici, il naitra un fils à la maison de David ; Son nom sera Josias ; il immolera sur toi les prêtres des hauts lieux qui brûlent sur toi des parfums, et l’on brulera sur toi des ossements d’hommes ! (1Rois 13: 1-9).

Lisez l’histoire dans ces versets! Lorsque Jéroboam étendit impérieusement sa main contre le prophète, pointant vers lui, commandant à ses serviteurs, sa main flétrit comme un bâton sec! Il cria en consternation! Soudain, l’autel s’ébranla ; la cendre vola de partout! L’autel avait été surnaturellement détruit!

Jéroboam fut choqué, intimidé, effrayé ! Il plaida: «Implore, je te prie, l’Éternel, ton Dieu, et prie pour moi, afin que ma main me soit rendue.» (Verset 6)

Comme beaucoup de pécheurs, il connaissait Dieu! Quand il fut en difficulté à cause de ses propres péchés, il invoqua Dieu dans son désespoir! Il pouvait parfaitement S’APITOYER! Remarquez ici qu’il n’a pas dit: «Éternel, MON Dieu», mais «ton» Dieu, parlant au prophète.

Sa main fut guérie. Pourtant, même après que le prophète ait été tué par un lion à la suite d’un subterfuge mensonger qui le poussa à désobéir à la voix de Dieu, la Bible dit: «Après cet événement, Jéroboam ne se détourna point de sa mauvaise voie. Il créa de nouveau des prêtres des hauts lieux pris parmi tout le peuple ; quiconque en avait le désir, il le consacrait prêtre des hauts lieux. Ce fut là une occasion de péché pour la maison de Jéroboam, et c’est pour cela qu’elle a été exterminée et détruite de dessus la face de la terre.» (1 Rois 13: 19-34)

Imaginez-vous! Bien que Dieu ait permis le développement d’une situation de quasi-guerre civile ; bien qu’il ait prédit que les dix tribus du nord seraient données à Jéroboam ; bien qu’il l’ait mis en garde d’obéir à Dieu et de marcher dans ses commandements ; bien que Dieu ait envoyé un prophète pour l’avertir de sa perfidie, il a tout de même refusé de se repentir!

Dieu a alors résolu de l’enlever. Malgré cela, Dieu accomplirait sa promesse faite à Abraham, Isaac et Jacob! Il devait accomplir sa promesse envers David! Jamais il ne manquerait un héritier du roi David pour s’assoir sur le trône d’Israël!

La politique calleuse de Jéroboam le poussa à nommer des dissipateurs, des personnes à la dérive, des vagabonds, la lie de la société aux rangs du sacerdoce! Oui, le peuple d’Israël avait un leadership totalement corrompu!

Jéroboam régna vingt-deux années, et son fils Nadab lui succéda, continuant dans ses voies idolâtres.   L’histoire d’Israël regorge de cas de plaidoiries continuelles de la part de Dieu pour les ramener à ses lois et les amener à garder ses commandements, afin qu’ils soient heureux, eux et leurs enfants. Il y avait tout de même quelques dirigeants justes présents parmi eux ; Jéhu élimina les prophètes de Baal, et fut félicité pour cela par l’Éternel, mais il ne détruisit pas les veaux d’or de Dan et Beersheba.

À maintes reprises, Dieu aurait pu détruire Israël, la pécheresse au cou raide! Pourquoi ne l’a-t-il alors pas fait?

Écoutez! «Mais Hazaël, roi de Syrie, avait opprimé Israël pendant toute la vie de Joachaz.

«Mais l’Éternel leur fit miséricorde et eu compassion d’eux, il tourna sa face vers eux À CAUSE DE SON ALLIANCE AVEC ABRAHAM, ISAAC ET JACOB, il ne voulut pas les détruire, et JUSQU’À PRÉSENT il ne les a pas rejetés de sa face!» (2 Rois 13:22).

Les promesses de Dieu à Abraham étaient INCONDITIONNELLES! Par sa miséricorde, il épargna Israël d’être expulsé de leur terre, «toutefois », NON à cause leur justice, mais parce que Dieu ne pouvait manquer à Sa parole donnée à Abraham!

Mais finalement, Dieu exerça Ses jugements contre Israël, la pécheresse, et la rebelle au cou raide, jugements qu’il avait à plusieurs reprises prononcé au travers de Ses prophètes pour, littéralement, de nombreuses générations.

Dieu avait averti: «Mais si vous ne m’écoutez point et ne mettez point en pratique tous ces commandements [qui furent donnés pour leur bien] ; si vous méprisez mes lois, et si votre âme a en horreur mes ordonnances, en sorte que vous ne pratiquiez point tous mes commandements et que vous rompiez mon alliance:

voici alors ce que je vous ferai: j’enverrai sur vous la terreur, la langueur et la fièvre, qui rendrons vos yeux languissants et votre âme souffrante [l’anxiété, la peur, l’inquiétude, l’absence de paix mentale et de tranquillité, des maladies comme la pneumonie, la grippe, la tuberculose, l’emphysème, le cancer du poumon, diverses maladies comme la variole, la varicelle, la rougeole et surtout, pouvant entraîner une perte de la vue], et vous sèmerez en vain vos semences : vos ennemis les dévoreront.

«Je tournerai ma face contre vous, et vous serez battus devant vos ennemis ; ceux qui vous haïssent domineront sur vous, et vous fuirez sans que personne vous poursuive.

«Si, malgré cela, vous ne m’écoutez point, je vous châtierai sept fois plus pour vos péchés.» (Lévitique 26: 14-18). À quatre reprises, Dieu répéta cet avertissement solennel –qu’Il punirait Israël sept fois, pour ses crimes et ses péchés nationaux! Lisez le chapitre entier! La même histoire dans Deutéronome 28 vaut aussi la peine d’être lue. Dieu détaille tout d’abord les merveilleuses bénédictions qu’il répandrait sur son peuple Israël si et seulement s’il vivait selon les voies qui leur ferait récolter tout BON RESULTAT, la voie de la loi de Dieu, qui est BONNE pour lui!

Il promet des cultures abondantes ; le laboureur dépassant le moissonneur dans les champs ; des bébés heureux et en bonne santé, de bons mariages plein d’amour, de bons emplois couronnés de succès ; une absence d’impôts et de conscription militaire ; et la PAIX ; pas de crainte des ennemis, pas de guerre!

Dieu montre à son peuple que ses lois PRODUISENT toutes ces choses merveilleuses, car elles sont des lois vivantes, des principes vitaux qui, une fois appliquées, produisent comme résultat, toutes ces bénédictions merveilleuses! Dans un sens, ils sont AUTOMATIQUES.   Pourtant, Dieu a promis d’intervenir activement, apportant directement les grandes bénédictions promises en cas d’obéissance!

Que désire chaque être humain si ce n’est le succès, la prospérité ; le bonheur, l’épanouissement, un sentiment de bien-être ; la satisfaction, l’AMOUR, la joie, l’excitation, une BONNE SANTE et une longue vie pour pouvoir en jouir? Pour Israël, Dieu a promis toutes ces choses, les choses que chaque être humain raisonnable VEUT VRAIMENT.

Mais si Israël abandonnait les lois de Dieu ; violait Ses sabbats et abandonnait ses commandements ; s’Il façonnait des idoles païennes et suivait les pratiques abominables des nations païennes autour d’elle, alors Dieu dit qu’Il le punirait sept fois pour ses péchés!

QU’EST-CE QU’UN « TEMPS (FOIS) »?

Lorsque Dieu envoya des espions à la terre promise pour l’explorer, avant qu’Israël ne traverse le Jourdain pour la posséder, ils effectuèrent la mission quarante jours durant.

Plus tard, après que Dieu ait refusé à Moïse d’entrer dans le pays ; après avoir privé la génération plus âgée d’Israël d’entrer dans la terre promise à cause de sa rébellion, ses plaintes et ses murmures, il a annoncé qu’elle serait retardée dans la possession de son héritage promis pendant quarante ans!

Il expliqua qu’Il avait fixé chaque jour que les espions avaient passé à errer dans le pays promis pendant un an. «Et quant à vous, vos cadavres tomberont dans ce désert.

«Selon le nombre des jours que vous avez mis à reconnaître le pays, quarante jours, UN JOUR POUR UNE ANNÉE, vous porterez vos iniquités quarante ans, et vous connaîtrez ce que c’est que je me sois détourné de vous [de l’opposition, l’aliénation].» (Nombres 14: 32-34).

Manifestement, Dieu leur a fait subir quarante ans de difficultés supplémentaires ; errant, privés de tout privilège et d’héritage, afin de leur apprendre une leçon bien amère!

Maintenant, remarquez! Lorsque Dieu dit à Son prophète Ézéchiel de dépeindre le siège à venir contre Jérusalem sur un morceau de carreau, Il dit: «Prends une poêle fer, et mets-la comme un mur de fer entre toi et la ville; dirige ta face contre elle, et elle sera assiégée, et tu l’assiégeras. Que ce soit là un signe pour la maison d’Israël!

«Puis couche-toi sur le cote gauche, mets y l’iniquité de la maison d’Israël, et tu porteras leur iniquité autant de jours que tu seras couché sur ce côté.

«Et moi, je t’ai assigné les ANNÉES de leur iniquité SELON LE NOMBRE DES JOURS, trois cent quatre-vingt-dix jours, et tu porteras l’iniquité de la maison d’Israël.» (Ézéchiel 4: 2-5).

Il poursuit en disant, au sujet de Juda: « … et tu porteras l’iniquité de la maison de Juda [nation séparée, distincte de la maison d’Israël] pendant quarante jours ; je t’impose un jour pour chaque année » (verset 6).

Comme une clé pour comprendre la chronologie prophétique, Dieu nous dit qu’Il estime le temps de différente manière par rapport aux calendriers païens de ce monde. Lisez Apocalypse 12: 6, 14 et 13: 5. Ici, nous avons trois valeurs: «Mille, deux cent, et soixante jours» (1260), un «temps, des temps, et la moitié d’un temps », et «quarante-deux mois».

Dans ces versets il s’agit d’un laps de temps dans l’histoire ancienne des 1260 années ainsi que d’une période littérale de trois ans et demi qui sont encore à venir! Les mathématiques simples montrent que Dieu estime le temps prophétique comme suit:

(1) Chaque année prophétique a exactement 360 jours.

(2) Chaque mois prophétique dispose de trente jours.

(3) Chaque jour prophétique symbolise un an dans l’accomplissement.

Quarante-deux mois, 1260 jours et trois ans et demi sont tous d’une même longueur de temps.

Ceci est la clé pour comprendre la signification des «sept temps» durant lesquels Israël devra porter la peine de ses iniquités, privés de grandeur nationale ; de l’héritage généreux que Dieu avait promis donner à la postérité d’Abraham!

Comme nous le verrons plus tard, il y a eu des accomplissements remarquables de ces mystérieux sept temps de châtiments nationaux, dont plusieurs de ces accomplissements qui ont eu lieu tout récemment dans l’histoire du monde!

Maintenant, revenons à la raison pour laquelle Dieu a éjecté Israël du pays!

Il faut lire le chapitre entier de 2 Rois 17 afin d’obtenir la vraie perspective. J’en citerai ici des parties:   «La douzième année d’Achaz, roi de Juda, Osée, fils d’Éla régna sur Israël à Samarie [la capitale des dix tribus]. Il régna neuf ans.

«Il fit ce qui est mal aux yeux de l’Éternel, non pas toutefois comme les rois d’Israël qui avaient été avant lui.

«Salmanasar, roi d’Assyrie, monta contre lui ; et Osée lui fut assujetti, [ils capitulèrent rapidement, se livrant devant la force militaire écrasante de l’empire assyrien, devenant comme un «État satellite», des vassaux] et lui paya un tribut [payant des rançons monstrueuses ; vidant les trésors de l’État et renonçant à la force économique de la nation!]».

Pendant ce temps, Osée se tourna vers toutes les sources imaginables pour chercher de l’aide SAUF VERS L’ETERNEL DIEU!   Il était désespéré, et recherchait des alliances étrangères (comme le font systématiquement les États-Unis et la Grande-Bretagne) ; des pactes, des accords ; des traités d’assistance mutuelle ; des pactes de non-agression ; des organisations des États qui pourraient en quelque sorte conjurer la terrible exploitation d’Israël par l’Assyrie!

«Mais le roi d’Assyrie découvrit une conspiration chez Osée, qui avait envoyé des messagers à So, roi d’Égypte, et qui ne payait plus annuellement le tribut au roi d’Assyrie [de l’extorsion de fonds; hommage]. Le roi d’Assyrie le fit enfermer et enchaîner dans une prison.» (2 Rois 17: 1-4)

Imaginez-vous! Le dirigeant de la nation au sujet de laquelle Dieu avait dit qu’elle causerait la fuite de cinq mille hommes devant eux, mais cinq d’entre eux ; la grande nation que Dieu avait promise à Abraham, Isaac et Jacob ; la «Maison d’Israël» était maintenant réduite à une puissance mineure, lâche, tremblante, peureuse et ayant de la crainte. Ils se prosternaient devant la puissance militaire des Assyriens! Leur roi, après une faible tentative de demande d’aide païenne, aux païens Égyptiens (pas à Dieu!), était emprisonné! Quelle ignominie! Quel déshonneur!

Tout cela eut lieu au cours de l’année 721 avant Jésus-Christ. Pendant les trois années suivantes, de 721 à 718 avant Jésus-Christ, les armées assyriennes assiégèrent la Samarie.

Au cours de la neuvième année du règne d’Osée (718 avant Jésus-Christ), après des vagues successives d’invasion, les armées assyriennes conquirent des parties de plus en plus grand des territoires Israéliens, emportant un nombre massif de captifs avec eux en Assyrie ; dans le pays situé entre la mer Noire et la mer Caspienne, la Samarie, capitale des dix tribus du nord d’Israël, qui tomba.

«La neuvième année d’Osée, le roi d’Assyrie prit Samarie, et emmena Israël captif en Assyrie. Il les fit habiter à Chalach, et sur le Chabor, fleuve de Gozan, et dans les villes des Mèdes.

«Cela arriva parce que les enfants d’Israël péchèrent contre l’Éternel, leur Dieu, qui les avait fait monter du pays d’Égypte, de dessous la main de Pharaon, roi d’Égypte, et parce qu’ils craignirent d’autres dieux. Ils suivirent les coutumes des nations que l’Éternel avait chassées devant les enfants d’Israël, et celles que les rois d’Israël avaient établies.

«Les enfants d’Israël firent en secret contre l’Éternel, leur Dieu, des choses qui ne sont pas bien. Ils se bâtirent des hauts lieux dans toutes leurs villes [lieux pour le culte d’Asherah, symboles phalliques ; pales verticales et obélisques, comme on le voit dans les « clochers modernes» qui ornent les églises aujourd’hui], depuis les tours des gardes jusqu’aux villes fortes.

« et ils se dressèrent des statues [en Hébreux «bosquets», signifiant des groupements de pales verticales; symboles phalliques] et des ashères [en Hébreux, Asherim, les symboles païens sexuels des nations autour d’eux] sur toute haute colline et sous tout arbre vert, sur toute colline élevée, et là ils brûlèrent des parfums sur tous les hauts lieux, comme les nations que l’Éternel avait chassées devant eux, et ils firent des choses mauvaises, par lesquelles ils irritèrent l’Éternel. «Ils servirent les idoles, dont l’Éternel leur avait dit: Vous ne ferez pas cela.

« L’Éternel fit avertir Israël [dix tribus d’Israël, au nord], et Juda [la nation au sud; capitale de Jérusalem: les «Juifs»], par tous ses prophètes, et par tous les voyants, et leur dit: Revenez de vos mauvaises voies [se repentir!], et observez mes commandements et mes ordonnances, en suivant entièrement la loi que j’ai prescrite à vos pères, et qui je vous ai envoyée par mes serviteurs les prophètes.

«Mais ils n’écoutèrent point et ils raidirent leur cou, comme au cou leurs pères, qui n’avaient pas cru en l’Éternel, leur Dieu … Ils firent passer par le feu leurs fils et leurs filles [sacrifice d’enfants! Une pratique abominable] ils se livrèrent a la divination [divination, séances, qui cherchent à entrer en contact avec les mauvais esprits, les sorcières, démons, l’utilisation des cartes de tarot, fatidique de l’eau, observation des étoiles, boules de cristal, la lecture de palme; toutes les formes variées de nécromancie et pratiques sataniques] et aux enchantements, et ils se vendirent pour faire ce qui est mal aux yeux de l’Éternel, afin de l’ l’irriter.

«C’est pourquoi l’Éternel était très irrité contre Israël, et LES A ÔTÉ DE SA VUE: il n’est restée QUE LA SEULE TRIBU DE JUDA!» (2 Rois 17: 6-18).

Combien de gens savent-ils cela? Croyez-le ou non, il y a des milliers et des milliers de «ministres ordonnés» ; ceux qui parlent de «Jésus» et du «salut» qui ne savent ABSOLUMENT RIEN à propos de l’identité des nations des États-Unis et des nations du Commonwealth britannique ; qui NE SAVENT tout simplement PAS qu’Israël et les «Juifs» ne sont PAS LES MÊMES ; mais qu’Israël avait été emmené en captivité, entièrement retiré de sa terre et que Juda, les Juifs, était la seule tribu restant en Palestine, dans les années 718 avant Jésus-Christ ; plus de SEPT CENTS LONGUES ANNEES AVANT JESUS CHRIST!

Des milliers de personnes sont COMPLETEMENT IGNORANTES de l’histoire biblique. Par conséquent, elles sont ignorantes de la PROPHETIE! Ils manquent la seule CLE la plus importante pour acquérir une compréhension de la prophétie biblique, la connaissance de l’identité de la plus grande nation du monde: les États-Unis d’Amérique!

Les livres qui se vendent le mieux visent à informer des millions de personnes sur ce à quoi elles peuvent s’attendre dans l’avenir ; des millions de personnes ont lu des livres dont les titres ont traits à «l’Apocalypse» et au «Livre de l’Apocalypse», ainsi qu’à «Armageddon» et à propos de «l’image et la marque de la bête».

Des millions de personnes croient savoir ce que l’avenir réserve. Certains croient que la «bête» est les ÉTATS-UNIS (une ridicule et lamentable erreur!). Des millions de personnes croient que nos peuples sont des gentils de la tribu des «Gomer»!

Même pas un pour cent des ministres du culte connaissent les histoires nationales distinctes d’Israël et de Juda ; à propos du retrait d’Israël en captivité ; à propos de la perte subséquente de leur identité à travers l’histoire ; à propos des sept fois qui expireraient lorsque privés de leur héritage national.

Par conséquent, ils ne peuvent pas connaître l‘identité réelle de la Grande-Bretagne et des États-Unis dans la Bible ; ils ne peuvent connaitre les nombreux avertissements de Dieu à nos peuples.

Demeurant IGNORANTS de cette connaissance profondément importante, ils ne peuvent pas prêcher le message de la vérité de la parole de Dieu ; ils ne peuvent pas être engagés au poste de SENTINELLES en faveur du peuple de Dieu!

Des dizaines de milliers de personnes prêchent «au sujet de Jésus». Ils peuvent prêcher avec éloquence sur la vie chrétienne, les divers concepts doctrinaux, les philosophies ou les valeurs sociales. Ils peuvent citer les bons prédicateurs des temps passés, inspirer et électriser les foules avec de bonnes paroles. Nombreux de ces orateurs deviennent célèbres, prêchant sur le «succès», et mettant l’accent sur la «pensée positive». Certaines de leurs paroles, sans doute la plupart de ce qu’ils disent est utile dans la vie quotidienne. Cependant, étant ignorants de la CLÉ la plus importante qui déverrouille toute la PROPHETIE biblique, ils ne peuvent pas AVERTIR nos peuples sur ce qui est à venir! La plupart ne prêchent pas ce qu’est le péché ; que c’est une violation des DIX COMMANDEMENTS (1 Jean 3: 4) ; que le salaire du péché c’est la MORT pour l’éternité!

D’une certaine manière, Dieu est maintenant en train d’apporter à votre intelligence, une connaissance qui jadis était PERDUE ; une information qui a été CACHEE à des millions de personnes! Voulez-vous écouter? Voulez-vous prêter attention? Voulez-vous éprouver toutes choses (1 Thessaloniciens 5:21) tel que Dieu l’ordonne, sondant les écritures avec votre propre Bible et parvenant enfin à la connaissance?

Le chapitre 17 de 1 Rois est un terrible réquisitoire contre les dirigeants corrompus de la nation Israélite, comme nous l’avons vu. Dieu dit qu’ils ne faisaient qu’aller de mal en mal «… Jusqu’à ce que l’Éternel ait chassé Israël loin de sa face, comme Il l’avait annoncé par Ses serviteurs les prophètes. Et Israël a été emmené captif loin de son pays en Assyrie, ou il est reste jusqu’à ce jour.

« Le roi d’Assyrie fit venir des gens de Babylone, de Cutha, d’Ava, de Hamath, et de Sepharvaïm, et les établit dans les villes de Samarie à la place des enfants d’Israël. Ils prirent possession de Samarie, et ils habitèrent dans ses villes.» (2 Rois 17: 23-28)

Les Assyriens pratiquaient des déportations massives ; des réinstallations massives, pensant éviter que les populations déplacées ne forment des forces de guérilla cohésives ; qu’elles ne tentent de former une force souterraine significative et que l’Assyrie ne soit menacée de l’intérieur. En fin de compte, lorsqu’on a connaissance de ce que sont les Assyriens modernes, on parvient à saisir une image beaucoup plus large de l’histoire récente, et de l’avenir.

POURQUOI, alors, Dieu a-t-il ôté les Israélites pécheurs?

Il leur avait envoyé Ses prophètes pendant littéralement des générations! Il avait plaidé pour qu’ils reviennent à Ses lois ; ses statuts et jugements ; les principes de vie qui leur étaient donnés pour leur plus GRAND BIEN!

Au lieu de cela, ils pratiquèrent continuellement les abominations des nations païennes qui les entouraient! Leur nation sécessionniste était fondée sur le concept d’un faux sacerdoce, composé des mécontents, des dissipateurs, des gens complètement incompétents de la nation! Leur premier roi, Jéroboam, érigeât deux veaux d’or (chérubins) comme idoles ; changeât les jours saints annuels de Dieu et les substituât avec une fête au huitième mois, au lieu du septième!

Ils vénéraient le dieu SOLEIL ; observaient les phénomènes de la nature tels que le solstice d’hiver (le 25 Décembre, l’anniversaire de Tammuz, accompagné de symboles païens du sexe et de la fertilité, comme les petits arbres décorés avec orbes et ampoules) ; l’équinoxe de printemps, qui doit son nom à Ishtar (prononcé «Easter», ce qui signifie «Pâques» en français) et accompagné des symboles du sexe et de la fécondité, comme les lapins, les œufs, et la fleur de lys, et dont les païens pensaient qu’il ressemblait à un symbole de sexe.

Ils abandonnèrent le SABBAT de Dieu ; le jour qui rappelait son existence ; qu’Il est le Grand CREATEUR. Ils abandonnèrent ses fêtes annuelles qui avaient été données à «l’église dans le désert» (Actes 7:38) qui dépeignait le grand dessein et le plan de Dieu et qui les aurait gardé dans la connaissance de la raison même de leur vie humaine sur cette terre!

Ils embrassèrent les coutumes dégoutantes et abominables ; permirent, et même favorisèrent la sodomie, l’homosexualité, la perversité de toute sorte. Leurs mariages furent détruits ; leurs maisons démantelées. Les lois de Dieu, qui auraient protégé leurs maisons et préservé leurs mariages furent abandonnées! Dès lors, ils dérivèrent vers le sacrifice infantile!

Finalement, ils se sont tellement pervertis et devenus complètement méchants que Dieu les a enlevés de la terre. Leurs pratiques criminelles ont apporté la privation, la difficulté, la pauvreté, la misère, la maladie et l’affection! Dieu a retiré Ses bénédictions. Il a retiré Sa protection.

Ils étaient à présent brisés en tant que royaume. Ils étaient anéantis en tant que nation ; pris en flagrant délit, déportés comme esclaves.

ISRAËL ERRANTE: COMMENT ILS SE SONT «PERDUS» DANS L’HISTOIRE

Des décennies se sont écoulées, tandis que les terres autrefois appartenant à Zabulon, Dan, Gad, Nephtali, Benjamin, Aser, et Manassé, les dix-tribus du nord de la MAISON D’ISRAËL étaient en ruines, occupées par les lies païennes déportées de l’Assyrie.

Mais dans les anciennes plaines de Babylone, une montée en puissance en pleine expansion et développement se mettait en place. Les terres fertiles entre les fleuves du Tigre et de l’Euphrate étaient occupées par les peuples de l’Empire Babylonien qui maintenant étaient influents. Enfin, l’empire Assyrien était vaincu ; les peuples mixtes des dix tribus d’Israélites se joignaient à leurs anciens ravisseurs en fuyant loin, au nord, pour échapper à la puissance de Babylone.

Quand le roi Omri régnait en Samarie, il étendit le commerce sur la plupart des royaumes gentils du nord.   Son nom était prononcé «Humri» et «Khumri» par beaucoup d’entre eux. Le nom pour le «peuple» ou la «maison d’ « Omri, était «Beth-Omri» en hébreux, mal prononcé comme «Bit-Khumri» par les Assyriens.

Nombreux commençaient à se référer à eux comme les «Samaritains», selon le nom de leur capitale, la Samarie. Cela a été transformé en «Simiriens» et «Cimmériens ».

La tribu de Dan se démarquait pour leur coutume de nommer des lieux significatifs comme les villes, les montagnes, les rivières, les péninsules ou toute autre place d’importance géographique en l’honneur de leur ancêtre, Dan. Par exemple, très tôt dans l’historique de la Palestine, la tribu de Dan avait pris la ville septentrionale de «Laïs» ; une part de leur héritage, au début de l’installation d’Israël dans la terre promise. Ils avaient immédiatement rebaptisé le lieu «Dan», et ce nom demeura à travers histoire. Vous vous souviendrez que Jéroboam, serviteur de Salomon, premier roi du royaume du nord d’Israël avait érigé un de ses veaux d’or à «Dan».

Les Danites laissaient leur nom partout où ils allaient. J.H. Allen détaille beaucoup de ces lieux. Quelques-uns sont importants: les deux principales rivières de la région entre la mer Noire et la mer Caspienne sont, le DNiester et le DNieper, drainant les vastes plaines de l’ouest de la Russie et de la Pologne, dans la Mer Noire. Le grand réseau fluvial de l’Europe, qui coule vers l’est et se jette dans la mer Noire, est appelé «Le fleuve de DAN», c’est ce que DANUBE signifie en latin. Il y a aussi la rivière UDON et la rivière DON.

Près de la rive nord de la mer d’Azov, une partie de la mer Noire, se situe la ville de DONetsk. La péninsule de la «Crimée» pourrait bien être une déformation de «Cimméria» ou «Samarie».

Non seulement les Danites dénommaient d’importantes rivières et des terres selon leur nom, ils ont également laissé le nom d’ «Eber» (d’où dérive le mot «Hébreu»), et «Dan» dans les zones, du Moyen-Orient en Espagne et au Portugal, et aux Îles Britanniques et l’Irlande. La moitié de la tribu de Dan étaient des marins, vivant le long de la côte Palestinienne. Dans le chant de triomphe de Déborah et Barak, après la délivrance de Dieu, une chronique poétique des tribus d’Israël fut composée. De Dan, ils chantaient, «… et pourquoi Dan s’est-il tenu sur les navires? » (Juges 5:17)

Les Danites étaient parmi les premiers à arriver en Irlande, ils s’installèrent à Tuatha de Danann (tribu de Dan). La rivière «Ebro» (la prononciation espagnole d’ «Hébreu» est «Ebreo» ; phonétique : «Eh-brahy-o». «Ebro» est prononcée, «Eh-bro ») se jette dans la Méditerranée au sud de Barcelone, en Espagne. La péninsule espagnole était anciennement appelée «Ibérique» (Encore une fois, «Heber» ou «Eeber» est évidente).

Un des pays scanDINaves est aujourd’hui «DANmark», ce qui signifie, «la marque de DAN». Il y a de fortes raisons de croire, malgré de nombreux «balisages» laissés par la navigation de la migration des Danites dans d’autres régions, que Dan est l’actuel Irlande. Si cela est le cas, la haine prolongée entre l’Irlande (qui, contrairement à l’Angleterre et la plupart des nations du nord-ouest d’Europe et les États-Unis, est restée presque 100 pour cent catholique) et l’Angleterre, les réalités politiques passées, actuelles et futures peuvent servir d’outils pour expliquer pourquoi Dan est omis de toute mention du scellement par l’esprit de Dieu des 144 000 personnes pendant la Grande Tribulation. Au lieu de cela, la part de Dan est accordée à «Joseph», c’est-à-dire à Éphraïm et Manassé.

Comme l’ancien royaume de Babylone gagnait de l’influence, les peuples nomades de l’Assyrie et des dix tribus captives parmi elles étaient repoussées de plus en plus vers le nord et vers l’ouest. La principale tribu des Assyriens était appelée les «Halmanni». Les Latins appelaient la terre de l’Allemagne «Alemannia». Aujourd’hui, les Mexicains et les Espagnols appellent l’Allemagne «Aleman». Un Allemand est «un Aleman».

«Teuton» signifie simplement «guerrier au javelot», un nom donné aux peuples germaniques par les Romains. «Deutschland» est la prononciation germanique de «Teuton», et n’a pas d’origines ethnologiques, mais se réfère plutôt aux anciens noms donnés aux peuples belliqueux rencontrées par les Romains en Europe septentrionale et centrale.

Enfin, la Maison de Juda au sud était conquise par Nabucadnetsar, roi de Babylone pendant des décennies, plus de CENT ANS après la captivité des dix-tribus du nord de la nation d’ISRAËL, après que la nation qui les tenait captives, l’Assyrie, ait été subjuguée, ait cessé d’être une puissance mondiale et après qu’elles aient toutes été chassées. Maintenant, les «Juifs» devaient endurer 70 années de captivité! Mais, contrairement aux dix tribus de la maison d’Israël, aujourd’hui PERDU dans l’histoire, les Juifs avaient reçu la promesse prophétique de RETOURNER à la terre de Palestine. Ils l’ont fait, suivant le décret de Cyrus, au temps d’Esdras, Néhémie et Zorobabel.

Finalement, quelques-uns des Israélites ont dû retourner en Palestine. Bien sûr, les gens voyagent au-delà des délimitations tribales ; traversent les frontières nationales. En outre, les Babyloniens pourraient bien avoir capturé quelques fragments des familles Israélites, qui pourraient par la suite s’être mêlés avec les captifs de la maison de Juda pendant leurs 70 années de captivité à Babylone.

En tout cas, ce serait une erreur que d’insister qu’un seul être humain des dix tribus perdues ne soit JAMAIS retourné en Palestine, car Anne était une «prophétesse d’Aser», et Paul clairement prétendait être un Benjaminite. Mais quelques exceptions ne sont pas une généralité. La grande majorité des dix tribus avaient disparues de l’histoire. La plupart restent ignorants de leur emplacement et de leur l’identité, même aujourd’hui.

Mais maintenant, qu’en est-il des promesses de Dieu à Abraham? Qu’en est-il de la dynastie des rois promis par Dieu qui ne manquerait pas?  Dieu, ne tiendrait-il pas à sa parole? Israël, disparaîtrait-elle à jamais? Ou serait-il privé de son héritage national prophétisés COMME DIEU L’AVAIT DIT, jusqu’à l’accomplissement des SEPT TEMPS? Nous le verrons.

VOCATION ETRANGE DE JEREMIE

Lorsque Dieu appela Jérémie, Il lui révéla sa vocation spéciale.

«La parole de l’Éternel me fut adressée, en ces mots : «Avant je t’aie formé dans le ventre de ta mère, je te connaissais, et avant que tu sois sorti de son sein, je t’avais consacré, je t’avais établi prophète des nations.» (Jérémie 1: 4, 5).

Ensuite Dieu envoya Jérémie, lui adressant en ces mots: «Regarde, je t’établis aujourd’hui sur les nations et sur les royaumes, pour que tu arraches et que tu abattes, pour que tu ruines et que tu détruises, pour que tu BÂTISSES et que tu PLANTES.» (Jérémie 1:10).

Comme à Ézéchiel, Dieu dit à Jérémie qu’il n’avait pas à craindre les persécutions à son endroit, mais qu’il devait demeurer fidèle au message de Dieu.

Une des parties les plus fascinantes de l’histoire personnelle de Jérémie se trouve dans les chapitres 36 à 38.

Ici, Jérémie a fidèlement enregistré dans un rouleau les prophéties de Dieu contre la nation de Juda. Baruch, son scribe, écrivait. Vous lisez comment Jojakim a brûlé les paroles de la prophétie de Jérémie, et de la façon dont Dieu a inspiré Baruch d’écrire non seulement la prophétie d’origine, mais les mots «beaucoup de paroles semblable» (Jérémie 36:32).

Plus tard, Sédécias succéda Jeconia, fils de Jojakim, sur le trône. Jérémie demeurait fidèle à son message d’avertissement et fut accusé (Jérémie 37:13) d’être un subversif « livré aux Chaldéens ».

Pour avoir insisté qu’il était un homme patriotique qui était appelé de Dieu pour avertir sa nation, Jérémie fut battu et mit en prison. (Jérémie 37:15)

Plus tard, Sédécias secrètement demanda Jérémie s’il y avait une nouvelle parole de l’Éternel (chapitre 38:17) et à suite de sa conférence avec le roi, il fut gardé «dans la cour de la prison, et qu’on lui donne chaque jour un pain de la rue des boulangers, jusqu’à ce que tout le pain de la ville soit consommé. Ainsi, Jérémie demeura dans la cour de la prison.» (Jérémie 37:20, 21)

Encore plus tard, quelques-uns des princes de la ville insistèrent auprès du roi que Jérémie soit tué. Et le roi, incapable de leur résister totalement, se compromit en leur permettant de jeter Jérémie dans une citerne. (Jérémie 38: 6).

Ébed Mélec, l’un des eunuques du roi, apprit la situation, persuada le roi, et Jérémie fut sauvé de la citerne (Jérémie 38: 7-13).

Par conséquent, «Jérémie demeura dans la cour de la prison jusqu’au jour de la prise de Jérusalem, et il était là quand Jérusalem fut prise».

Conformément aux prophéties de Jérémie, les yeux de Sédécias furent crevés et il fut emmené en captivité à Babylone (Jérémie 39: 7).

Jérémie fut bénéficiaire d’une immunité diplomatique (Jérémie 40: 4) et fut libéré de sa captivité par le chef des gardes de l’armée Babylonienne.

Maintenant, il était temps que la deuxième partie de la vocation de Jérémie s’accomplisse!

Il avait été utilisé par Dieu pour avertir de l’arrachement, l’abattement et la destruction de la maison de Juda.

Maintenant, du fait que Dieu avait promis qu’il ne manquerait jamais de postérité de David pour siéger sur le trône éternel de David, il était temps pour Jérémie de «bâtir et planter».

Comment ceci est-il arrivé ? Lisez Jérémie 40 et 41. Guedelia, fils d’Achikam, établi un gouvernement provisoire à Mitspa. Jérémie alla rester avec lui (Jérémie 40: 6).

Il n’a pas fallu beaucoup de temps avant que le roi Ammonite complota avec Ismaël pour assassiner Johanne. Guedalia, informé du complot, refusa d’y croire.

Cependant, un peu plus tard Ismaël et ses accompagnants assassinèrent un grand nombre de personnes, y compris le gouverneur, plusieurs des Babyloniens qui étaient là, et un certain nombre de Juifs.

Apparemment Guedalia espérait emporter le reste de ces réfugiés à Ammon comme captifs, augmentant ainsi la force des Ammonites.

À l’insu de tous les participants à ces intrigues, Dieu Tout-Puissant leur permettait de fournir un moyen pour Jérémie de remplir sa mission mystérieuse, celle de «bâtir et planter».

Notez ! « Ismaël fit prisonniers tout le reste du peuple qui était à Mitspa, même les filles du roi et toutes les personnes qui demeuraient à Mitspa, que Nebuzaradan, chef des gardes, avait engagées à Gedeliah, fils d’Achikam ; et Ismaël, fils de Nethania, les emmena captifs, et partit pour passer à l’ammonite » (Jérémie 40:10).

Notez soigneusement!

Dieu Tout-Puissant avait fait à David une promesse inconditionnelle selon laquelle, sa progéniture siègerait sur le trône de David de générations en générations.

Sédécias était mort. En outre, le roi de Babylone avait tué les fils de Sédécias avant de lui crever les yeux, puis aveuglé et emmené à Babylone, où il décéda plus tard.

Maintenant il ne restait plus que les filles du roi, de la race royale.

La promesse de Dieu à David allait-elle échouer?

Pas du tout! Rappelez-vous que Jérémie avait été établi pour «bâtir et planter» ainsi qu’arracher et abattre.

Maintenant, la partie «construction et plantation» de sa vocation avait commencé.

Baruch était secrétaire personnel, compagnon et ami de Jérémie. L’évidence historique suggère que Baruch avait également des liens de parenté avec les filles du roi, il était peut-être un oncle.

Pourquoi l’étrange prophétie du chapitre le plus court du livre de Jérémie est-il donnée? Lisez le chapitre 45! Dans cette brève prophétie, Dieu révéla que Baruch était en deuil à cause des catastrophes qui affligeaient sa nation et, pour remonter son moral, Dieu lui promit que sa propre vie serait épargnée.

«…Car voici, je vais faire venir le malheur sur toute chair, dit l’Éternel ; et je donnerai ta vie pour butin là où tu iras.» (Jérémie 45: 5)

À ce stade, il est important d’inclure une citation substantielle du livre de J.H. Allen, Sceptre de Juda et Droit d’Ainesse de Joseph: «Par conséquent, nous trouvons dans la suite de la prophétie ce qui suit: «Voici, je veillerai sur eux en mal, et non pour le bien ; et tous les hommes de Juda qui sont dans le pays d’Égypte seront consumés par l’épée et par la famine, jusqu’à ce qu’il soit mis fin à leur vie. Pourtant, un petit nombre qui échappera à l’épée, retournera hors du pays d’ÉGYPTE».

« Souvenez-vous que les masses de la maison de Juda, du peuple juif, étaient en captivité à Babylone, où ils devraient rester pendant soixante-dix ans. Rappelez-vous aussi que ce reste qui est entré en Égypte n’était qu’une extrémité en lambeaux de la nation, à savoir, les pauvres de la terre, et quelques chefs de petites forces militaires. Maintenant, le Seigneur propose de détruire ce reste, dont « un petit nombre s’échappera». À présent faisons le point.

« 1. Nous avons dans cette compagnie de Juda, descendu en Égypte, « les filles du roi». Étant donné que le nombre utilisé dans le texte est le pluriel, il y a donc au moins deux de ces filles. L’histoire dit qu’il y avait trois filles. Celles-ci sont la race royale de la maison de David, qui s’enfuient devant les tueurs de leur père, Sédécias, le dernier roi de la maison de Juda, et les tueurs de leurs frères, les fils de Sédécias et princes de Juda.

« 2. En compagnie de ces princesses se trouve Jérémie, leur grand-père, que le Seigneur a aussi choisi pour bâtir et planter. Avec les princesses à ses côtés, le prophète possède du matériel royal lui permettant de bâtir et planter.

« 3. En compagnie de Jérémie et sa charge royale, nous avons Baruc, son fidèle secrétaire, dont les experts généalogistes ont prouvé avoir été l’oncle de la race royale.

« 4. Dieu a promis que la vie de ce « petit nombre », seulement cinq ou six tout au plus, leur sera donnée pour butin (récompense) dans tous les lieux où ils iront.

« 5. Avant cela, à un moment où Jérémie était très troublé, quand dans sa grande détresse et angoisse de cœur, il cria à l’Éternel, en disant: « Souviens-toi de moi, rends-moi visite et venge-moi de mes persécuteurs» ; alors le Seigneur a dit : «En vérité, il doit être bien à ton reste ; Certes, je forcerai l’ennemi à t’adresser ses supplications, au temps du malheur et au temps de la détresse … Je te fais passer avec ton ennemi dans un pays que tu ne connais pas.» (Jérémie 15: 11-14)

« Notez l’expression` «ton reste», c’est-à-dire celui de Jérémie, car il est celui qui doit bâtir et planter cette semence royale. Comprenez aussi que Jérémie et son petit reste connaissaient bien l’Égypte, et savaient que ce n’aurait pas été là leur destination finale. Par conséquent, ce reste royal en fuite doit retourner en Judée, pour ensuite aller où?

«Dans une terre inconnue! Pourquoi? Car de Jérusalem il sortira un reste, et de la montagne de Sion des réchappés (sur lequel étaient les demeures royales). Vois-là ce que fera le zèle de l’Éternel des armées. Ce qui aura été sauvé de la maison de Juda, (ligne royale) ce qui sera resté poussera encore des racines par-dessous, et portera du fruit par-dessus» (Esaïe 37:31, 32).

«Prêtez l’oreille! Ô prêtez l’oreille! Vous habitants de la terre, PRETEZ L’OREILLE! Vous prendrez encore racine (serez « plantés ») et porterez des fruits (serez «reconstruits»)! Où ? Dieu devrait nous le dire dans Sa Parole, et Il le fait » (Judah’s Sceptre and Joseph’s Birthright, en français «Le Spectre de Juda et le Droit d’Aînesse de Joseph», pages 197, 198).

L’histoire rapporte que les dix tribus du royaume du nord d’Israël, avec pour capitale la Samarie, étaient complètement subjuguées par des vagues successives d’envahisseurs assyriens, et emportées en captivité.

L’Empire Assyrien avait finalement été conquis par l’empire Babylonien. Dieu a utilisé Nabucadnetsar pour subjuguer la nation de Juda, avec sa capitale, Jérusalem, et, conformément aux prophéties de Jérémie, les fils du roi Sédécias étaient assassinés, les yeux de Sédécias crevés, et le roi était emporté à Babylone en captivité, pour languir et mourir en fin de compte.

Mais attendez une minute!

Dieu avait fait une promesse inconditionnelle à David, qu’un rejeton de la race royale de sa propre lignée serait assis sur son trône jusqu’à ce qu’au moment de la seconde venue du Christ!

Dieu a prévu qu’un «reste» de la race royale devrait S’ECHAPPER!

Jérémie avait été chargé de témoigner et d’avertir le roi Sédécias; non seulement Dieu lui avait dit qu’il allait l’utiliser pour superviser l’abattage cet ancien royaume, mais qu’il serait également un instrument pour bâtir et planter dans une terre nouvelle et différente!

Il existe des preuves historiques qu’un reste de la race royale était bel et bien arrivé dans les îles britanniques, qu’un mariage eu lieu et que des enfants y étaient nés, accomplissant ainsi les promesses de Dieu à David (le sceptre ne s’éloignera pas Juda), que David aurait toujours un rejeton de sa propre lignée pour régner sur le trône que Dieu lui a confirmé.

UNE VIOLATION; ET UNE GUERISON

JH Allen, dans son livre renommé, Sceptre de Juda et droit d’ainesse de Joseph, consacre beaucoup de temps au «Prince du fil cramoisi » et au «reste royale» unis (voir les chapitres 6 et 7).

Souvenez-vous que le sceptre, symbolisant une dynastie sans fin de rois qui était promis inconditionnellement à JACOB (Israël) et reconfirmé à David, appartient spécifiquement à la lignée Davidique.

Allen souligne à juste titre la distinction entre la famille judéo-davidique et le royaume qui portait le nom de «Juda», ce qui bien sûr a été déformé par le surnom de «Juif» aujourd’hui.

À ce point dans le livre d’Allen (chapitre 6 et 7), il expose à fond l’histoire de la première «ruine» de ce trône promis, explique l’«énigme et la parabole» du grand aigle et la plus haute branche du cèdre, ainsi que la guérison de la brèche entre Phérets et Zérach.

Tout d’abord, ouvrez et lisez Ézéchiel 21: 22-27.

«Et toi, profane, méchant, prince d’Israël, dont le jour arrive au temps où l’iniquité est à son terme! Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel: La tiare sera ôtée, le diadème sera enlevé. Les choses vont changer. Ce qui est abaissé sera élevé, et ce qui est élevé sera abaissé. J’en ferai une ruine, une ruine, une ruine! Ceci aussi ne sera plus [renversé], jusqu’ à ce que vienne celui auquel appartient le juste jugement, et je le lui donnerai».

Cette prophétie, comme tant d’autres dans la Bible, est DOUBLE dans sa nature.

Sa première application très certainement concernait Sédécias, le «prince d’Israël», intronisé le jour même de la prophétie d’Ézéchiel.

Évidemment, Dieu allait «enlever le diadème», c’est-à-dire retirer la domination des mains de Sédécias (ôter la couronne, «ce ne sera plus [sur] la même tête»).

Ensuite Dieu «élèverait celui qui est abaissé, et abaisserait celui qui est élevé». Sédécias, étant «élevé», c’est-à-dire assis sur le trône d’Israël, serait abaissé.

Dieu a dit, «J’en ferai une ruine, une ruine, une ruine! Ceci aussi ne sera plus, jusqu’ à ce que vienne celui auquel appartient le juste jugement, et je le LUI donnerai».

De toute évidence, l’expression «Ceci aussi ne sera plus» implique (comme Allen le dit à juste titre), PAS qu’il cessera d’exister, ou qu’il ne pourrait pas demeurer pour être donné à «celui auquel il appartient», mais qu’IL NE SERAIT PLUS RUINÉ!

Ces trois « ruines » distinctes de ce trône ont été prophétisées!

En ôtant cette lignée royale de Jérusalem, en Palestine, à une terre lointaine, la première ruine ou le transfert, serait accompli.

Allen dit: «En outre, l’expression, «ce ne sera plus la même tête», pris ensemble avec la prophétie concernant les ruines, nous conduisent à nous attendre à un changement, tant de dynastie, ne serait-ce qu’au niveau de la lignée masculine, que de situation territoriale ou géographique. Cela est encore plus évident lorsque nous considérons qu’il doit y avoir trois ruines, et qu’après que la troisième ruine ait eu lieu, il ne doit plus y en avoir une autre jusqu’à ce qu’une certaine personne vienne.   Aussi, après que le diadème ait été ôté de la tête du prince qui le portait au moment de la première ruine et placé sur la tête de `celui qui est abaissé, «il est à noter alors que soit, cet homme, considéré comme l’antécédent du pronom personnel, «celui», ou sa lignée, sera détrôné par le Seigneur en faveur de cette autre personne, qui est désigné comme celui à qui il appartient,« celui à qui on le remettra ensuite»(Le Sceptre de Juda et Droit d’Aînesse de Joseph , pages 202 et 203).

Pour découvrir la réponse à la question «à qui APPARTIENT le trône?» et «QUI est « celui qui est abaissé ? », vous devez ouvrir Genèse 38 et lire l’histoire de Tamar et comment elle était déterminée à ne pas rester sans enfant et, indignée par le refus de Juda de lui donner son fils Schéla, elle se déguisa en prostituée et devint enceinte de Juda.

La sage-femme, d’une manière ou d’une autre (probablement par la Providence divine) savait que des jumeaux étaient sur le point de naître.

Souvenez-vous que Dieu avait dit: «Le sceptre [symbole d’une lignée royale et symbole de la promesse faite plus tard à David] ne s’éloignera point de JUDA. »

Les deux bébés qui étaient sur le point de naitre étaient d’une lignée princière, en dépit des complots humains et des subterfuges

Allen dit: «L’inoubliable manière dont Juda était obligé de reconnaître que ces enfants étaient sa progéniture et que leur mère était plus juste que lui, place très certainement le fait de leur lignée royale au-delà de la possibilité d’ergoter».

«Au moment de l’accouchement et après que la sage-femme ait été convoquée, il y avait présentation d’une main. Puis, pour une raison quelconque, soit humaine ou divine, la sage-femme savait que des jumeaux étaient dans le ventre. Ainsi, afin de les connaître et être en mesure de témoigner qui était né en premier, elle attacha un fil cramoisi sur la main tendue. Étant donné que Juda était de la famille royale en Israël, et que le droit d’aînesse prévalait parmi eux, il était essentiel que cette distinction soit faite de sorte que le moment venu, le premier-né ou fils aîné puisse monter sur le trône

«Après que le fil cramoisi ait été sécurisé sur la petite main, elle se retira et son frère sortit en premier. En voyant cela la sage-femme cria: `Quelle brèche as-tu faite? Puis, apparemment, elle était remplie de l’esprit de prophétie et dit: « que cette brèche soit sur toi» et à cause de cette parole prophétique, elle lui donna le nom de Pérets, c’est-à-dire, « ne brèche». Ensuite son frère, qui avait à la main le fil cramoisi sortit et elle lui donna le nom de Zérach, c’est-à-dire, « la semence» (Le Sceptre de Juda et Droit d’Aînesse de Joseph, JH Allen, pages 203, 204)

En lisant l’histoire ultérieure, nous voyons que David était de la branche de Pérets, de la famille de Juda, que Sédécias était aussi de la branche de Pérets, et que les généalogies bibliques listent même Jésus-Christ comme étant un descendant (comme reconnu à travers son père adoptif, Joseph) de la lignée de Pérets, de la famille de Juda.

Remarquez qu’aucun d’eux n’était de la lignée de Zarah.

Dieu allait finalement «guérir» la brèche qui eut lieu en «abaissant» celui qui était «élevé» (c’est-à-dire la Lignée de Pérets, y compris David et Sédécias), et en «élevant», celui qui était «abaissé», à savoir la lignée de Zarah.

Comment la brèche allait-elle être guérie?

Considérez ceci!

Dieu avait promis que le sceptre, l’insigne de fonction royale ne s’éloignerait point de Juda. Maintenant la lignée de David, du côté de la famille de Perets le possédait fermement, et l’alliance de Dieu avec David lui assurait qu’il ne manquait jamais de descendant assis sur ce trône et que c’était une alliance perpétuelle.

La «brèche» ne saurait être guérie en éloignant le trône de Pérets (la descendance de David) et en le donnant à Zarah (celui qui était «abaissé») car cela ne ferait que perpétuer la brèche.

Non, ce serait guéri en reliant les deux côtés de la famille par le lien du mariage, unissant les deux en un seul et guérissant ainsi la brèche.

L’histoire de cet accomplissement est contenue dans une «énigme» et une «parabole» au 17eme chapitre du livre d’Ézéchiel.

Allen, citant Ézéchiel, dit : «La parole de l’Éternel me fut adressée, en ces mots : Fils de l’homme, propose une énigme, dis une parabole à la maison d’Israël ! Tu diras: Ainsi parle le Seigneur, l’Éternel: grand aigle, aux ailes déployées… », etc.

«Le mot hébreux traduit ici par énigme est défini comme «un puzzle ; d’où une astuce, un dilemme, un adage caché, une question difficile », etc. Ces définitions correspondent à notre pensée anglaise d’une énigme, ou quelque chose posée et qui doit être résolue par des conjectures, une question qui vous laisse perplexe ou une proposition ambiguë. Une parabole, d’autre part, est beaucoup plus comme une fable ou une représentation allégorique de quelque chose qui est vraie dans son rapport à la vie et à la pensée humaine, et est représenté par quelque chose de réel dans la nature. » (Le Sceptre de Juda et le Droit d’Aînesse de Joseph, chapitre 7, page 207).

Mais attendez une minute! Terminez le chapitre, en prêtant attention très précisément aux versets 22 à 24!

Souvenez-vous qu’il vous a été dit que vous avez affaire à une «énigme», et une «parabole». Maintenant, remarquez l’importance que JH Allen et les autres attachent à cette énigme et parabole.

Allen souligne que le cèdre du Liban est un symbole de royauté. En outre, dit-il, «Il est vrai que les rameaux doivent être mis en terre, greffés, ou plantés, afin qu’ils grandissent et portent du fruit…»

Lisez tout le chapitre attentivement, et remarquez qu’il ne s’agit pas d’une prophétie à l’endroit de Juda, ou des Juifs d’aujourd’hui, mais plutôt une prophétie s’adressant à «la maison d’Israël».

La première partie de l’énigme est assez facile à expliquer par les versets suivants. Le «grand aigle» qui vint sur le Liban, et enleva la cime d’un cèdre représente évidemment le siège de Nabucadnetsar, la destruction de Jérusalem et la captivité de Sédécias.

Très probablement, l’arrachement des «jeunes rameaux» du cèdre et l’emport de ces derniers dans «un pays de commerce » est lié avec l’emport en captivité des fils du roi.

Mais souvenez-vous que la mission de Jérémie était à DOUBLE FACETTE! D’abord, il était chargé d’ «abattre», ce qui signifie qu’il serait le prophète de Dieu portant un témoignage et un message d’avertissement au chef de la nation de cet époque, et s’il ne tenait pas compte de ces prophéties (comme était le cas ici), il verrait la destruction de la nation.

La deuxième partie de la mission de Jérémie était «de BÂTIR et PLANTER»!   Maintenant, lisez les trois derniers versets de toute importance!

En différente langue, Dieu dit, «Je couperai du haut de ses jeunes branches un tendre rameau et le planter sur une haute montagne éminente ».

La Bible se sert de montagnes comme symboles pour les nations. Les petites collines sont utilisées pour symboliser les petits pays, mais une «haute montagne »ou« montagne élevée» représente certainement la nation de Dieu d’ISRAËL!

Si les « jeunes rameaux» représentaient les fils de Sédécias, alors le «tendre rameau» représente une fille ou des filles!

L’énigme continue en disant que ce «tendre rameau» serait PLANTE sur cette montagne haute et élevée, c’est-à-dire dans la nation d’ISRAËL!

Allen dit, «Où a-t-elle été planté?» À la montagne de la hauteur d’Israël, est la réponse divine. «Quelle ISRAEL?» Oui, Israël, Israël nationale. Israël en tant que nation ; mais pas Israël juive car ce royaume est en ruine ; le peuple est parti en captivité à Babylone ; le roi, avec ses yeux crevés, est condamné à mourir dans les chaînes dans une prison de Babylone ; les princes sont morts ; les filles du roi, se sont échappée de Jérusalem ; et le plus élevé de ces tendres rameaux est planté ici à la hauteur des montagnes d’Israël, à savoir, le TRONE». (Le Sceptre de Juda et le Droit d’aînesse de Joseph, JH Allen, à la page 213).

Cela est en lien avec l’identité de «la Maison d’Israël» et «LA MAISON DE JUDA».

Souvenez-vous de la distinction entre la «MAISON D’ISRAËL» et la «MAISON DE JUDA»! La «Maison d’Israël» fait toujours référence au royaume des dix tribus du NORD dont la capitale était la Samarie, et qui n’a jamais été JUIVE!

Pensez-y!         Où, dans le monde entier et tout au long de l’histoire, trouverez-vous deux NATIONS SŒURS, se ressemblant beaucoup, parlant la même langue, possédant les mêmes perspectives générales sur la vie ; ayant des croyances religieuses, historiques, sociologiques et culturelles presque identiques et qui posséderaient entre leurs mains une grande partie de la RICHESSE du monde entier?

En fait, l’histoire mystérieuse du «prince au fil cramoisi » et de la «brèche» qui eut lieu n’est rien d’autre qu’un aperçu fascinant de la MANIERE DONT Dieu accomplirait sa grande PROMESSE tant envers Joseph (qui avait bénéficié du droit d’aînesse) qu’envers David, à qui il avait été promis que ses descendants demeureraient sur son trône (le sceptre ne s’éloignera point de JUDA).

Le premier renversement de ce trône eut lieu lors de la destruction de Jérusalem, la captivité et l’évasion des FILLES de Sédécias, dans une nouvelle et différente terre, dans ce que la Bible décrit comme la «HAUTEUR d’ISRAËL».

Dans la troisième partie du livre de Allen, chapitre 1, pages 228 et 229, il énonce les faits suivants:

«(1) Aux environs de 585 BC un` homme remarquable, «un personnage important», «un patriarche», un «saint», quelqu’un d’une importance essentielle, selon les différentes sources de description, vint à Ulster, la province à l’extrême nord de l’Irlande, accompagné d’une princesse, la fille d’un roi de l’Est, et qu’un certain Simon Brach, Breck, Brack, Barech, Berach, selon les différentes orthographes, était l’un de leurs compagnons ; et que ce groupe royal avait apporté beaucoup de choses remarquables. Parmi lesquelles, une harpe, une arche et la merveilleuse pierre appelée Lia-Fail, ou pierre de destin, dont nous aurons beaucoup à dire ci-après.

«(2) Cette princesse orientale était marié au roi Herremon à une condition donnée par ce notable patriarche ; condition selon laquelle il devrait abandonner son ancienne religion, et construire une école pour les prophètes. Ce Herremon le fit, et le nom de l’école était Mur-Ollam qui veut dire école des prophètes. Tant en hébreux qu’en irlandais. Il changea aussi le nom de sa capitale, Lothar, autrefois appelé Cothair Croffin en Tara.

«(3) Le nom de cette princesse orientale est reconnu comme Tea-Tephi ; un fait bien connu de tous est que les armoiries royales de L’Irlande sont la harpe de David, et l’a été pendant 2500 années. » (Ibid., Pages 228, 229).

Il est bien connu que divers groupes prônant la théorie «Israël britannique» (soi-disant) croient que la pierre qui reposait sous le siège de la chaise de couronnement à l’abbaye de Westminster est, en effet, cette même pierre, la «Lia-Fail» qui aurait été apporté à Ulster par cet ancien patriarche, accompagné d’une princesse et de son scribe, «Brack». Cette pierre est maintenant en Ecosse, mais sera retourné à l’abbaye pour des couronnements futurs.

Était-ce Jérémie, Tea-Tephi et Baruch?

D’aucuns disent que la pierre de couronnement peut bien être «la stèle de Jacob», mais ne croient pas qu’il pourrait s’agir de la fameuse «Lia-Fail», qui était comme une «pierre d’inauguration» utilisée dans la cérémonie du couronnement des rois antiques, et dont la tradition dit qu’elle «hurlait à haute voix» ou «gémissait», avec une voix comme audible à l’occasion d’un couronnement!

Des dizaines d’anciens monuments de pierre dont plusieurs avec des fins et origines obscures et totalement mystérieux se trouvent dans les îles britanniques.

L’un des plus célèbres est, bien sûr, «Stonehenge». Plusieurs théories ont été avancées quant à ses constructeurs et son objectif ; lisez cet article intéressant dans l’Encyclopédie Britannica, 11ème édition, pour de plus amples informations.

Il y a une seule mention dans l’histoire inspirée de l’onction d’une pierre.

De manière significative, l’onction de cette pierre intervient à un moment où Dieu est apparu à Jacob à travers un rêve frappant (le supplanteur), dont le nom devait être changé en ISRAËL (vainqueur, celui qui prévaut avec Dieu).

Vous avez déjà lu l’histoire (pages 22-24).

Je vous invite à lire l’ouvrage, «Le Sceptre de Juda et droit d’aînesse de Joseph», écrit par JH Allen. Dans son chapitre sur «le chevet de la stèle de Jacob» (page 230), un chapitre particulièrement intéressant.

Il fait grand cas de l’emport de cette même pierre en Égypte, ce qui mérite d’être lu.

Il dit, par exemple: «Cela nous amène à un point essentiel du sujet qui nous occupe, à savoir: «Que non seulement Bethel en tant que ville ou lieu, mais aussi Bethel en tant que rocher-pilier a été donné à la famille du droit d’aînesse, et qu’Israël avait emporté ce roc en Égypte et dans leurs voyages consécutifs dans le désert.

«Preuve: Jacob mourut en Égypte, pendant que sa postérité y étaient. Au moment de sa mort, « Jacob appela son fils et dit, rassemblez-vous, ce que je peux vous dire que ce qui vous arrivera dans les derniers jours ».   Quand ses fils, répondant à cet appel, se réunirent, il leur annonça ce que la postérité de chacun d’eux deviendrait dans la suite des temps. Mais pendant qu’il donnait la prophétie concernant Joseph et sa maison, à qui il venait d’octroyer le droit d’aînesse, il s’arrêta en pleine paroles prophétiques, et utilisa l’expression entre parenthèses suivant: « (à partir de là est le berger, la pierre d’Israël)».

Le terme «de là» employé ici, est un adverbe utilisé comme un nom, et équivaut en valeur à cet endroit, ou au lieu auquel il se réfère. L’expression, de là, signifie «sorti de là», «à partir de là», (ou) «sur ce lieu». Ainsi, le fait même que Jacob mourant en Égypte, ait fait usage de ces mots en référence à cette pierre Bethel, prouve que la pierre n’était pas, à ce moment-là, à l’endroit où elle avait été autrefois, mais qu’elle était avec eux en Égypte, et avait déjà été sous la garde de la maison de Joseph.»

Allen cite également des occasions où un rocher spécial était apparemment transporté par Moïse et les Israélites. À titre d’exemple, il nous rappelle de l’occasion où «l’Éternel parla à Moïse, et dit: Prends ta verge, et rassemble l’assemblée et adresse-toi au rocher devant leurs yeux ; et il donnera de son eau, et tu la donneras à l’assemblée et leur bétail afin qu’ils boivent. Et Moïse prit la verge devant le Seigneur, comme Il l’avait ordonné. Et Moïse et Aaron convoquèrent l’assemblée devant le rocher, et ils leur dirent: écoutez maintenant, rebelles! Devons-nous chercher de l’eau de ce rocher? Et Moïse leva la main, et avec sa verge il frappa deux fois le rocher: Et l’eau sortit en abondance, et l’assemblée but ainsi que les animaux. »

En outre, Allen cite plusieurs occasions où les rois de la dynastie promise qui devaient régner se tenaient sur un «pilier» en rocher lors d’un serment solennel, d’une proclamation, ou même d’une cérémonie de couronnement. (Lisez 2 Rois 11:13, 14.)

Le Dr Adam Clark raconte l’histoire comme suit: «Et quand Athalie entendit le bruit de la garde et des gens, elle vint vers le peuple dans le temple du Seigneur.   Et quand elle regarda, et voici! Le roi se tenait sur un pilier». Clark continue, en expliquant que ce fut-là «le lieu du trône sur lequel ils avaient usage de placer leurs rois quand ils les proclamaient rois ». Et dans une version révisée il est écrit: «Debout sur l’estrade, selon leur coutume».

Maintenant, tournez les pages et lisez 2 Rois 23: 3: «Le roi se tenait sur une estrade, et il traita alliance devant l’Éternel s’engageant à suivre l’Éternel, et à observer ses ordonnances, ses préceptes et ses lois, de tout son cœur et de toute son âme, fin de mettre en pratique les paroles de cette alliance, écrites dans ce livre. Et tout le peuple entra dans l’alliance».   L’article «une» peut facilement être changé en «l’», signifiant un pilier de pierre spécifique, celui qui a été couramment utilisé dans des cérémonies de couronnement, ou lorsque le dirigeant de la nation faisait une proclamation particulière, une loi, un édit ou un vœu.

Dans un chapitre subséquent, Allen approfondit l’histoire de l’origine du nom de la princesse «Tea-Tephi» et son évasion en Irlande.

«Cette petite compagnie disparut de l’Égypte, mais sûrement, ils réapparurent en Irlande, comme merveille des merveilles! Ils avaient apporté avec eux une stèle et depuis, elle a été utilisée comme pierre de couronnement dans le royaume».

«Plus tard, Tea (parfois orthographié Teah)-Tephi était elle-même couronnée sur cette stèle, et le nom de la capitale d’Erin fut changé, de Cathair Crofin à Tara, ce qui est aussi un mot hébreux. Mais à ce stade l’histoire vient à notre aide, et déclare avec une autorité incontestée que, depuis ce moment jusqu’à présent, tous les rois et reines qui ont régné en Irlande, en Ecosse ou en Angleterre ont été couronné sur cette même stèle ou pierre de couronnement. Même la reine Victoria fut couronnée sur cette pierre à deux reprises ; la première fois comme reine d’Angleterre, et la deuxième fois comme impératrice de l’Inde».

À l’occasion du couronnement de la reine Victoria, le 28 Juin 1837, un article paru dans le London Sun, qui donnait une description de la chaise et la pierre de couronnement, comme suit: «Communément appelée, chaise de Saint-Édouard, cette chaise est un ancien siège en bois massif, avec le dos et les accoudoirs de la même matière, peinte de façon variée, et sur laquelle les anciens rois d’Ecosse étaient constamment couronnés. Mais, après la victoire d’Edward I sur John Balliol, roi d’Ecosse, en l’an 1296, la chaise fut sortie du royaume et emportée et depuis lors, elle demeure dans l’abbaye de Westminster, et a été la chaise sur laquelle les rois et reines successifs de ce royaume ont été intronisés.   Elle est d’une hauteur de six pieds et sept pouces ; sa largeur, entre les accoudoirs est de vingt-huit pouces, et sa profondeur de dix-huit pouces. À neuf pouces du sol se trouve une planche soutenue aux quatre coins par de nombreux lions. Entre le siège et cette planche est enfermée une pierre généralement appelée Pierre de Jacob, ou Marbre fatal, pierre d’une forme oblongue d’environ vingt-deux pouces de longueur, treize pouces de large et onze pouces de profondeur; d’une couleur d’acier, mélangée avec quelques veines de rouge. L’histoire rapporte qu’il s’agit de la pierre sur laquelle le patriarche Jacob posa sa tête dans les plaines de Luz. Comme vous le voyez, cet article avait été publié il y a plus de soixante ans [plus de 164 ans à présent!] avant qu’on ne pensa que les Anglo-Saxons pouvaient être des descendants de Joseph, l’héritier de la bénédiction du droit d’aînesse que Dieu donna à ses pères, Abraham, Isaac et Jacob

«Cet article explique en outre que` cette pierre fut transportée en Irlande à travers l’Espagne, environ sept cents ans avant Jésus-Christ. De là, elle fut emmenée en Ecosse par le roi Fergus, environ 370 ans plus tard ; et en l’an 350 B.C, elle fut placée dans l’abbaye de Scone, par le roi Kenneth, qui fit graver un verset prophétique dessus, verset dont voici une traduction: «Destin voulant, partout où cette pierre se trouvera, les Ecossais seront couronnés monarques de ce royaume».

Allen souligne qu’avant que le roi Kenneth ne grave son verset sur cette pierre de couronnement, il y avait un verset prophétique qui y était joint et que Sir Walter Scott transmit comme suit:

À moins que les destins ne deviennent déloyaux,
Et la voix du prophète vaine,
Partout où se trouvera cette pierre sacrée,
La race des errants régnera.

Allen poursuit en disant, «Pensez-y! Pendant plus de sept cents ans, cette pierre a été à l’abbaye de Westminster. Le doyen Stanley, dans ses «Commémoratifs de l’abbaye de Westminster», dit: l’objet de grande attraction jusqu’à ce jour, pour d’innombrables visiteurs de l’abbaye, est probablement ce monument antique irlandais de l’empire connu sous le nom de pierre de couronnement». Il l’appelle une «précieuse relique» et dit que le roi Édouard Ier affirma que «c’est l’unique monument primitive qui lie l’ensemble de l’empire». Le doyen ajoute: «Les anneaux de fer, la surface cabossée, la fissure qui n‘a fait que fendre sa masse solide, témoignent bien de ses longues migrations. Un élément des temps poétiques, patriarcaux et païens … est ainsi gravé au cœur de la monarchie anglaise, élément (qui) ramène nos pensées aux races et coutumes en voie d’extinction ; un lien qui unit le trône d’Angleterre avec les traditions de Tara et Iona, et relie le charme de notre civilisation complexe aux faveurs de la terre-mère, des ressources et des pierres de nature sauvage. Que ce soit par loyauté ou par folie, le sentiment de la nation a, au travers des trois cents générations d’hommes vivants, montré que la stèle de Jacob était une chose qui valait la peine d’en mourir dans une bataille.» (Sceptre de Juda et droit d’ainesse de Joseph, pages 251-255).

Oui, en effet, pensez-y!

Cette fameuse pierre était certainement la première chose que je voulais voir quand je suis allé en Angleterre en 1956! À chaque fois que j’y allais et si l’occasion se présentait à moi de faire visiter Londres aux nouveaux venus, je ne manquais jamais de les amener voir la chaise de couronnement et leur montrer la pierre avec son célèbre insigne

Quelques années plus tard, bien entendu, des voleurs s’enfuirent avec la pierre, mais elle fut retrouvée plus tard par Scotland Yard et ramenée à sa place. Il m’a été donné de comprendre que la chaise et la pierre du couronnement sont conservés dans un lieu plus sûre à présent, et je ne saurai dire si elles sont en effet visibles aux visiteurs à l’abbaye

Elle est exactement telle que cet ancien article de journal la décrit. En la contemplant, on est conduit à se demander si cette pierre s’est en effet reposée sous cette unique chaise de couronnement qui puise ses origines dans la plus haute antiquité, pendant des centaines d’années, et comment ses accoudoirs ne seraient-ils pas bien usés?

De toute évidence, cette pierre a été transportée çà et là pendant une période de temps considérable, peut-être même qu’elle aurait parcouru de plus grandes distances. Il n’y a pas d’autres explications à donner aux accoudoirs à chaque extrémité de la chaise, devenus tellement usés

Maintenant, posez-vous des questions évidentes.

POURQUOI la reine d’une nation moderne de l’ère spatiale, une nation qui est le berceau de la soi-disant «civilisation chrétienne», et qui est aussi la patrie mère de tous les pays anglophones du monde occidental, devrait-elle être couronnée, assise sur un rocher antique?

De même que les anciens rois de Juda se tenaient sur le rocher, ou se «trouvait l’estrade» lors du couronnement en tant que roi, ou d’une proclamation, de même aujourd’hui, la reine d’une nation moderne, la Grande-Bretagne, est couronnée, assise sur la célèbre chaise de couronnement, sous laquelle repose ce que beaucoup croient avec ferveur être «la stèle de Jacob»!

Serait-ce une coïncidence ou une fable?

L’héritier au trône, le prince Charles, sera probablement couronné ROI D’ANGLETERRE dans un futur assez proche ; et rassurez-vous, il sera couronné roi, assis sur une pierre!

En fait, DIEU A accompli son ancienne alliance avec David ; il n’a jamais manqué de postérité de sa propre descendance pour s’assoir sur le trône, PAS de «n’importe quelle nation» dans le monde occidental, mais d’une nation moderne d’ISRAËL! Cette nation c’est EPHRAIM, la Grande-Bretagne ; et dans ce pays se trouve une ancienne chaise de couronnement sacrée avec une pierre extrêmement antique se reposant sous son siège

Il est fort probable que ce rocher soit celui sur lequel Jacob posa sa tête il y a tant de siècles ; ce même rocher fut transporté par les enfants d’Israël au sortir d’Égypte ; ce même rocher fut frappé par Moïse à Horeb; par ou sur ce même rocher se tenaient, les rois de Juda pendant des siècles lors de leur couronnement ; la même pierre fut emportée par Jérémie et son scribe Baruc, avec la fille du roi, en Irlande ; c’est sur cette même pierre que les rois d’Ecosse et d’Angleterre, ont depuis lors été couronnés; c’est en effet, la même pierre qui était dans l’abbaye de Westminster pendant de nombreux siècles, et qui aujourd’hui est en Ecosse.

Ceux qui ont soigneusement étudié l’histoire savent que les États-Unis d’Amérique étaient une nation insignifiante, une nation en difficulté, une puissance mineure en 1800.

Les grands empires du monde se trouvaient en Europe et en Asie féodale. Les grandes puissances impérialistes colonisatrices (les britanniques, les néerlandais, les espagnols, les portugais et les français) avaient revendiqué les possessions, des Indes orientales à l’Afrique, de l’Amérique centrale et du Sud à Macao et l’Inde, puis du sud-est de l’Asie à l’Amérique du nord. La Grande-Bretagne avait mené des guerres contre la France et ses alliés, comme défense contre Napoléon Bonaparte, qui fut finalement vaincu dans la bataille de Waterloo (1815). La Grande-Bretagne avait lutté puissamment contre la quasi-totalité de l’Europe, pour conserver sa liberté, que ce soit avec les alliés ou les occupants français.

Trois ans plus tôt, les États-Unis avaient combattu dans une deuxième guerre contre leur nation mère, la Grande-Bretagne, dans la guerre de 1812 qui mit fin une fois pour toutes aux tentatives britanniques à regagner ses colonies perdues sur le continent nord-américain.

L’histoire fascinante du 19ème siècle relate l’émergence des États-Unis, d’un pays d’anciens colons et immigrants européens ignoré et brute, en une grande puissance unique que ce monde ait connu!

De façon considérable, l’acquisition territoriale unique, la plus importante dans l’histoire des États-Unis avait eu lieu exactement à la fin des «sept temps» de punition nationale selon la prophétie, retardant ainsi l’accomplissement de la prophétie du DROIT D’AINESSE!

Jusqu’à une époque relativement moderne. En 1790, la superficie totale des États-Unis était de 1 430 179 kilomètres carrés, rien que 10 ans avant la fin du 18ème siècle.

La France, ayant désespérément besoin d’argent dans sa longue lutte contre la Grande-Bretagne, offrit au gouvernement des États-Unis la vente de territoires s’étendant à partir de l’embouchure de la rivière Mississippi jusqu’à la frontière canadienne, une partie importante de territoire d’une étendue de 1 330 952 kilomètres carrés!

Cette nouvelle acquisition DOUBLA PRATIQUEMENT la taille des États-Unis dans les années 1803, ramenant ainsi sa superficie à un total de 2 761 131 kilomètres carrés.

Souvenez-vous que toutes les prophéties de la Bible sont à double facette!

Étudiez la célèbre prophétie du mont des «Oliviers» dans Matthieu 24, et appliquez chaque mot que Christ a prononcé à l’histoire réelle en l’occurrence en l’an 70 après Jésus-Christ, quand Jérusalem avait été assiégé et détruit par les armées de Titus.

Christ ne revint pas à cette époque, bien que cette prophétie débouche directement sur la seconde venue du Christ!

En dépit du renversement des pierres des bâtiments et des murs entourant le temple à partir de leurs amarres par les soldats qui les basculaient dans les vallées, et bien que la ville ait été terriblement ravagée, avec des dizaines de milliers de personnes tuées et la ville détruite, des excavations archéologiques de ces temps modernes prouvent que la prophétie qui «il ne restera pas pierre sur pierre» n’a pas encore été accomplie.

Ce qui arriva en l’an 70 après Jésus-Christ était un événement précurseur ; une «représentation» historique d’une prophétie à venir sur la DESTRUCTION FUTURE de la cité de Jérusalem, juste avant la seconde venue du Christ! La prophétie est donc à double facette.

De même, dans la prophétie consternante de Lévitique 26, Dieu dit qu’un temps de TERRIBLE calamités et de punitions nationales était (et est, encore à venir) sur le point de s’abattre sur les peuples d’Éphraïm et de Manassé!

Au fil des générations successives, les grandes bénédictions du droit d’aînesse promises à la descendance de Jacob (Israël) étaient retenues pour les deux nations sur lesquelles le vieux Israël prononça le nom «ISRAËL», à savoir Éphraïm (Grande-Bretagne) et Manassé (États-Unis).

Lisez la remarquable prophétie à double facette de Lévitique 26!

Le chapitre commence par des merveilleuses BENEDICTIONS que Dieu accorderait à son peuple s’il se conformait à ses lois, ses commandements et ses ordonnances.

Si et seulement si le peuple choisi de Dieu pour une grande destinée sur cette terre pouvait OBÉIR à leur Dieu, alors des bénédictions infinies de grandes richesses et de ressources nationales seraient leur partage ; des ressources en minéraux et en métaux précieux ; la production, semble-t-il, d’une énergie sans fin ainsi que des cultures abondantes, un climat salubre, des enfants en bonne santé, une absence de guerres, de conscription militaire, de lourds impôts et de maladie. Les promesses de BONNE SANTE (quelque chose que tout le monde convoite ardemment, et que pourtant personne ne peut ACHETER) et d’autres bénédictions phénoménales seraient les récompenses promises pour OBEISSANCE.

Puis, dans le reste du chapitre viennent promptement des avertissements tonitruants, comme des coups de marteau. Des punitions choquantes s’abattraient sur ces gens s’ils se détournaient du seul vrai Dieu, s’ils méprisaient ses lois et son mode de vie, et se donnaient au paganisme et à l’athéisme.

Les grandes bénédictions sont énumérés dans les premiers versets du chapitre, montrant ainsi que si le peuple obéissait aux commandements de Dieu, en particulier au grand «commandement test», qui est le Quatrième commandement, portant observation du jour de SABBAT HEBDOMADAIRE, alors Dieu ne retiendrait pas ses bénédictions ; l’abondance qu’ils connaitraient serait telle, qu’il n’y aurait plus de place pour la recueillir!

Réciproquement, si les Israélites n’obéissaient pas, Dieu dit: «Mais si vous ne m’écouter point et ne mettez point en pratique tous commandements … J’enverrai sur vous la terreur, la langueur [maladie consomptive telle la tuberculose, etc.] et fièvre [tels la grippe, la pneumonie, les rhumes et les fièvres], qui rendront vos yeux languissants [la rougeole et d’autres maladies qui causent la cécité]et votre âme souffrante ; et vous sèmerez en vain vos semence : vos ennemis les dévoreront. [fait choquant: bien que la prophétie n’implique pas spécifiquement les ventes de céréales aux grands ennemis, les États-Unis négocient avec son ennemi nucléaire, la Russie à des fins d’envoyer des millions de tonnes métriques de blé, de maïs et d’autres denrées vitales vers d’autres pays]. Je tournerai ma face contre vous, et vous serez battus devant vos ennemis; ceux qui vous haïssent domineront sur vous … » (Lévitique 26: 14-17).

Les chapitres historiques de l’Ancien Testament, en particulier les livres de I et 2 Rois ainsi que 2 Chroniques, relatent l’histoire de L’IDOLÂTRIE flagrante répétée de la part des Israélites!

L’histoire de l’Exode (Exode, Nombres, Deutéronome) fait en fait le catalogue d’incroyables histoires d’hostilité, de ressentiment, de rébellion et d’idolâtrie de la part des Israélites au «cou raide» qui ne cessaient de dénigrer la souveraineté de Moïse sur eux, en «murmurant» (ce qui signifie se plaindre, critiquer, ronchonner et condamner), et en aspirant de repartir dans la servitude, plutôt que D’OBEIR A DIEU et d’expérimenter les bénédictions merveilleuses qu’il avait en réserve pour eux!

L’un des livres les plus sanglants dans toute la Bible est certainement le livre des Juges et, en lisant le verset final de cette l’histoire incroyable de guerres, meurtres et rébellions, on est conduit à la CAUSE divinement révélée de toute cette effusion de sang: «En ce temps-là, il n’y avait pas de roi en Israël: CHACUN FAISAIT CE QUI LUI SEMBLAIT BON » (Juges 21:25).

Dieu avait résilié le règne des «juges» à la fin du règne de Samuel. Le peuple Israélite dit à Samuel: « … maintenant établis sur nous un ROI pour nous juger, comme il y en a chez toutes les nations [comme font les PAÏENS!]» (1 Samuel 8: 5).

Même si Samuel était extrêmement en colère, Dieu lui dit: «… Écoute la voix du peuple dans tout ce qu’il te dira ; car ce n’est pas TOI QU’ILS REJETTENT, c’est MOI QU’ILS REJETTENT, afin que je ne RÈGNE plus sur eux !» (1 Samuel 8: 7).

Samuel avertit alors le peuple, leur disant que le roi qui régnerait sur eux serait despotique, dictatorial, arrogant et totalement indifférent quant au bien-être du peuple!

Samuel prédit la conscription militaire, les guerres, les lourds impôts et l’annexion de propriété personnelle et privée et même la convocation des femmes dans le service militaire auxiliaire. Cependant, malgré les avertissements de Samuel, le peuple dit : «… Non ! Dirent- ils, mais il y aura un ROI sur nous, et nous aussi, nous serons comme toutes les nations ; … » (1 Samuel 8:19, 20)

Après, vient l’histoire du règne de Saül, avec son comportement arrogant et scandaleux, suivis de son rejet par Dieu en tant que roi d’Israël et finalement, l’onction de David comme roi sur Israël.

À partir de l’époque du règne de David jusqu’à la fin de l’Ancien Testament, nous lisons la façon dont la nation suivait le roi. La nation marchait selon les voies du roi.

Quand le roi était juste, ne serait-ce qu’à un certain niveau (comme était le cas pour plusieurs de ces rois qui ne «détruisirent pas les hauts lieux», mais néanmoins suivirent essentiellement la voie de Dieu), la nation était bénie en conséquence.

Quand le roi était complètement mauvais et méchant (comme dans le cas du mauvais roi Manassé), la nation souffrait énormément.

Enfin, en 721 par 718 BC, les péchés de la nation d’Israël (répertoriés dans Ézéchiel 16 et Ézéchiel 23) étaient devenus si grands aux yeux de Dieu qu’il était déterminé à les «ôter de devant sa face».

Les dix tribus du nord, avec leur capitale en Samarie, étaient complètement décimées et dominées, le royaume était détruit et la GRANDE majorité des habitants transportée en captivité, un fait historique!

Maintenant, ce que vous êtes sur le point de lire devrait vous garder dans la bonne perspective!

Gardez en tête l’aperçu de l’identité des États-Unis d’Amérique et des nations du Commonwealth britannique dans la prophétie!

Il est trop facile d’aborder une partie particulière de l’histoire, qui pourrait n’être en réalité qu’une simple «branche» de support, pas vraiment essentielle au «TRONC DE L’ARBRE» de la Bible ; on peut essayez de tordre, arracher ou faire disparaître cette «branche», puis croire ensuite qu’on a détruit tout le tronc d’arbre!

Mais ce tronc est inébranlable, et ce tronc d’arbre se trouve être les promesses inconditionnelles faites à ABRAHAM, reconfirmées à Isaac, et faites complètement inconditionnel à JACOB, avec le transfert du nom de Jacob (ISRAËL) à ses deux petits-fils, EPHRAÏM et MANASSÉ!

En un mot, quelque part, d’une façon ou d’une autre, sur cette terre et en ce moment, il doit y avoir un «ensemble de nations», ou quelque groupement ou même une agrégation reconnaissable de nations sœurs, qui se ressembleraient, accomplissant ainsi la promesse divine concernant EPHRAIM, qui devait être «plus grand» que son frère!

Il doit aussi y avoir une grande nation qui serait LA PLUS GRANDE NATION UNIQUE que le monde ait connu, étroitement liée (car ethniquement parlant, ils sont FRÈRES) avec cet «ensemble de nations».

On ne peut lire les promesses éloquentes et magnifiquement abondantes de la prophétie de Genèse 49 concernant JOSEPH (le père d’Éphraïm et de Manassé) sans comprendre que ces grandes bénédictions n’auraient jamais pu être limitées uniquement à une étroite bande de terre quelque part entre la mer de Galilée et les montagnes environnant Jérusalem!

Lisez cette prophétie une fois de plus: «Joseph est le rejeton d’un arbre fertile, le rejeton d’un arbre fertile près d’une source ; les branches s’élèvent au-dessus de la muraille [ce qui implique la diffusion vers les quatre points cardinaux, de même que Dieu a promis à plusieurs reprises à la descendance d’Isaac et de Jacob]».

Ils l’ont provoqué, ils ont lancé des traits ; «les archers l’on poursuivi de leur haine.

Mais son arc est demeuré ferme, et ses mains ont été fortifiées par les mains du Puissant de Jacob : (À partir de là est le berger, la pierre d’Israël 🙂

“Il est devenu le berger, le rocher, le rocher d’Israël. C’est l’œuvre du Dieu de ton père, qui t’aidera ; c’est l’œuvre du Tout-Puissant, qui te bénira des bénédictions des cieux en haut, des bénédictions des eaux en bas, des bénédictions des mamelles et du sein maternel.

Les bénédictions de ton père s’élèvent au-dessus des bénédictions de mes pères jusqu’à la cime des antiques des collines: Qu’elles soient sur la tête de Joseph, sur le sommet de la tête du prince de ses frères.» (Genèse 49: 22-26)

De la façon dont la marge d’Oxford le fournit correctement, le verset 26 devrait se lire «… Joseph, sur le sommet de la tête du prince de ses frères. »

Les grandes bénédictions aux deux fils de JOSEPH sont bien documentées dans la Parole de Dieu.

Si Dieu est tenu de ne pas manquer à sa promesse, et si vous pouvez faire confiance à la Parole écrite du créateur, l’Éternel Dieu, alors il doit y avoir en CE MOMENT, une grande nation quelque part sur terre qui connaisse ces bénédictions abondantes promises à ces deux tribus qui devraient sortir de Joseph. Et il doit aussi y avoir, une autre «collection» ou «compagnie» de nations sœurs évidemment, qui, ensemble avec cette grande nation unique, PARTAGERAIT la grande partie de la richesse du monde!

Aucun débat, raisonnement ou tentative d’arracher les «branches », aucune indication des erreurs d’Allen, ou d’autres écrivains qui ont traité le sujet ne suffiront pour abattre le TRONC d’arbre des promesses de Dieu à l’égard d’Abraham, d’Isaac et de Jacob!

Certains vont bien sûr se moquer de la liste des noms, y compris des lettres DN représentant «Dan» et d’autres noms semblables se tournant vers d’autres parties du monde, où l’on peut trouver quelques villes ou des villes comme Denver au Colorado, Danville en Illinois etc.

Mais en écartant toute moquerie, c’est néanmoins un fait, que les anciens Danites, dont la moitié demeurait à bord des navires étaient un peuple de marins (Juges 5:17), tel révélé dans la Parole sacrée de Dieu, et ils avaient conservé la coutume de nommer (ou renommer) les places importantes selon le nom de leur père, Dan.

Il y a un cas de deux noms importants rattachés à l’un des pays scandinaves importants, le Danemark.

Une fois de plus, l’orthographe de «Danemark» est anglophonisée ; les danois (remarquez le mot Dan dans le nom de ce peuple) appellent leur péninsule nord par «Danmark». Ce nom ne signifie rien de plus que «la marque de Dan».

Cependant, autrefois la péninsule maintenant occupée par les Danois était appelée Jutland.

Comme nous l’avons déjà vu, la multitude de la semence d’Abraham devait être dispersés aux quatre vents, s’éparpillant ainsi à l’est, l’ouest, le nord et le sud. Considérez-le fait que les deux grandes nations sœurs, les États-Unis d’Amérique et la Grande-Bretagne, soient arrivées à entrer en possession des deux tiers de la RICHESSE du monde ; ce sont des peuples parentés!

Ensemble, ils comprennent les tribus d’Éphraïm et de Manassé, les deux fils de Joseph. Rappelez-vous, des deux fils de Jacob (Israël) avant sa mort quand il imposa ses mains sur la tête de ses deux petits-fils, Éphraïm et de Manassé, déclarant : «Que mon nom LEUR revienne». Les deux pays frères devaient devenir (1) la plus grande nation unique sur toute la surface de la terre et (2) une grande compagnie, un ensemble, un regroupement ou des nations du Commonwealth devraient porter le nom d’ISRAËL!

À partir de l’«énigme et la parabole», ainsi que le puzzle du «fil cramoisi» (la fameuse «brèche» entre la descendance de Pérets et celle de Zarah), nous avons appris que Dieu voulait arracher la «tendre branche» de l’arbre royal, c’est-à-dire la lignée de David, représentée par l’une des filles du roi, qui serait «planté» (selon la mission de Jérémie) dans un nouveau pays.

Dieu Tout-Puissant vise ainsi la guérison de la brèche entre les deux descendances, accomplissant sa promesse à David jusqu’au temps de la seconde venue de Jésus-Christ, jusqu’à ce que vienne «celui dont c’est le droit»! (Ézéchiel 21: 25-27).

En outre, nous savons que ni Siméon, ni Lévi n’eurent d’héritage dans la terre promise, ils ont été regroupés avec le sud de la «Maison de Juda» avec pour capitale Jérusalem, et dispersés à travers d’autres tribus.

Le peuple Juif était unique parmi toutes les races humaines, un peuple dispersé! Même aujourd’hui, il habite en communautés partout dans le monde, à travers les États-Unis, le Canada, les nations de l’Europe et, bien entendu, au Moyen-Orient.

Peu de gens réalisent que l’une des premières grandes déportations des Juifs avait eu lieu avant l’effondrement final du royaume du sud, AVANT l’élimination des Juifs à Babylone!

Notez ! «La quatorzième année du roi Ezéchias, Sanchérib, roi d’Assyrie, monta contre toutes les villes de Juda, et s’en empara “(2 Rois 18:13).

Quelques versets plus tôt, vous apprenez comment Salmanazar, l’ancien roi d’Assyrie, assiégea et enfin s’empara de Samarie, «La quatrième année du roi Ezéchias, qui était la septième année d’Osée, fils d’Ela, roi d’Israël, Salmanasar, roi d’Assyrie, monta contre Samarie et l’assiégea. Il la prit au bout de trois ans, la sixième année d’Ezéchias, qui était la neuvième année d’Osée, roi d’Israël: alors Samarie fut prise. Le roi d’Assyrie emmena Israël captif [LA MAISON DU NORD D’ISRAËL] en Assyrie, et il les établit à Chalach, et sur le Chabor, fleuve de Gozan, et dans les villes des Mèdes, parce qu’ils n’avaient point écouté la voix de l’Éternel, leur Dieu, et qu’ils avaient transgressé son alliance, parce qu’ils n’avaient ni écouté ni mis en pratique tout ce qu’avait ordonné Moïse, serviteur de l’Éternel.»(2 Rois 18: 9-12)

À partir des monuments antiques, les détails de la campagne de Sennachérib contre les villes phéniciennes, ainsi que Jérusalem elle-même, deviennent claires.

Les armées assyriennes de Sennachérib s’emparèrent de Sidon et de nombreuses autres villes phéniciennes, tandis que Tyr tenu le coup, bien que son roi, Lulia (Elulaeus), s’enfuit vers Chypre. Ashdod, Ammon, Moab et Edom aient assujettis à l’Assyrie. Par contre, le roi de Juda, Ezéchias, dépendant de l’aide des Philistins de Ashkelon et d’Ékron, et ayant confiance à sa ville fortifiée de Jérusalem ainsi qu’à l’aide Égyptienne pouvait résister aux Assyriens ; il refusa donc de se soumettre.

Dans une tentative frénétique visant à acheter les envahisseurs assyriens, Ezéchias paya Sennachérib 30 talents d’or, 800 talents d’argent, des pierres précieuses, des canapés et meubles d’apparat, y compris des trônes incrustés d’ivoire, beaucoup de concubines et de serviteurs eunuques, après que Sennachérib ait pris 46 villes et cités fortifiées, et prenez bien note de ceci: 200 150 Juifs furent emportés en captivité.

Qu’est-il arrivé à ces plus de 200 000 Juifs qui furent retirés de Juda, DIX-SEPT ANS après que le dernier Israélite des dix tribus du nord de la maison d’Israël ait été éliminé?

Ils ont été, sans doute mêlés aux populations dans les villes et cités d’Assyrie, tout comme les réfugiés (esclaves) des dix tribus de la maison d’Israël avaient été expulsés, et placés dans les villes des Assyriens, ou vendus comme esclaves à des pays voisins du nord.

Ce n’est donc pas étonnant, que non seulement trouvons-nous le nom de Dan (et, comme d’autres noms Israélites que nous verrons encore) dans la zone entre la Mer Noire et la Mer Caspienne vers l’Europe du Nord, la Scandinavie et les iles Britanniques, mais nous trouvons aussi la «terre des Juifs» ou «terres des Jutes», la péninsule appelée Jutland

EXPLORATEURS ET COMMERÇANTS ANCIENS

Peu de gens réalisent que, dès le temps du règne de Salomon, le commerce actif était déjà pratiqué avec des nations bien au-delà des «Barrières d’Hercules» (détroit de Gibraltar). Les navires de Salomon rapportaient à la terre de Palestine des paons, une espèce uniquement originaire de l’Inde ; le commerce exotique prospérait sous le règne de Salomon qui rapportaient les richesses des nations d’aussi loin que les Îles britanniques, où l’étain était exploité à Cornwall ; des singes, des ivoires et des paons de l’Inde, du Pakistan et de l’Est des Hautes terres d’Afrique, où il est dit que le roi Salomon avait des mines fabuleuses.

Salomon exploitait un port à Asion Gaber (le site de l’actuelle Eilat au fond du golfe nord d’Akaba, au nord de la mer Rouge) ainsi que ses ports sur la Méditerranée, principalement à Joppé

Souvenez-vous qu’il ça faisait 860 années entières avant Jésus-Christ que Jonas alla à Joppé, qui était l’un des ports maritimes les plus importants de la côte méditerranéenne (se situant d’ailleurs dans les frontières de Dan), et là, il monta à bord d’un navire qui allait à Tarsis. «Tarsis» était si loin que Jonas pensait pouvoir fuir littéralement de la présence de Dieu!

Depuis combien de temps les navires de Tarsis avaient-ils commercé le commerce avec les ports maritimes palestiniens? Les historiens repèrent ce temps dès l’an 900 avant Jésus-Christ!

Bien évidemment, si notre prophète nerveux pouvait facilement emprunter un navire de Tarsis pour aller aux îles et aux régions côtières bien au-delà de ce qu’il croyait être la province du Dieu d’Israël, c’est qu’un nombre quelconque d’autres voyageurs de cet ancien temps montaient à bord de ces navires à destination des colonies lointaines qui étaient importantes pour le commerce qui soutenait leur nation!

Prenez note de cette citation importante du livre d’Allen.   Dans «Le Sceptre de Juda et le Droit d’Aînesse de Joseph» (pages 267-269), Allen dit qu’il y avait suffisamment de temps pour qu’un prince de la famille royale de Juda » … précéda Israël aux îles, et eut une grande colonie avant même que le droit d’aînesse ne soit amené en Assyrie, un événement qui n’eut pas lieu jusqu’à l’an 721 BC (en référence à l’élimination des «peuples du droit d’aînesse» par Salmanazar) ; l’idée selon laquelle l’un de ces princes aurait précédé Israël dans les îles de la mer est évidente ; tout d’abord, parce que Dieu dit que ce prince y a bel et bien et, deuxièmement, parce qu’il est enregistré dans les archives Milésiennes de l’Irlande que le prince, Herremon, à qui Tea-Tephi était mariée, était un prince des «Tuatha de Daanans».

«Soulignez ici! Que si ce prince était un prince de la tribu de Dan et que l’histoire authentifie qu’il l’était bel et bien, alors il était un prince de la famille de Juda, car il ne peut y avoir un prince de Dan qui ne soit prince de la famille royale de SA RACE, et la famille n’a qu’une seule source, à savoir, Juda, le quatrième fils de Jacob et de Léa, la bénédiction du sceptre lui concernant».

Mais cette règle semble avoir fonctionné dans les deux sens, car la bannière de la famille de Juda est un lion ; et, étant donné que l’un de ses lionceaux était allé vers les îles du nord-ouest avec Dan, la bannière de sa famille, la famille royale, était d’office allé avec lui. Ainsi, il s’associa avec les «Tuatha Dé Daanans », la tribu de Dan, et avec temps, se retrouva comme symbole sur le sceau national.

«Le symbole sur le sceau (qui est illustré dans une coupe d’accompagnement) est décrit comme un lionceau à la queue de serpent. Le plus grand d’entre eux représente le Danemark, et les deux autres représentent   la Norvège et la Suède, qui étaient autrefois sous la domination du Danemark ».

NOMS ETRANGES

Souvenez-vous, comme nous l’avons lu dans 2 Rois 18, que le Dieu Tout-Puissant rejeta Israël pour avoir enfreint ses lois, son alliance, et surtout après avoir sombré dans l’idolâtrie, et abandonné ses SABBATS hebdomadaires et annuels.

Dieu avait dit que le grand signe d’identification entre lui et son peuple (Exode 31) était le sabbat!

Lorsque son peuple avait perdu ce signe, ils avaient par conséquent perdu leur identité nationale.

Ils avaient adopté les noms de Baal au lieu du Nom du Dieu Tout-Puissant!

Le nom de Baal était pratiquement partout sur les anciennes cartes de la Palestine. Nous lisons dans la Bible des lieux appelés «Baal-Peor» et «Baal-Tsephon» ; et souvenez-vous que même certains individus ont été nommés en l’honneur de ce faux dieu, tel «Baalam» (qui n’est autre que le pluriel, «plusieurs Baals »).

Maintenant, remarquez cette incroyable liste des noms de Baal retrouvée en Irlande!

Baal-y-Bai, Baal-y-Gowan, Baal-y-Nahinsh, Baal-y-Château, Baaly-Moni, Baal-y-Ner, Baal-y-Garai, Baal-y- Nah, Baal-y-Con-el, Baal-y-Hy, Baal-y-Hull-Ish, Baal-Nah-Brach, Baal-Athi, Baal-Dagon

Howlett, un pasteur de cette région au 19ème siècle, dit: «Ce sont certainement des mémoriaux du culte de Baal qui prévalait en Irlande, à cette époque. Ces noms comportent non seulement le nom de Baal, mais aussi leur conjonction avec d’autres noms hébreux. Comment cela peut-il s’expliquer, si ce n’est par le fait qu’ils étaient ainsi appelés par les immigrants de la Phénicie et de la Palestine?»

LES CELTES

Les anciens Celtes, dont la majorité, comme le rapporte l’histoire, habitaient les régions centrales et occidentales de l’Europe, étaient en fait des Israélites dont les origines sont retracées à cette région d’Europe à travers laquelle coule la rivière Danube, et au Proche-Orient

Le «Celt », ou «Kelt», anglicisé n’est rien de plus que le nom générique de l’ancien peuple qui habitait le nord et l’ouest de l’Europe. Ils étaient considérés par les anciens écrivains comme «tous les peuples blonds habitant le nord des Alpes», et le nom «Celte» vient de la langue Grecque, car les Grecs les appelaient tous Keltoi. Les Keltes étaient classés en deux groupes vaguement divisés, et estompés l’un de l’autre. Le premier était distingué par «une longue tête, un long visage, un nez aquilin étroit, des yeux bleus, des cheveux très légers et une grande stature, et ces «keltes» au teint plus claire étaient habituellement appelés «teutoniques» par les premiers écrivains.

Le deuxième groupe se démarquait par «une tête ronde, un visage large, un nez souvent assez large et lourd, des yeux gris-noisette, des cheveux châtain clair, et seraient robustes avec une taille moyenne».

C’est fascinant comme les anciens «Teutons», dont le nom générique est «Allemands», apparaissent dans l’histoire ensemble avec les Cimbres, universellement considérés comme Celtes, mais venant de la même région que les Guttones (Goths, était leur nom romain) le long des rives de la Baltique et de la mer du Nord.

Les tribus belges dans le nord de la France étaient des Cimbres, et avaient, selon l’histoire, migré dans la région de l’est du Rhin.

La domination des Celtes en Europe du nord-ouest et les îles britanniques est bien connue.

Les anciens écrivains considéraient les Gaulois, d’où la France moderne tire son nom, comme des Cimbres, et les identifiaient avec les Cimmériens d’une date antérieure, qui sont mentionnés par Homer.

Ils sont identifiés comme des peuples migrant à travers l’embouchure du Danube, et, les premiers Celtes auraient aussi été «continuellement en mouvement vers l’ouest». Les «Belgae» étaient aussi Cimbres d’origine. Ils se répandaient à travers le Rhin et avaient donné leur nom «à tout le nord de la France et de la Belgique» (Encyclopédie Britannica, 11ème édition, Vol. 5, page 612).

Même dans la langue, les anciens Celtes étaient identifiés comme venant du Proche-Orient.

En 1831, James Pritchard était l’un des premiers historiens à démontrer la véritable parenté des Celtes dans sa publication intitulée «Origine Orientale des Peuples Celtiques». Un célèbre historien bavarois, JC Zeuss (1806-1856), avait de même démontré d’une manière irréfutable, l’origine indo-européenne des dialectes celtiques. Ayant redécouvert d’anciens manuscrits irlandais, il publiait une étude frappante dans la philologie celtique, appelée «Grammatica Celtic» ; l’œuvre fut publiée en 1853.

Mais qui étaient-ce donc, ces Cimbres, ou Khummee, qui étaient en train de migrer le long des vallées fluviales du Caucase et de la Carpates?

Le règne d’Omri commença en 929 avant JC, intronisé par l’armée, pendant le siège de Guibbethon, une ville lévitique à Dan.

La mort d’Elah et l’usurpation de Zimri avait conduit à une déclaration prononcée par l’armée, déclaration selon laquelle leur général, Omri, était désormais roi d’Israël.   Sa «…principale [réalisation] était la fondation de la Samarie, qui désormais devenait la capitale du Royaume d’Israël» (Encyclopédie de la littérature biblique, John Kitto, vol. 3, p 365).

Tandis qu’Omri apparaissait comme un des rois les moindres d’Israël, selon la Bible, il était néanmoins devenu l’un des plus importants pour les Assyriens, les Moabites, et d’autres royaumes au nord et à l’est de la Palestine.

Dans le dictionnaire Biblique de Hasting et sous l’article parlant d’Omri, l’orthographe assyrienne attribuée à son nom est Humri ou Humria. Le commentaire qui y est annexé indique que l’équivalent de «y» hébreux-cananéen avec le «h» assyrien est illustré par Schrader ; Cit 2i p.179

Plusieurs autres exemples sont donnés, y compris l’identification des Ammi-rabi (Amraphel) avec Hammourabi, démontrant comment certaines langues prononcent le «h» comme «ak» tandis que d’autres le gardent silencieux.

Une vaste inscription de la pierre Moabite publiée dans le dictionnaire biblique de Hasting (Vol. 3, à la page 621) dit: «Omri était roi d’Israël et oppressa Moab pendant longtemps (littéralement plusieurs jours), car Kemosch s’étaient irrité contre sa terre. Et son fils le succéda (c.-à-dire Omri), et lui aussi dit : «Je vais opprimer Moab» en mon temps (c’est-à-dire Mesha). Mais je vis (mon désir) sur lui et sa maison, et Israël périt d’une destruction éternelle». (Cela implique simplement qu’Achab, qui était un fils d’Omri, avait finalement été contraint de relâcher son étreinte sur Moab, et c’est une exagération.)

“Omri avait ainsi obtenu possession de la terre de Mehedeba, et s’y établit au cours de ses jours et la moitié des jours de son fils, soit quarante ans … ”

Hasting dit, “Ces dates (après informations sur les difficultés dans la chronologie du règne d’Omri) s’harmonisent mieux avec les résultats de l’assyriologie, avec les marques profondes qu’Omri avait produites en Asie occidentale par ses prouesses militaires.’’ Ces marques n’étaient pas fugaces, mais s’étendirent sur une très longue période. Nous avons une indication claire à ce sujet par le fait que la Palestine était appelée Bit Humri ou «terre de la maison d’Omri », à partir du temps de Salmanazar II (860) jusqu’à celui de Sargon (722-705). `L’usurpateur Jéhu est appelé sur l’obélisque noir de Salmanasar, Ja’ua agal Humari, «Jéhu, fils d’Omri». Et pas moins profonde, la marque produite en Israël et Juda. Selon la référence à l’expression «On observe les coutumes d’Omri et toute la manière d’agir de la maison Achab» dans Michée 6:16,

«Bit Humri» correspond à «Beth Omri» en hébreu, qui veut dire maison d’Omri, nom désignant tout Israël selon les ASSYRIENS!

Ainsi, lorsque l’armée de Salmanazar emporta des centaines de milliers de captifs d’Israélites comme esclaves dans le pays d’Assyrie, l’armée assyrienne et la population locale ne les connaissaient que du nom de Bit Humri . Et ne les appelaient jamais Hébreux, Israélites, ou tout autre terme israélite ou juif!

Dans un certain nombre de langues, le «h» est silencieux. Cependant, dans d’autres langues, le «h» a un son dur, prononcé en forçant le son aigüe contre la voute palatine, comme dans le mot anglais «how». Dans certaines langues, comme l’Allemand, la prononciation du «h» est tout à fait similaire à celle de «k» en anglais.

Ainsi, d’aucuns prononçaient Bit Humri «Kumri» et les Grecs le prononçaient «Kimri», «Cimri» ou “Gymri».

Dans l’histoire, on retrouve ces mêmes peuples sous le nom de «Cimmériens».

Les Bit Humri, ou les Kumri, qui étaient connus par les Grecs sous le nom de Kimbri, seraient la progéniture des Celtes!

L’Encyclopaedia Britannica, 11e édition, Vol. 20, à la page 105, dit: «L’inscription de Mesha accueille et élucide sa conquête de Moab. La position d’Israël pendant le règne d’Achab fils d’Omri témoigne bien du succès du père; et le fait que la terre ait continué à être connu des Assyriens jusqu’au temps de Sargon (après Salmanazar, qui emporta la carcasse des dix tribus du nord en captivité) comme «La maison d’Omri» indique la réputation dont jouissait ce roi peu connu».

Les Cimbres sont identifiés comme une «tribu teutonique» qui fit sa première apparition dans l’histoire romaine aux environs de l’an 113 avant Jésus-Christ et qui avait été «errant le long du Danube pendant quelques années de guerre … »

L’Encyclopédie Britannica dit : «La demeure originale des Cimbres a été très contestée. Il est enregistré dans le Monumentum Ancyranum qu’une flotte romaine naviguant vers l’est de l’embouchure du Rhin (aux environs de l’an 5 AD)… au point le plus éloigné atteint la [région] d’un peuple appelé Cimbres, qui envoya une ambassade à Auguste».

Plusieurs des premiers écrivains disent d’un commun accord que les Cimbres occupaient une péninsule, et dans la carte de Ptolémée, JUTLAND apparaît comme la Chersonèse des Cimbres. Dans l’article «Cimmerii», L’Encyclopédie dans sa 11ème édition dit qu’ils étaient «un peuple ancien de l’extrême nord et ouest de l’Europe dont Homer était le premier à parler».

Hérodote, le célèbre historien (Hérodote iv. 11-13) les considère comme les «premiers habitants du sud de la Russie, repoussés par les Scythes le long du Caucase en Asie Mineure, où ils se maintinrent pendant un siècle».   Cette autorité révèle également que «les écrivains postérieurs les identifiaient avec les Cimbres du Jutland, qui étaient probablement des Celtes Teutonisés … »

L’Encyclopédie Biblique dit de la mention assyrienne d’Omri: «Sur les inscriptions de l’époque de Salmanasar II (l’an 854) à celle de Sargon (l’an 720), on trouve le royaume du nord désigné comme Mat Bit-Humri, «la terre de la maison d’Omri» ; ou simplement «Mat Humri», «Terre Omri», même Jéhu est appelé «fils d’Omri» (Schrader Kat 190 et suiv.). L’utilisation de cette phrase montre la grandeur de la réputation dont jouissait Omri à l’étranger.

L’Encyclopédie Biblica soutient également la très grande possibilité que les captifs Israélites, qui avaient déjà été corrompus alors qu’ils étaient encore dans le pays, aient pu emporter les noms de Baal avec eux dans leurs migrations, d’où la persistance des nombreux noms de Baal en Irlande jusqu’aux temps modernes!

Il dit : «La dynastie fondée par les [Omri] dura un demi-siècle, et ne fut renversée que par la haine des prophètes au culte de Baal.» (Encyclopédie Biblica, 3500).

SCYTHIE

Les anciens Scythes étaient un peuple «nomade» qui venait de «la steppe des Carpates à la Don» (Encyclopédie Britannica, Vol. 25, à la page 526).

L’historien et chroniqueur égyptien Hérodote (iv. 1-42) traite le sujet des Scythes, montrant que leur langue originale tire ses origines de la région de Perse, ou l’Iran.

Cependant, bien qu’Hérodote rapporte qu’un nombre de mots scythes conservés venaient d’une zone située entre la Mer Noire et la Mer Caspienne, d’autres termes, en particulier les noms de leurs divinités ne trouvaient aucune explication satisfaisante dans nulle des langues indo-européenne.

C’est fascinant de voir que les plus anciens habitants enregistrés par l’histoire dans la Scythie étaient les Cimmérii, qui n’est rien de plus qu’une forme légèrement modifiée (comme s’en est couramment le cas en philologie) d’Omri, ou alors l’ancien nom du peuple Bit-Humri, «la maison d’Omni».

«… La nature du pays rend probable la possibilité que certains d’entre eux [Scythes] aient été des nomades, tandis que d’autres sans doute labouraient la terre dans les vallées fluviales et dans la Crimée, où ils nommèrent les traversiers, les terrassements et le Bosphore Cimmérien en leur honneur. [Le passage étroit entre la mer Noire et la Méditerranée est appelée Bosphore Dardanelles.] Au septième siècle avant Jésus-Christ, un peuple guerrier harcelant les frontières du nord de ce qui est aujourd’hui l’Iran moderne, était appelé les Sakés (Sacae), et sont considérés par certains historiens comme étant synonymes des Scythes.

QUI ETAIENT LES SAXONS?

Ptolémée dit que vers le milieu du deuxième siècle, les «Saxons» (Saka, Sacae, Scythie) habitaient le col de la «Péninsule cimbrique» (qui est Jutland, ou péninsule occupée par les «Cimmiri» ou «Cimbres”), avec trois îles situées au large de la côte occidentale de ce qui est aujourd’hui le Danemark.

Ensuite, on entend parler d’eux dans l’histoire dans le cadre des expéditions périodiques dans la mer du Nord aux environs de l’an 286. Au début du Vème siècle, la côte nord de la Gaule (la France d’aujourd’hui) et la côte sud-est de la Grande-Bretagne étaient connues comme Litora Saxonica. En Latin, et signifie «littoral des Saxons », à qui l’on doit bien évidemment l’établissement de colonies des Saxons.

À partir du sixième siècle, les Saxons avaient pratiquement disparu de l’histoire. Il est supposé par les historiens que les Saxons qui avaient envahi la Grande-Bretagne, alors peuples maritimes, étaient devenus volontairement ou par conquête progressive incorporés dans le Royaume de Frise, occupaient ces terres au nord et à l’ouest de la Westphalie, au nord-ouest de l’Allemagne.

À ce jour, l’un des états de l’Allemagne est identifié comme «Saxe». Les premiers habitants de la Grande-Bretagne, les Angli, avec l’invasion des Saxons, avaient donné le nom à l’expression moderne «anglo-saxon» au Britannique.

«Désormais, c’est un fait authentique que d’affirmer que le mot saxon est une dérivée du nom hébreu I-saac, associé au suffixe «fils de ». Le Professeur Totten dit: «Dans la plupart des langues orientales, «fils de» est écrit Sunnia. Il est l’équivalent «Mac» écossais et Fitz anglais et irlandais ; MacDonald, fils de Donald ; Fitz Henry, fils d’Henry.   Ainsi, au pays lointain de nos ancêtres, Saac-Sunnia signifie fils d’Isaac. Stambul est formé d’Istanbul en laissant tomber le préfixe «I», et ainsi le Saxon est un descendant direct de notre père Isaac. Dr W. Holt Yates adopte une attitude positive et accepte cette dérivation du nom saxon, et le révérend Dr. WH Poole, en parle comme suit: «C’est un peu curieux de glaner les nations anciennes et à partir des monuments de pierre des premiers temps, les différentes formes sous lesquelles ce mot sera trouvé. Je vais insérer ici quelques-unes de ma propre liste glanée de l’histoire ancienne: fils d’Isaac, fils de Saac, SaacSunnia, Saac-Suna, Saac-Sena, Saac-pena, Esakska, Sacae-Amyrqui, Beth-Sakal (Maison d’Isaac), Sunnia Sakai-Suna, Saca-Suna, Sacae-Sunnae, Sackisina, SackaSacia, Saca-Cine, Saka-Suna, Sacas-Sani, Sakas-Saeni, Saxi-Suna, Sach-Suni, Sachi, Sacha, Sa-kah, Saa-chus, Saa-SUD, Sa-cho, Saxo, Saxoi, Saxonia, Sax-ones, Saxae, Sach-sen, Sack-sen, Saxe-sen, Saxone, Saxe, Saxony, saxon. » (Notre Race, Sceptre de Juda et droit d’ainesse de Joseph, page 294)

Plusieurs historiens antiques s’accordent sur les origines des «Saxons» (fils d’Isaac): Ptolémée dit que les Saxons étaient liés avec les Scythes, et étaient appelés Sakai, et qu’ils venaient de la terre des Mèdes!

Un des historiens les plus importants des Saxons était Sharon Turner, qui dit : «Les Saxons étaient une nation Scythe, et étaient appelés Saca, Sachi, Sacki et Sach-sen». Pliney dit : «Les Sakai étaient parmi les gens les plus distingués de la Scythie, qui se sont installés en Arménie, et ont été appelés Sacae-sani». Albinas affirme que «les Saxons étaient des descendants de l’ancienne Sacae de l’Asie».

Un autre historien, Prideaux, dit que «les Cimbres provenaient de la zone située entre la mer Noire et la Mer Euxin (la mer Caspienne) et que les Angli vinrent avec eux»!

Dans le livre intitulé Nos ancêtres scythes, écrit par Gawler (page 6) : «sans pour autant forcer notre imagination, le mot Saacae est traduisible par Isaacites».

Même aujourd’hui, le nom hébreu «Isaac» est prononcé Eetsaak. Pour forcer cette prononciation, s’assurant que la lettre «i» est prononcée comme le son «ee» en anglais, on pourrait utiliser «ay», comme dans l’orthographe anglaise du nom «Isaac» de l’hébreu, le rendant ainsi Ytsak.

Ces «fils d’Isaac» devinrent les Saakea, ou Saka, et leurs noms se trouvent associés aux mêmes origines que les fils de Dan et les Bit-Humri, ou les fils d‘Omri, de la région de l’ancienne Médias, et le long des cours d’eau, principalement celui du Danube, en Europe du nord, et les îles britanniques!

Ces quelques indices sur l’identité des habitants les plus anciens de l’ouest de l’Europe, les pays scandinaves et les îles britanniques ne constituent en aucun cas toutes les preuves disponibles!

Le fait que les anciens explorateurs israéliens (non seulement ceux qui firent le tour d’Afrique, naviguant à l’Inde et aux îles britanniques à l’époque de Salomon, mais aussi les Danites plus tard) aient laissé leurs noms aux principales sources d’alimentation (telles la nourriture, l’eau douce, etc.) le long de leurs routes de commerce, la découverte est évidente.

Souvenez-vous que Dieu avait complètement arraché les dix tribus du nord d’Israël de la terre de leur héritage originel!

Et parce qu’ils avaient déjà rejeté l’unique grand signe qui leur rappellerait continuellement de leur Créateur, leur protecteur, leur pourvoyeur et leur Dieu, ils se sont perdus spirituellement!

Dieu les a rejetés.

Ils étaient devenu une puanteur devant Dieu en adoptant les noms païens de Baal, en descendant dans les rituels païens d’idolâtrie et en pratiquant même le sacrifice des nourrisson.

Grâce à une succession de prophètes, Il les avertit par des inculpations foudroyantes que les peines monumentales de leurs péchés nationaux individuels et collectifs seraient énormes.

Malheureusement, les dirigeants mauvais, pervers, corrompus et sadiques refusaient de prêter attention. Les idoles païennes n’étaient pas retirées, et Dieu enfin réalisa les punitions qu’il avait menacé les infliger en arrachant des nombres massives de leur terre, des centaines de milliers de gens des dix tribus d’Israël réfugiés dans les pays de leurs ravisseurs!

Plus tard, lors de l’effondrement final de l’Empire assyrien, la descendance de ces premiers esclaves réduite à un «âge de pierre» virtuel, des barbares vivant une vie non civilisée comme des nomades errants, commençaient à se répandre dans les terres situées entre la mer Noire et la mer Caspienne ; errant le long des vallées fluviales fertiles dans les contreforts des Carpates et de la Caucase, nommant les endroits aux traits saillants tels les rivières et leurs affluents, les montagnes et les cols de montagne pendant le parcours.

Puisque leurs ravisseurs les appelaient les Bit-Kumria, ou les Khumri, et les Romains les appelaient les Cymri, est-il étonnant de trouver non seulement ces noms disséminés à travers l’Europe, nous conduisant ainsi vers les îles britanniques, mais aussi les noms de Dan?

Une chose est sûre: La Parole de Dieu subsistera! Les promesses de Dieu à Abraham, Isaac et Jacob étaient absolument inconditionnelles!

Bien que privés de leur héritage national pendant des générations, les dix tribus d’Israël, enfin arrivées dans les terres qui devaient devenir leur possession perpétuelle, sont devenues, au fil des siècles, la PLUS GRANDE nation (l’Empire britannique à son apogée), et la plus grande nation que le monde ait jamais vue, les États Unis d’Amérique!

LA REPRESSION DES SEPT TEMPS

Maintenant, nous arrivons à une partie fascinante de l’histoire ; l’accomplissement remarquable des promesses de Dieu longtemps retardées, mais néanmoins ACCOMPLIES envers la postérité d’Abraham, d’Isaac et de Jacob.

Rappelez-vous que Dieu avait averti Israël que s’ils n’observaient pas ses commandements et ses préceptes, SEPT TEMPS de répression nationale passeraient sur eux! Il les punirait SEPT FOIS plus pour leurs péchés!

Sept «temps» correspondent à sept années prophétiques qui se composent de sept fois trois cent soixante jours ; nous obtenons 2520 jours, c’est-à-dire un laps de temps de deux mille cinq cent vingt ANS.

Israël n’avait pas été retiré de la terre d’un seul coup. Pendant les règnes successifs de plusieurs rois, Dieu envoyait les armées assyriennes pour les punir, en espérant que les dirigeants reconnaîtraient, après des avertissements répétés de la part des prophètes, que c’était là l’œuvre de Dieu ; qu’ils se détourneraient de leurs pratiques païennes abominables, se repentiraient et se tourneraient vers Dieu.

Pul, roi d’Assyrie, vint en Samarie contre Menahem, roi d’Israël, et exigea un lourd tribut, mais n’emporta point d’esclaves, ni ne prit possession du pays (2 Rois 15:19). Des années plus tard, Pékach régna sur Israël et «Il fit qui est mal aux yeux de l’Éternel ; il ne se détourna point des péchés de Jéroboam, fils de Nebath, qui avait fait pécher Israël.

Du temps de Pékach, roi d’Israël, Tiglatph-Piléser, roi d’Assyrie, vint et prit Ijjon, Abel-Beth-Maaca, et Janoach, Kédesch, Hatsor, Galaad et la Galilée, tout le pays de Nephtali, et il emmena les captifs des habitants en Assyrie »(2 Rois 15:28, 29).

Tiglath-Piléser écrit «Le peuple de la terre d’Omri [que les Assyriens appelaient «Bit-Khumri»] fut déporté en Assyrie avec ses biens ». L’année de cette expulsion comme indiquée dans la chronologie d’Ussher est 734 avant JC. Toutefois, cette chronologie d’Ussher est décalée d’une année en raison d’une erreur de calcul, en omettant à tort la durée de l’année du déluge de Noé. En soustrayant 734 (735 plutôt) aux 2520, nous trouvons 1785. Toutefois, lorsque nous soustrayons les années après Jésus-Christ à partir des années avant Jésus-Christ, nous devons nous rappeler qu’il n’y a pas l’an «0» ; que nous avons affaire à la fois à «l’an 1 avant JC» et «l’an 1 après Jésus-Christ», représentant chacune une année. Nos valeurs ne permettraient pas d’ajouter un seul chiffre supplémentaire, il faut alors ajouter un an.   Exactement sept temps à partir de cette expulsion importante (mais pas la plus grande, ni la dernière) des esclaves israélites en 735 avant Jésus-Christ, nous amène à 1786, lorsque les délégués des cinq États américains avaient demandé au Congrès de convoquer une convention spéciale à Philadelphie pour écrire une constitution pratique pour les treize états! Rien que deux ans plus tôt, la Grande-Bretagne avait signé un traité de paix avec les États Unis.

De toute évidence, cet événement, à savoir l’ordre d’écrire la Constitution, serait un indicateur majeur dans l’établissement de certains des peuples d’Israël dans leurs propres terres. Cependant, l’année exacte à laquelle Tiglath-Piléser conquit de grands territoires du nord d’Israël est très contestée. Kitto dit : «beaucoup d’incertitudes ont surgi autour de la date de son adhésion, parce qu’il affirme qu’il prit un tribut de Menahem dans sa huitième année, ce qui en ferait [son adhésion] l’an 767 ou 768 avant JC [selon la chronologie reçue], alors qu’il est plus probable qu’il ait été relié d’une certaine manière avec le changement des événements à Babylone qui avaient fait place à l’époque de Nabonassar, en 747.

Cependant, comme LXX [la Septante] donne trente-cinq années du règne de Manassé au lieu de cinquante-cinq ans, cette diminution de vingt ans saurait exactement rectifier l’écart, ou alors, il est possible que dans la dite inscription, Menahem soit confondue à Pékach, car il est relié à Retsin, que l’Écriture associe toujours avec Pékach.» (Encyclopédie de la Littérature Biblique, John Kitto, Vol. 1, p.248, 249)

Peu importe les précisions dans les dates, et il est vrai que certaines de ces dates peuvent être déterminées avec précision, les vagues successives d’envahisseurs armées assyriennes vinrent au nord d’Israël sur une période de plusieurs décennies, transcendant ainsi les règnes de plusieurs rois assyriens et israélites.

Haberman écrit: «La véritable captivité de Beth-Sak, nom phénicien désignant la «Maison d’Israël» (il souligne à juste titre que les voisins païens d’Israël ne faisaient pas usage des noms de l’Écriture inspirée mais plutôt des noms de leur propre dérivation, des noms tels Habiru, Habiri, ou Abiri qui apparaissent sur les tables de Tel-el-Armarna, modifications évidentes de «l’hébreux» et que «Beth-Sak» signifie «Maison d’Isaac», alors que même le terme «Saxons», comme il a finalement été utilisé, connotait les «fils de Saac» ou «fils d’Isaac») commença en 745 quand Tiglath-Piléser vint et emmena une grande partie des tribus d’Aser, Zabulon, Issacar et Gad en Assyrie, comme enregistrée dans 2 Rois 15:29.»

D’autres souscrivent aussi à cette date. Grâce à notre nombre prophétique de 2520 années, et en soustrayant 745 à celui-ci, se souvenant d’ajouter une année en raison de l’an 1 avant JC et l’an 1 après Jésus-Christ, nous trouvons 1776!   Y a-t-il un Américain qui se demande quelle évènement important eut lieu au cours de cette année? Nous devons cependant vous mettre en garde en notant que Manassé n’était pas inclus dans la captivité imposée par Tiglath-Piléser, mais plutôt les membres d’autres tribus, d’un nombre significatif.

Un grand nombre de recherche serait nécessaire pour relier les événements clés entre les différentes nations du nord-ouest à la captivité sous le règne de Tiglath-Piléser, 2520 longues années auparavant. Cependant, rappelez-vous que c’est Éphraïm et Manassé, la Grande-Bretagne et l’Amérique qui font l’objet de notre étude, car Jacob (Israël) en mourant dit: «Qu’ils soient appelés de mon nom». Les peuples appelés «Maison d’Israël» dans les prophéties bibliques spécifiques concernant les derniers jours, le temps juste avant et pendant la Grande Tribulation (appelé temps de «détresse de Jacob»), sont les peuples d’Éphraïm et de Manassé!

Haberman cite aussi la prophétie appelée «La Grande Pyramide» de Davidson concernant l’Empire britannique et l’Amérique, affirmant que, la grande pyramide «… montrait que [sa] chronologie fixait le 10 Janvier 1776 comme un jour faisant époque dans l’histoire d’Israël en Amérique.   C’est le 10 Janvier 1776 que Thomas Paine publia sa brochure «Common Sense», dans laquelle il interpela les habitants des colonies à se rebeller contre la patrie mère. » (À la Recherche de nos Ancêtres Blancs, Haberman, p.176).

Je voudrais signifier clairement que je ne crois pas à la pyramidologie.   Je rejette la «pyramide en pouces » et la considère comme une unité de mesure d’une invention artificielle, fictive et inexacte de la vérité prophétique. Même si je crois qu’il peut y avoir une certaine importance de la pyramide au-delà de celle d’un tombeau égyptien, que sa place dans le grand sceau des États-Unis peut avoir une certaine importance et qu’elle peut être un marqueur de la limite en vue d’une recomposition millénaire des frontières nationales, je laisse néanmoins l’avenir à l’avenir, estimant qu’il est hautement suspect d’attribuer des événements d’importance majeure à des mesures obtenues bien après que les événements aient eu lieu. Ça ce n’est pas la prophétie, mais plutôt l’archéologie interprétative et l’histoire. Ce n’est pas nécessaire de se battre contre des moulins à vent, cherchant à étayer les faits, que l’Amérique et la Grande-Bretagne sont, en effet, les descendants des derniers jours de Manassé et Éphraïm.

Ne vous y trompez pas! Il y avait des centaines d’événements couvrant des dizaines d’années qui avaient entrainé la colonisation, l’indépendance éventuelle, et l’expansion progressive des États-Unis. Point n’est besoin de fixer des dates exactes car toute la période au cours de laquelle ladite indépendance et expansion eurent lieu s’intègre parfaitement dans l’ensemble de la période de la conquête et de la déportation des dix tribus du nord d’Israël, 2520 longues années auparavant.

Clarifions ici que de nombreux «points intéressants» au thème central de ce livre peuvent être présentées.   Ces points peuvent être développés, et peuvent accorder de l’intérêt, de la couleur ou un léger crédit à l’ensemble de la vérité présentée. Mais le tronc principal de l’arbre est une promesse irréfutable de Dieu faite à Abraham, Isaac et Jacob ; que les petits-fils de Jacob, Éphraïm et Manassé finiraient par devenir une «compagnie de nations», et une grande nation unique ; qu’ils possèderaient les meilleurs endroits de la terre ; qu’ils posséderaient les portes de leurs ennemis ; qu’ils se multiplieraient comme les «étoiles du ciel» et le «sable de la mer».

Maintenant, remarquez une date qui ne porte aucune réfutation, une date qui ne ferait l’objet d’une controverse!

Le plus grand nombre d’Israélites avait été enlevé par les forces assyriennes en 718 avant Jésus-Christ. Cela représentait la plus grande perte de territoire, de citoyens et de pillage dans les vagues successives d’invasion assyrienne contre le nord des dix tribus de la maison d’Israël. Y compris Éphraïm et Manassé! Exactement sept temps ou 2520 années à partir de 718 avant Jésus-Christ (en ajoutant une année afin de justifier les 1ans avant Jésus-Christ et 1ans après Jésus-Christ) nous amène à 1803.

Et quel évènement de grande importance eut lieu en 1803?

En 1803, l’empereur de France, Napoléon, en échange d’obligations et une annulation de $ 3.750.000 dans le compte des revendications des citoyens américains contre la France, vendit tout le territoire de la Louisiane ainsi que les territoires français à l’extrême nord aussi loin que la frontière du Canada, à la jeune nation, les États-Unis d’Amérique!

Le fameux «achat de la Louisiane» augmenta la superficie et les territoires des États-Unis à plus du double! D’un trait de plume, les États-Unis avaient plus que doublés! C’est très frappant d’apprendre que, cela survint exactement 2520 années à partir du moment où Israël perdu une part importante de ses territoires nationaux

Comme tout débutant de l’histoire le sait déjà, à partir de la fin des années 1700 jusqu’au début des années 1800, les États-Unis réalisèrent l’indépendance, adoptèrent une Constitution et une Déclaration des Droits de l’homme, conclurent avec succès une guerre d’indépendance en Grande-Bretagne et émergèrent en tant que nation souveraine. L’année qui suivait l’achat de la Louisiane, le président Jefferson ordonna Lewis et Clark d’explorer toute la région de St. Louis dans le Pacifique nord-ouest de la côte, ouvrant ainsi la voie à la circulation des trappeurs, des chasseurs, des commerçants. Cette exploration ouvra aussi la voie aux célèbres hommes de la montagne, qui étaient suivis par les colons, les mineurs et une mêlée incessante d’émigrants qui s’éparpillèrent dans les vastes terres non occupées de l’Amérique de l’ouest au cours des 100 années suivantes.

L’achat de la Louisiane et l’expédition de Lewis et Clark étaient catalytiques dans l’exploration et la colonisation de l’Ouest ; ce sont des événements absolument essentiels qui avaient finalement conduit à l’union des 48 états contigus et l’émergence des États-Unis en tant que puissance mondiale.

Il peut y avoir des dizaines d’événements isolés qui auraient conduit à la réalisation de la prophétie importante, événements non retenus par l’histoire. Il est évident que les dix tribus du nord avaient été dépossédés de leur identité nationale en Palestine pendant une période de plusieurs années, aux environs de 767 avant JC jusqu’en 718 avant Jésus-Christ. Ils étaient mêlés aux fuyards assyriens quand l’empire babylonien les repoussait vers le nord. Dieu dit à Abraham, Isaac et Jacob que leur postérité se répandrait à tous les points de la boussole à partir de la Palestine!

Partout où l’on regarde, de l’extrême nord à l’extrême sud, et dans toutes les directions est et ouest, on trouve la descendance d’Abraham, Isaac et Jacob. Les «Normands» de la Norvège et d’autres pays scandinaves pourraient bien représenter Dan, Issacar, et Nephtali. La France elle, ne serait-ce que les parties nord, représenterait Reuben. Des preuves irréfutables lient la Hollande à Zabulon (voir bibliographie). «Berith» en hébreu signifie “alliance”. «Ish» était le nom d’Adam en hébreux. Qui veut tout simplement dire, «l’homme». Ève était appelée «Ishshah», qui veut dire «sortie de l’homme». «Berith-ish», ou homme d’alliance, devient donc «british (britannique)», le peuple de «Brit» ou «Berith».

Haberman dit : «La race qui vint en Grande-Bretagne était la race des Angles et non des Anglo-Saxons, un terme introduit dans le continent seulement après la conquête normande. Le nom donné à ce pays était Angleterre, c’est-à-dire Angle-terre. L’église était alors anglicane. Il y avait des subdivisions nommées Saxons de l’Est, Saxons de l’Ouest, etc., mais ce n’était là que des désignations territoriales apportées par les Angles de leurs localités allemandes. «Un habitant de Wessex s’appellerait avec indifférence, un Saxon Ouest ou un angle ; mais aucun habitant du royaume Angle ne s’appellerait Saxon», écrit le Major B. de Weldon dans son article sur l’origine des Anglais.

Il y a très peu de noms en Angleterre qui soient connectés au nom saxon parce que la plupart des Saxons étaient resté en Allemagne, au nord de la France, en Suisse et en Scandinavie, où leurs descendants demeurent à ce jour. Le terme Saxon s’applique à toute la maison d’Israël, car l’écriture nous dit dans Genèse 21:12 et Romains 9: 7, «en Isaac tu auras une prospérité appelée de ton nom, c’est – à- dire que ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu, mais que ce sont les enfants de la promesse qui sont regardés comme la prospérité [nommé]». Ils devaient être appelés les «fils d’Isaac», et étaient ainsi appelés les Beth-Sak, Saki, Sacae, Sakasani, Saxones, Sachsen, et les Saxons, à travers les siècles. Tous les Angles étaient Saxons et étaient par conséquent des Danites, Catti, Getai ou Goths, et même des Brits ; cependant, ce sont les Angles qui avaient donné le nom à l’Angleterre, de même que la race de l’alliance, les Barats ou Brits avaient préalablement donné le nom à la Bretagne (À la Recherche de nos Ancêtres Blancs, Frederick Haberman, 1934, p.143).

Les îles britanniques, le Norvège, la Suède, la Finlande, le Danemark, la Hollande, la Belgique, la France et la Suisse représentent tous de grandes portions des tribus de Dan, Ruben, Gad, Aser, Nephtali, Zebulon, Issacar et Éphraïm, avec ceux de Siméon, Lévi et Juda entrecoupées entre eux

Ce serait intéressant de déterminer l’origine du mot «Angle» en aparté. Comme je l’ai souligné, le royaume du nord d’Israël avait commencé sous le culte de veaux d’or, de veaux de bœuf et d’idoles symbolisant les chérubins. Jéroboam érigea des idoles qui étaient approximativement une représentation familière de l’ «armée des cieux», exactement comme l’avait fait Aaron pendant l’absence de Moïse, quand il alla recevoir la loi.

Le veau d’un bœuf était familier aux Israélites car il était le «dieu» de beaucoup de nations païennes environnantes.   Cette idolâtrie flagrante poussa Dieu à envoyer ses prophètes à plusieurs reprises pour condamner l’idolâtrie d’Israël, la violation du sabbat, et la négligence de ses sabbats annuels. Osée dit: «L’Éternel a rejeté ton veau, Samarie [la capitale du nord d’Israël; les dix tribus] ! Ma colère s’est enflammée contre eux. Jusqu’à quand refuseront-ils de se purifier? Il vient d’Israël, un ouvrier l’a fabriqué, et ce n’est pas Dieu ; c’est pourquoi le veau de Samarie sera mis en pièces » (Osée 8: 5,6).

Le mot hébreu pour veau est «Egle» ou «Engel». Professeur Waddell dans son livre intitulé « L’Origine Aryenne», dit que dans les Runes Gothiques, la lettre “A” est prononcé «asa» ou «ace», ce qui signifie «celui», ou «le premier», ce qui expliquerait pourquoi l’ «Ace» vient en premier dans le jeu de cartes.   Notre lettre «A» est dérivée de la lettre phénicienne «aleph», qui signifie «taureau». À l’origine, elle était couchée sur le côté, représentant les cornes d’un taureau et se référait à l’automne équinoxe du Taureau, date à laquelle la création eut lieu.

Y a-t-il une quelconque signification en ce qui concerne la Grande-Bretagne comme le dit John Bull ou qu’ils devinrent reconnus au monde comme les éleveurs des meilleurs bovins tel que Moïse avait prophétisé au sujet d’Éphraïm: «De son taureau premier-né il a la majesté ; ses cornes sont les cornes du buffle ; avec elles il frappera tous les peuples jusqu’aux extrémités de la terre: elles sont les myriades d’Éphraïm, elles sont les milliers de Manassé » (Deutéronome 33:17).

Les voisins païens de diverses nations les appelaient souvent du nom de leurs dieux, ou de leur religion.   Ainsi, les adorateurs des «Agels» ou «Angle» étaient appelés les «Angles», prononcé et épelé diversement, selon la langue parlée entre les tribus dans les vastes zones montagneuses, à travers lesquelles le peuple de l’alliance allait, toujours errant vers l’ouest.

Sur une période de plusieurs siècles, Dieu guidait les peuples de ses promesses de façon infaillible, à leurs héritages ultimes qui, selon la prophétie seraient les quatre points cardinaux et toutes les extrémités de la terre.

À l’extrême sud, on trouve l’Australie, la Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, et de nombreuses possessions coloniales de la Grande-Bretagne pour lesquelles elle avait tant lutté, aussi récemment que la guerre des Malouines! La partie la plus récemment occupée de la terre était l’Ouest de l’Amérique.   Et, exactement comme Dieu l’avait promis, les tribus israélites s’étaient donc finalement installées partout dans le monde, au Nord, au Sud, à l’Est et à l’Ouest. Dieu avait détruit les héritiers d’origine de la terre promise à cause de leurs horribles péchés personnels et nationaux ; la violation du sabbat et l’idolâtrie étaient marquantes parmi eux.

Sept temps bibliques passèrent sur leurs descendants nomades.

Le temps de Dieu était enfin venu pour accomplir sa promesse envers Abraham, pour que sa postérité hérita les terres à tous les points cardinaux et devint «comme le sable de la mer» et «les étoiles du ciel». Ils devraient «hériter des portes de ceux qui les haïssent» et «posséder les portes de leurs ennemis ».

Aux 19ème et 20ème siècles, la Grande-Bretagne et l’Amérique étaient devenues les plus grandes puissances que le monde n’ait jamais vues.   Ils possédaient entre eux toutes les portes de la mer et les terres stratégiques qui contrôlaient le commerce mondial, et ceci s’était avéré stratégiquement déterminant dans les deux guerres mondiales!

Israël était arraché par des vagues successives d’envahisseurs assyriens sur une période de plusieurs années, impliquant le règne de plusieurs rois différents. Dieu envoyait continuellement ses avertissements prophétiques au sujet de leurs abominables péchés nationaux et personnels ; mais tout cela en vain! Des rois successifs persistaient dans les mêmes péchés de Jéroboam: le culte d’Astarté, qui était des symboles de l’«armée des cieux», y compris les chérubins, et l’abandon de la fête de Dieu pour la substituer à une fête au huitième mois.

Comme un reflet dans un miroir, Israël avait hérité ses bénédictions nationales au cours d’une période de plusieurs années ; dans de nombreux cas, il parvenait à faire des conquêtes à grande échelle ou recevait des incréments massifs de terres, exactement sept temps bibliques à partir du temps où il fut dépossédé, accomplissant ainsi les promesses inconditionnelles faite à Abraham.

QUI ETAIENT LES EUROPEENS D’ORIGINE?

Curieusement, quand on étudie les origines des peuples de la Belgique, de la France, des Pays-Bas, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de l’Allemagne et de l’Angleterre, on rencontre continuellement les mêmes peuples comme ayant été les premiers habitants connus de tous ces pays.

Pendant des siècles, il n’y avait pas de distinction politique, pas de répartition géographique spécifique des peuples habitant les vallées et les plaines de l’Europe ainsi que les îles britanniques. Ils étaient simplement les «Keltoi» (Celtes), les «Teutons», les «Gaulois», les «Saxons», les «Gimri» ou le «Cimmériens».   Au fil des siècles, les langues changèrent de manière significative. De nouveaux dialectes tombèrent en désuétude et on n’en fit plus usage ; des langues complètement nouvelles se développèrent progressivement.

En étudiant l’histoire des peuples et de leurs langues, ainsi que leurs formes artistique et surtout leurs religions, on peut parvenir à une meilleure compréhension des points communs dans les origines de la plupart des Européens du nord-ouest.

Les manuscrits les plus anciens parlent de l’existence de peuples habitant l’Europe du nord-ouest et les îles britanniques sous le nom de «Celtes».

Qui étaient les «Celtes»?

L’Encyclopédie Britannica répond : «CELT ou KELT est le nom générique d’un peuple ancien dont la majeure partie habitait les régions centrales et occidentales de l’Europe … les anciens écrivains considéraient tous les peuples blonds vivant au nord des Alpes comme homogènes. Les Grecs les surnommaient tous «Keltoi». Ils se répartissent physiquement en deux groupes vaguement divisés, et estompés l’un de l’autre.   Le premier groupe est limité au nord-ouest de l’Europe, avec pour siège, la Scandinavie … Ce sont des peuples souvent appelés teutoniques par les écrivains modernes. L’autre groupe des peuples «celtiques» est distingué par une tête ronde, un visage large, un nez souvent assez large et lourd, des yeux gris-noisette, des cheveux châtain clair ; ils sont robustes et de taille moyenne. Ce groupe est souvent surnommé «Celtique» ou «Alpin» du fait de son apparition tout au long de la grande chaîne de montagne au sud-ouest de la France, en Savoie, en Suisse … [et] est sans doute d’origine mongoloïde et serait venu d’Asie, pays des races au crane rond» (ibid., vol. V. p.611, 612).

Notez attentivement que lesdits peuples «celtiques» venaient d’Asie et on admet qu’ils n’étaient pas tous d’une seule origine tribale. Rappelez-vous que l’empire babylonien avait chassé les Assyriens (dont le principal groupe tribal était les «Halmanni», d’où vient «Aleman», et qui est la racine latine pour «allemand» avec l’ensemble de leurs anciens captifs des dix tribus d’Israël! Ces peuples mixtes se répandirent en Europe à partir de la région des steppes en Russie, de la péninsule de la Crimée (Gimrian, ou «Khumrian», à partir de «Bit-Khumri») et le long de la vallée du Danube («Rivière de Dan»).

Les historiens de l’Antiquité considéraient les peuples occupant les vallées du Danube, les montagnes de Suisse et de Bavière, les grandes plaines du nord de l’Allemagne et les îles du nord-ouest comme les «Keltoi», puisque «homogène» signifie, les mêmes peuples!

Souvenez-vous que les anciens Assyriens appelaient les peuples captifs des dix tribus d’Israël du nom de leur célèbre roi «Omri » d’où les «Khumri» dans leur propre langue. Ces peuples se retrouvent partout dans la région de la Mer Noire et de la mer Caspienne, la péninsule (Khimbrian) de la Crimée, l’Europe Centrale le long des rivières de Don, d’Udon et du Danube, le nord-ouest de l’Europe et les îles britanniques! Le son «K» devint silencieux ou le même le «H» dans certains cas. Nous trouvons aujourd’hui l’estuaire «Humber» sur la côte Est de l’Angleterre, drainant deux rivières importantes.   «Northumberland» est simplement le pays du nord de «Humbers» ou «Khumbris». On trouve des indices semblables dans la toponymie partout dans la Grande-Bretagne, y compris «Cambria» et «Cambridge».

Les «Gaulois» avaient donné leur nom à une grande partie de la France, et même à la lointaine «Galatie» en Asie Mineure, une région où l’apôtre Paul envoya une de ses lettres destinées aux églises d’Iconium, Lystres, et Derbe.   Même à ce jour, la France est parfois appelée la «Gaule», et qui oublierait son célèbre président d’après-guerre, Charles de Gaulles ou Charles de la Gaule?   Les dix tribus d’Israël ne continuèrent pas nécessairement à migrer sans cesse vers l’ouest au cours des siècles, car il y avait des guerres régionales, des conquêtes, de longues périodes de temps où certains de ces peuples repoussaient vers le sud et l’est, fréquentant les Romains dans le nord d’Italie, les Grecs et les Macédoniens

Remarquez que l’histoire admet: «Les auteurs anciens parlaient de tous ces Gaulois comme des Cimbres (Khumbri, Gimry, Cimméria, Cimmériens, etc.), et les identifiaient avec les Cimmériens des années antérieures, qui pendant les temps homériques habitaient le long de l’océan à côté des Lestrygons, dans une région de morosité hivernale, où le soleil ne se couchait pas en été. » (Ibid., Vol. 612 VP) En d’autres termes, à l’extrême nord, là où les journées étaient très longues en été, et sombres en hivers.

La même source dit: «Ils passèrent vers l’Est jusqu’à l’embouchure du Danube et dans le sud de la Russie, aussi loin que la mer d’Azov, s’entremêlant avec les Scythes, comme le prouvent le nom Celtosyths … les Celtes se déplaçaient constamment vers l’ouest également. Les Belges, qui étaient d’origine cimbrique, s’étaient répandus à travers le Rhin et avaient donné leur nom à tout le nord de la France et la Belgique.   Plusieurs de ces tribus envoyèrent des colonies dans le sud-est de la Grande-Bretagne, qu’ils contrôlèrent pendant environ deux siècles (période aussi longue que l’existence des États-Unis) quand César envahit l’île.» (Ibid., vol. vp 612, c’est l’auteur qui souligne).

Il y a d’autres indices quant à l’origine des peuples qui s’installèrent au nord-ouest de l’Europe, en Scandinavie, et bon nombre de ces indices sont philologiques.   Jules César fit une observation et trouva qu’il y avait peu de différence entre le langage des Gaulois et celui des Britanniques de son époque. Jérôme dit, le langage des Galates en Asie Mineure comportait une forte similarité avec le langage qu’il entendait dans les quartiers de Trèves. Trèves est l’une des villes les plus anciennes d’Europe, en Allemagne. Elle fut la résidence préférée de Constantin, et tire son nom des peuples les plus puissants parmi les «belges», qui se sont avérés être les «Celtes», ces peuples mixtes qui habitaient l’Europe plusieurs siècles avant Jésus-Christ.   En 54 avant Jésus-Christ, Jules César conquit les «Trévires», une tribu des «belges».   D’aucuns ont tenté de démontrer que ces «belges» étaient d’origine germanique, mais l’Encyclopédie Britannica dit, «… bien qu’ils aient été sans doute soumis à des influences allemandes, ils parlaient une langue celtique». (Ibid., Vol. 27, p.268, c’est l’auteur qui souligne). La ville la plus importante de l’Allemagne depuis bien longtemps, Trèves, était devenue la capitale de «Belga Prima» pendant le règne de l’empereur Dioclétien, qui à son tour la nomma, siège du diocèse de «toute la Gaule», et qui plus tard inclut la «Gaule» (la France et une partie de l’Allemagne), l’Angleterre et l’Espagne.

Les principales autorités de l’origine des langues européennes admettent l’existence d’une similarité entre elles ; notamment les langues des vallées fluviales européennes du nord-ouest. Les premiers écrivains romains avaient trouvé un certain nombre de tribus à l’ouest et au sud du Rhin qui «… appartenaient à une race aux origines non-germaniques, et qui étaient étroitement liées aux tribus Belges (les Belgae, les Goths et les Wisigoths), parlant une langue appartenant au groupe celtique … nous ne savons rien de leur mélange d’avec les tribus germaniques intruses.   Nous ne pouvons que le spéculer. » (Encyclopédie Britannica, vol. 8, p.717, article «langue néerlandaise»).

Comme dans la plupart des nations européennes, les véritables récits des évènements écrits ne commencent que vers le 8ème ou le 9ème siècle.   Au-delà de cette période, on se retrouve rien qu’avec les écrits des premiers voyageurs de ces régions, comme Pline, Strabon, Hérodote, Jules César, et d’autres. On admet cependant que Pline est le plus ancien contributeur dans l’histoire danoise. «Notre première connaissance du Danemark est dérivé du compte de Pline, qui parle de trois îles nommées` «Skandiai », un nom qui s’applique également à la Suède. Il ne dit rien sur les habitants de ces îles, mais nous en dit plus à propos de la péninsule Jutish (baptisée «Jutes», ou «émigrants juifs», après leur captivité sous le règne Sennachérib, 2 Rois 18:13), ou encore cimbrique Cheronese comme il l’appelle. Il place les Saxons sous le joug de la Péninsule Jutish.» (Encyclopédie Britannica, vol. 8, p.28, article «Danemark»)

Remarquez une fois de plus le nom «cimbrique», tiré de l’ancien «Bit-K humri» assyrien pour désigner la «Maison d’Omri». À maintes reprises, les auteurs anciens nous parlent des peuples mixtes appelés «Jutes» (Juifs), «Cimbres» (issus d’Omri, un roi des dix tribus d’Israël), «Saxons» (issus de “Fils de Saac», ou Isaac), et «Teutons» (mot romain pour «Homme à la lance»), qui habitaient l’Europe du nord-ouest. Vous souvenez-vous des pratiques des Danites, dont la moitié vivait «à bord de navires», nommant les terres, les rivières, les sites topographiques et géographiques importants en l’honneur de leur ancêtre?   Écoutez ce que l’Encyclopédie Britannica (11ème édition) dit à propos de l’origine du nom «Danemark» (épelé et prononcé «Danmark» par les Danois): «Jutland était acquis par Dan, l’ancêtre éponyme des Danois!» (Ibid. P.28, c’est moi qui souligne)

Il existe plusieurs mythes au sujet des premiers Scandinaves. On estime communément que les «Vikings» étaient une race de guerriers qui pour la plus part étaient des habitants de la région scandinave occidentale, et qui s’installèrent en Islande et en Groenland. Mais le terme «viking» n’était pas un terme ethnique du tout. «Au cours de l’âge de la saga (900-1050), au début de la littérature nordique, «Viking» n’était guère une sorte de règle utilisée pour désigner une classe d’hommes ” (Encyclopédie Britannica, vol. 28, p.62).

Les vikings étaient ainsi appelés à cause des attaques menées par des pirates contre les pays «chrétiens» d’Angleterre, Ecosse et Irlande à l’époque de l’empire franc. «Le mot «viking» dans le sens auquel il est utilisé aujourd’hui, est dérivé de l’Islandais (ancien norrois) Vikings, signifiant tout simplement un écumeur des mers ou encore pirate … la raison pour laquelle on fait usage du mot «Viking» dans un sens plus générique que celui employé dans l’ancienne littérature norroise repose sur le fait que nous n’avons pas d’autre mot par lequel désigner les pirates scandinaves du 9ème siècle et début du 10ème siècle.»(Ibid., p. 62-63)

Il est fort probable que les peuples de la Scandinavie soient des peuples d’Issacar, Dan et Nephtali.

Qu’en est-il donc des îles appelées «Britannia»? Au sujet du nom, on admet que, «la forme grecque et romaine (de la Grande-Bretagne, Britannia, etc.) sont sans doute une tentative de reproduire une originalité celtique, la forme exacte constitue encore un sujet de contestation. La Bretagne Dans l’ouest de la France tire son nom de la Grande-Bretagne en raison de migrations au 5ème et 6ème siècle après JC.   La personnification de Britannia comme un genre féminin remonte d’aussi loin que les pièces d’Hadrien … (Encyclopédie Britannica, vol. 4 p.583).

Des partisans enthousiastes de la «théorie Anglo-Israëlite» comme l’appellent certains, ont laissé entendre que «british (britannique)» n’est vraiment rien de plus que «Berith-ish», «Berith» qui signifie «alliance» en hébreu, et «ish» qui signifie «homme», par conséquent, «homme d’alliance». «Cela est difficile à prouver hors de tout doute raisonnable, et demeure une question ouverte.   Ce n’est pas nécessaire de se raccrocher désespérément à la moindre petite chose pour essayer de démontrer la véracité des promesses de Dieu à Abraham, Isaac et Jacob. Il n’est pas non plus difficile d’établir au-delà de l’ombre d’un doute que les peuples qui étaient parmi les premiers habitants connus de l’Europe du nord-ouest et les îles britanniques portaient les mêmes noms, bien qu’ayant été quelque peu modifiés par les changements linguistiques, les ennemis et les voisins des dix anciennes tribus d’Israël et leurs ancêtres. En fait, les autorités admettent qu’ils ne savent pas l’origine réelle de l’expression «Breton», les premiers peuples qui habitaient l’Angleterre, de sorte que la question demeure une conjecture.

Quant à la pré-Bretagne romaine, la même source admet que «les géologues ne s’accordent pas encore sur la date et l’identité des premiers occupants qui avaient peuplé la Grande-Bretagne» (Ibid., p. 5S3).

On admet que la première preuve réelle des premiers habitants de la Grande-Bretagne commence avec les deux invasions celtiques; avec l’arrivée des Belges et des «Bretons». Ces peuples vivaient sous un système tribal, gouverné par des princes royaux ; ils se réunissaient dans des villes fortifiées, faites de terre ou de pierre, avec des forts construits au sommet des collines. Ce fut la tradition dans l’ancienne Palestine.

Leur religion était druidique, un ordre magique mystique de «prêtres» qui pratiquaient des rites barbares, y compris le sacrifice humain. Qui étaient ces druides? Quand sont-ils venus? Quelle est l’origine de leur la religion? Pouvons-nous tirer des indices tangibles quant aux origines anciennes des premiers habitants de la Grande-Bretagne à partir de leur religion?

LES DRUIDES, MAGICIENS ET ASTROLOGUES

Les druides étaient une caste de savants érudits. Enseignants, médecins, astrologues, juges, devins et magiciens, ils étaient considérés comme les plus doués et les plus puissants personnages d’entre les peuples de l’Europe préchrétienne et l’Angleterre.

On admet qu’ils étaient d’origine «celtique».   Ils adoraient dans les bosquets de chênes, érigeaient des monuments en pierre, des autels et / ou des observatoires astronomiques (Stonehenge serait une de leurs œuvres, il est admis cependant que Stonehenge pouvait avoir été construit par les peuples pré-druidiques), prétendaient posséder des pouvoirs magiques, et pratiquaient le sacrifice humain.

Depuis l’époque de Pline l’ancien, le terme «Druide» aurait été étymologiquement dérivé du mot grec signifiant «chêne». Les bosquets énormes de chênes occupaient une place prépondérante dans leur culte. Ils recouraient à ces bosquets pour rites et prières magiques, et les considéraient comme des lieux sacrés.

Une autre dérivation étymologique du terme indique qu’il vient de l’ancienne gauloise et irlandaise, et signifiait «très connaisseur» ou «sage».   Il est utilisé dans les annales irlandaises comme «Mages».

Bien que l’information contenue dans la longue citation ci-après de Jules César soit considérée comme récente dans l’histoire druidique car il aurait existé en Gaule et en Grande-Bretagne plusieurs centaines d’années avant Jésus-Christ, il est néanmoins significative, et est cité par tous les historiens et les encyclopédies comme une source primaire.

César a écrit: «Ils assistent au culte divin, accomplissent les sacrifices publics et privés, et exposent sur les questions religieuses. Un grand nombre de jeunes se réunissent autour d’eux pour des fins d’éducation et ils jouissent du plus grand honneur dans cette nation, car presque tous les litiges publics et privés relèvent de leur juridiction. Quand un crime a été commis, quand le meurtrier est arrêté, quand une controverse survient au sujet d’un legs ou à propos de repères, tous ces cas relèvent aussi de leur jugement. Ils déterminent les récompenses et les punitions ; et si quelqu’un, un particulier ou un homme public, désobéissait à leurs décrets, ils l’excluent alors des sacrifices. L’autorité d’infliger la punition la plus sévère leur appartient. Les personnes qui sont ainsi vouées à l’interdit sont considérés comme des impies et des méchants Tous ces druides ont un chef, qui jouit de la plus haute autorité parmi eux … Les druides ne prennent aucune part à la guerre; ils ne paient pas d’impôts comme le reste de la population ; ils sont exemptés du service militaire et de toute charge publique … » (Jules César env. 54 avant JC)

D’où les druides (une classe puissante de dirigeants qui arbitraient les litiges, et pratiquaient l’augure, la divination, les arts magiques, qui prétendaient posséder le don de prophétie et avaient le pouvoir d’excommunier quiconque désobéissait à leurs décrets) avaient-ils appris ce concept d’un sacerdoce?   Nous le verrons.

«En dehors de leur fonction de prêtres et de professeurs de religion, les druides semblent également avoir été adepte astrologues et magiciens, et étaient plongés dans les pouvoirs mystérieux d’animaux et de plantes, de chêne et de gui quand ça poussait sur le chêne … leurs rites mystérieux étaient généralement réalisés dans les profondeurs des forêts de chêne … » (Encyclopédie Americana, vol. 9, p.350-351).

Il n’est pas surprenant de constater que les druides sont liés aux «Magus» ou «mages» de l’histoire ancienne. Remarquez que «les druides irlandais semblent avoir eu une tonsure particulière. Le mot Druide est toujours utilisé pour le mot latin «magus», et dans un passage, St. Columba parle du Christ comme étant son druide. » (Encyclopédie Britannica, vol. 8. p.598, certaines accentuations personnelles).

L’Encyclopédie catholique dit : «L’étymologie de ce mot druide, du grec «chêne», a été le meilleur depuis l’époque de l’ancien Pline; selon cette dernière, les druides seraient les prêtres du dieu ou des dieux identifiés au chêne. » (vol. V. p.162).

Pourquoi le chêne? Quelle importance y a-t-il pour les prêtres de tenir le culte sous les bosquets de chênes? Et que dire de la prétention d’être «sages» ou «mages», c’est-à-dire «magiciens»? La même source dit: «… il est clair qu’il y avait des ressemblances frappantes entre les druides d’Irlande et ceux de la Gaule (France).   Dans les deux terres ils apparaissent comme des magiciens, des devins, des médecins et des enseignants, et non pas comme des représentants d’un certaine religion … dans la première littérature chrétienne de l’Irlande, les druides sont représentés comme les adversaires les plus acharnés du christianisme ; cependant, même les chrétiens de l’époque semblent avoir cru en leur pouvoir surnaturel de prophétie et de magie.»(Ibid., vol. 5, p. 164)

Parlant des Celtes de l’Angleterre, l’Encyclopédie Britannica dit: «Dans la religion, la caractéristique principale était la prêtrise des Druides, qui ici, comme en Gaule, exerçaient les arts magiques et les rites barbares de sacrifice humain, enseignaient un savoir-faire secret et exerçaient une grande influence … » (vol. 4, p. 583).

Comment ces peuples, les peuples mixtes israélites anciens et la filiation assyrienne qui occupèrent progressivement l’Europe occidentale et l’Europe du nord-ouest de l’Europe, la Scandinavie et les îles britanniques, en étaient-ils arrivé à un «sacerdoce» eux qui adoraient dans des bosquets de chênes, qui pratiquaient la magie, la divination et la prophétie, et étaient exemptés de taxes et de service militaire?

Bien que considérés comme une «caste de prêtres», ils ne sont pas nés prêtres, mais aspiraient à cette fonction en raison de ses avantages évidents à savoir, le pouvoir sur le peuple et l’argent» … César le dit comme suit: A ceux qui refusaient de se soumettre à leurs décisions (ils étaient les juges de leurs sociétés), ils avaient le pouvoir d’infliger des sanctions sévères … Comme ils n’étaient pas une caste héréditaire et qu’ils bénéficiaient de l’exemption du service militaire et du paiement des impôts, l’admission dans l’ordre étaient avidement recherchée par les jeunes de la Gaule.» (Encyclopédie Britannica, vol. 8, p.597).

Comme nous l’avons vu, lorsque Jéroboam se révolta contre le fils de Salomon, Roboam, il se tourna vers l’idolâtrie et substitua la fête annuelle des Tabernacles en une autre fête tenue au huitième mois, afin d’empêcher les dix tribus Israël de faire des pèlerinages annuels au temple, à Jérusalem. Le culte du veau était devenu chose naturelle pour eux, car c’était courant chez leurs voisins, qui adoraient une partie de l’ «armée des cieux». La première idole qu’Israël érigea était une image dorée du veau d’un bœuf, représentation d’un Chérubin, sous Aaron.

Quand Dieu donna la loi au mont Sinaï, il dit : «En ce temps-là l’Éternel me commanda de vous enseigner des lois et des ordonnances, afin que vous les mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession. Puisque vous n’avez vu aucune figure ou l’Éternel vous parla du milieu du feu, à Horeb, veillez attentivement sur vos âmes, de peur que vous ne vous corrompiez, et que vous ne vous fassiez une image taillée, une représentation de quelque idole, la figure d’un homme ou d’une femme, la figure d’un animal qui soit sur la terre … de peur levant tes yeux vers le ciel, et voyant le soleil, la lune et les étoiles, toute l’armée des cieux, tu ne sois entraîné à te prosterner en leur présence … Veillez sur vous, afin de ne point mettre en oubli l’alliance que l’Éternel, votre Dieu, a traitée avec vous, et de ne point vous faire d’image taillée, de représentation quelconque, que l’Éternel, ton Dieu, t’ait défendue. Car l‘Éternel, ton Dieu, est un feu dévorant, un Dieu jaloux.» (Deutéronome 4: 14-24)

La Parole de Dieu montre qu’il existe d’innombrables «créatures» dans le monde spirituel également dénommées «armée des cieux» ; ils comprennent les vingt-quatre «anciens» autour du trône de Dieu, les chérubins et les séraphins, ou les “êtres vivants» visionnés par Ézéchiel (Ézéchiel I et 10) ainsi que d’innombrables anges. Seuls trois archanges sont mentionnés par leur nom dans la Bible: Michel, Gabriel et Lucifer. Lucifer était un des archanges exaltés à l’origine qui devint corrompu et se révolta contre Dieu, emportant un tiers des anges avec lui dans sa rébellion (Apocalypse 12: 4-9; Luc 10:18; Esaïe 14; Ézéchiel 28). À l’origine, il était appelé «chérubin protecteur ». (Ézéchiel 28:14)

Comme nous l’apprenons dans Ézéchiel 1 et ailleurs, chaque chérubin avait quatre visages distincts ; chacun apparait comme étant quatre créatures distinctes.   Ils apparaissent sous forme d’homme, de lion, d’aigle et de bœuf. Partout dans la mythologie antique ; dans les autels, les inscriptions religieuses, les statues et icônes, et dans les écrits des nations païennes du proche et moyen orient, on trouve le culte de ces quatre faces de chérubins. Comment cela avait-il commencé?

Rappelez-vous que Dieu avait placé deux chérubins pour protéger le chemin dans le jardin d’Eden après Adam et Ève aient été expulsés. Pendant environ un sixième de toute l’histoire humaine, ces créatures gardaient le chemin vers le jardin, effrayant quiconque s’aventurerait trop près de celui-ci. Quand les Israélites reçurent l’ordre de décorer les tapisseries de l’ancien tabernacle de «chérubins», Moïse ne reçut aucune instruction que ce soit au sujet de leur visage.   Il savait déjà à quoi ils ressemblaient. Au cours d’une période de mille longues années, génération après génération de l’époque d’Adam, combien de fois les voyageurs, les passants, les errants, n’avaient-ils pas tenté de pénétrer dans la région où le jardin d’Eden était préservé? Après tout, on nous dit que Dieu ne l’avait pas détruit quand Adam était expulsé, mais qu’il le préserva et le fit garder par les chérubins! Il n’aurait pas été détruit jusqu’au déluge de Noé!

Un principe important à retenir c’est qu’au fur et à mesure que les groupes tribaux se dispersaient, la connaissance subissait des coups! Les arts, les sciences, la littérature et la connaissance ne se trouvaient que dans les grandes concentrations des peuples des groupes civilisés. Certaines mythologies anciennes ont sans aucun doute commencé comme des histoires vraies, racontées plusieurs fois en soirée autour du feu des peuples dispersés.   Combien n’y a-t-il pas de contes sur les dragons, les bêtes énormes, les géants et autres, qui gardent les châteaux au bord des précipices lointains qui sont remplis de trésors inestimables? Qu’en est-il de Jack au pays des géants, Jack et le tueur de géants, St. George et le Dragon, et tant d’autres? Ne serait-ce pas là des versions modernes des mythes antiques dont certains auraient pu provenir des contes de voyageurs qui avaient été détournés de l’entrée d’Eden par un chérubin rugissant qui aurait une apparence de bête à plusieurs visage, ou de dragon cracheur de feu?

Les caractérisations de ces créatures se trouvent partout dans la mythologie antique. Le Sphinx d’Égypte est un l’homme à tête de lion. Les taureaux ailés sur les murs du palais de Sargon, aux portes des anciens temples assyriens et babyloniens et des bâtiments publics, disposent de la tête d’un roi assyrien, le corps d’un énorme taureau, les ailes d’un aigle, et les griffes d’un lion. Quelques fois c’est tout le taureau qui figure, et parfois c’est le lion, l’aigle, ou l’homme.   L’homme est suprême parmi toutes les créatures sur terre. Le lion est appelé le «roi des animaux» et n’a naturellement pas d’ennemis à l’exception de l’homme. L’aigle est le roi absolu des cieux. Le bœuf est le plus grand, le plus utile de tous les animaux domestiques.

Les monuments égyptiens antiques montrent plusieurs caractérisations des créatures mythologiques qui contiennent deux ou plusieurs éléments des chérubins. Lorsque Aaron fit un veau d’or pour les Israélites, il le fit parce qu’il était complètement familier avec le culte du veau des Égyptiens ; le culte de l’une des quatre faces des chérubins, le veau. Même aujourd’hui, le culte d’animaux domestiques est encore existant dans l’un des pays les plus peuplés de la terre, l’Inde.

Lorsque Jéroboam se révolta, il « … dit en son cœur : le royaume pourrait bien retourner à la maison de David. Si ce peuple monte Jérusalem pour faire des sacrifices dans la maison de l’Éternel, le cœur de ce peuple retournera à son seigneur, à Roboam, roi de Juda, et ils me tueront et retourneront à Roboam, roi de Juda.

Après avoir demandé conseil, le roi fit deux veaux d’or [des bœufs! Une représentation de chérubins!], et il leur dit au peuple: assez longtemps vous êtes monté à Jérusalem Israël ! Voici ton dieu, qui t’a fait sortir du pays d’Égypte. Il plaça l’un de ces veaux à Béthel [Maison de Dieu], et il mit l’autre à Dan [rebaptisé par Danites de Laïs]. Ce fut là une occasion de péché. Le peuple alla devant l’un des veaux jusqu’à Dan. Jéroboam fit une maison de hauts lieux, et il créa des sacrificateurs pris parmi tout le peuple et n’appartenant point aux fils de Lévi.» (1 Rois 12: 26-31)

«Les prêtres » de Jéroboam étaient des volontaires. «Après cet évènement, Jéroboam ne se détourna point de sa mauvaise voie. Il créa de nouveau des prêtres des hauts lieux pris parmi tout le peuple ; quiconque en avait, le désir, il le consacrerait prêtres des hauts lieux » (1 Rois 13:33)

Un des phénomènes sociologiques les plus durables est la religion! Les langues peuvent changer, les coutumes, les habitudes ; les gens peuvent émigrer d’un endroit à un autre, mais la religion a l’habitude immuable. Regardez les anciennes histoires du Japon, de la Chine, de l’Inde. Voyez comment leurs religions ont duré pendant des milliers d’années!

Il n’est pas moins surprenant que les anciens écrivains aient trouvé une caste de prêtres détenant un pouvoir et une influence sur les premiers habitants préchrétiens de l’Europe du nord-ouest et les îles britanniques qui étaient volontaires. Ces prêtres n’avaient aucune origine ethnique ou tribale spécifique ; ils adoraient les symboles du taureau (Taurus) ; leurs les chefs portaient les cornes de taureau (de nombreuses découvertes archéologiques étayent que les «Vikings» en faisaient usage et c’était courant parmi les anciens Celtes) ; ils tenaient les cultes dans les «bosquets» (Asherah) et pratiquaient les rites mystérieux de la religion de l’ancienne Babylone!

«Il n’est donc pas surprenant de voir le peuple d’Odin, les Asa ou Angles, dans leur patrie en Ariana, en Asaland et également en Allemagne du Nord, porter les cornes d’un taureau sur leur coiffure, les casques d’airain ayant les oreilles et les cornes d’un bœuf ou d’autres portant les cornes même de celui-ci, comme indiqué sur les photos d’Odin et son Asa ou Angli.» (À la recherche de nos ancêtres blancs, Haberman, p.135).

Maintenant, qu’étaient les «hauts lieux»?

Quand Dieu envoya les douze tribus d’Israël dans la terre promise, Il savait qu’ils rencontreraient plusieurs groupes païens, y compris les Phéréziens, les Jébuséens, les Héviens, les Hittites, les Phéniciens (Philistins) et les Cananéens, entre autres. La tradition de ces peuples était le culte des signes des saisons, des phénomènes astrologiques, des animaux et des oiseaux, des symboles de «l’armée des cieux», tels les chérubins, les symboles phalliques en particulier, et d’autres symboles de sexe, de fertilité et de reproduction. Les Hittites brûlaient les enfants à «Kemosch», et le culte de «Baal» était répandu chez les Cananéens.

Dieu avertit Israël: «Vous détruirez tous les lieux où les nations que vous allez chasser servent leurs dieux, sur les hautes montagnes, [un «haut lieu»] sur les collines, et sous tout arbre vert [c’était leur coutume de se rassembler au milieu de «bosquets d’arbres»]. Vous renverserez leurs autels, vous briserez leurs statues [Colonnes verticales de pierre ou de bois; parfois, les troncs d’arbres laissés ancrés dans le sol, dépouillés de branches, et sculptés, représentant des symboles phalliques] vous brûlerez au feu leurs idoles [qu’ils adoraient dans les bosquets de chênes!] vous abattrez [comme dans l’abattage d’un tronc d’arbre!] les images taillées de leurs dieux, et vous ferez disparaitre leurs noms de ces lieux.»(Deutéronome 12: 2, 3)

Jéroboam battit des «hauts lieux». Tout au long des règnes idolâtres de nombreux rois d’Israël, la question des «hauts lieux» était constamment portée devant eux par les prophètes de Dieu, qui condamnaient cette pratique idolâtre, et avec ça, la pratique du culte dans des bosquets d’arbres, appelé asherim.   Un arbre en pal était un asherah, venant d’Astarté, qui était «astarte» (le «te» est silencieux à la fin du mot), parmi les Babyloniens.   Les signes extérieurs de sexe, de fécondité et de fertilité étaient monnaie courante chez les anciens peuples du Moyen-Orient, et comprenaient les symboles de la première déesse de la mystérieuse religion babylonienne, Simiramus (Semurammut), la mère-épouse de Nimrod, fondateur des anciennes villes babyloniennes. Elle était «Ishtar» (astarte, Astarté), prononcé comme en anglais «Easter» (Pâques), par les peuples de toute la région. L’origine de la bûche de Noël est emmitouflée dans la mythologie païenne de la mort et la «résurrection» de Nimrod, caractérisé par un tronc d’arbre abattu, à partir de laquelle, selon la tradition païenne, repoussa du jour au lendemain, un petit arbre vert ; un arbre aux feuilles persistantes qui symbolisait Nimrod ressuscité.   Les symboles de l’œuf (tels les orbes, les bulbes, les ornements en forme d’œuf sur les «arbres de Noël») étaient vénérés comme symboles de la vie. La fleur de lys était considérée comme une image de l’acte de copulation, et vénéré par les païens comme un signe de reproduction.

Parlant des nombreux «hauts lieux» et de «bosquets» dans l’ancien Israël, Kitto dit, «Le système établi par Jéroboam était d’une part une imitation de la religion nationale, et d’autre part de l’idolâtrie Egyptienne et Cananéenne.   Dès ce moment, nous trouvons les hauts lieux encore en usage, les gens continuant de sacrifier et brûler de l’encens dessus. Il est dit au sujet d’Asa qu’il fit disparaitre les hauts lieux (2 Chron. 14: 5), mais il semble que cette réforme n’était pas accomplie avec succès, ne serait-ce que dans les villes d’Israël (15: 17; 1 Rois 5: 14) qu’il possédait (2 Chron.15: 8; 17:   2). De même, au sujet de Josaphat, il est dit qu’il fit disparaitre «les hauts lieux et les idoles de Juda» [v. 6, comp. 19: 3]; cependant, il semble qu’il n’avait pas entièrement réussi, car nous lisons dans un passage plus loin que «les hauts lieux ne sont pas pris» (1 Rois 22: 43) (Encyclopédie de la Littérature Chrétienne, Kitto, vol. II, p 301, 302).

Et qu’étaient les «bosquets (idoles)»?   Le mot en hébreu est «asherah». Kitto dit : «Le mot asherah (astarté) et son pluriel asherim est contenu dans l’AV et est constamment mentionné avec les hauts lieux. À première vue, la courante LXX (Septante), suivie de notre version du lien existant entre les hauts lieux et le culte sous les arbres, ainsi que la prévalence du culte de la nature en Palestine, semble être convaincants ; cependant un examen minutieux montre que quelque chose de caractère d’une image doit être intentionnée “(Encyclopédie de la Littérature Biblique, Kitto, vol. 11, p. 302).

Kitto dit aussi: «Il faut se rappeler que le bosquet est constamment rattaché à Baal» (Ibid. P.302).

Les autorités lient ashtoreth avec asherah (Astarté) ou bosquets des anciens Israélites.   Salomon, dans sa vieillesse, se détourna du culte du vrai Dieu pour adorer les dieux de ses nombreuses concubines et épouses.   Dieu dit, «A l’époque de la vieillesse de Salomon, ses femmes inclinèrent son cœur vers d’autres dieux; et son cœur ne fut plus tout entier à l’Éternel, son Dieu, comme l’avait été le cœur de David, son père.

“Salomon alla après Astarté, divinité des Sidoniens, et après Milcom, l’abomination des Ammonites. … Alors ne Solomon bâtit sur la montagne qui est en face de Jérusalem un haut lieu pour Kemosch, l’abomination de Moab, et pour Moloc, l’abomination des fils d’Ammon » (1 Rois 11: 4-7). Et qui aurait été présent, jouant peut-être le rôle important de donner des instructions aux ouvriers, aux artificiers, aux tailleurs de pierre, aux artisans et fondeurs de métaux et aux coupeurs de bois? Jéroboam! Il était le serviteur le plus loyal et digne de confiance de Salomon ; celui à qui les dix tribus du nord furent données! Était-ce surprenant de le voir bâtir des hauts lieux, des bosquets, des astarté et une caste de prêtres de bas niveau qui adopta des rites idolâtres des païens autour d’eux?

Les anciens prêtres des mystères babyloniens étaient astrologues comme l’étaient les «Mages », tel Simon, le Magicien qui tenta d’acheter l’apostolat auprès de Peter (Actes 8). Astarté était la «reine du ciel» mentionnée dans Jérémie 7: 17-18! «Ne vois-tu pas ce qu’ils font dans les villes de Juda et dans les rues de Jérusalem? Les enfants ramassent du bois, les pères allument le feu, et les femmes pétrissent la pâte, pour préparer des gâteaux à la reine du ciel [Simiramus, Isis], et pour faire des libations à d’autres dieux, afin de m’irriter».

Les gâteaux qu’ils faisaient portaient un symbole du soleil, formé par un X, comme la roue solaire vénérée par Constantin. Parmi les Teutons de l’époque médiévale, ces gâteaux étaient nommés selon le symbole de «Taurus» le taureau, et étaient appelés «bous», ou «boun» pour « taureau». Le mot «boun» est l’origine du mot anglais «bun» utilisé aujourd’hui dans «hot cross buns (brioches de carême)», cuits et mangés le jour d’«Ishtar» (prononcé «Easter ou Pâques» aujourd’hui comme à l’époque) en l’honneur de la reine du ciel, dont les symboles sont la fécondité et la sexualité, tels les lapins, les œufs et le lys. Étant donné que les druides croyaient en l’immortalité de l’âme, la transition du druidisme au soi-disant «christianisme» était facile, surtout que les «chrétiens» nouvellement arrivés en Grande-Bretagne et au nord de la France observaient les jours païens des babyloniens, des égyptiens, des grecs et des romains, tels la solstice d’hiver (le «Brumalia» des Romains, et «Saturnales» des grecs, le 25 décembre) avec leurs arbres traditionnels, commémorant «la résurrection» de Nimrod, les bûches de Noël, les orbes et les ampoules symbolisant les œufs, et la reproduction sexuelle, et surtout le gui qui était une caractéristique importante du druidisme. Ils le vénéraient aussi le jour d’Ishtar et le jour de l’Equinoxe, comme un symbole de jaillissement d’une vie nouvelle. Les gâteaux préparés à la reine du ciel, les œufs décorés avec des serpents, les symboles de Taurus le taureau et tant d’autres étaient toutes des traditions familières aux païens druides.

Pendant des siècles, les peuples des dix tribus perdues avaient conservé la religion païenne de leurs ancêtres, avec la prêtrise «volontaire», le culte dans des bosquets d’arbres et sur les hauts lieux, le sacrifice humain, les rites astrologiques et magiques et les fêtes annuelles associées aux anciens Assyriens et Babyloniens.

Les druides vénéraient Astarté à l’exemple de leurs ancêtres! Kitto dit, «Astarté est le nom d’une déesse des Sidoniens (1 Rois 11: 5, 33), et des Philistins (1 Sam. 31: 10), dont le culte était introduit parmi les Israélites pendant la période des juges (Juges 2: 13;… 1 Sam.7: 4). Elle était célébrée même par Salomon (1 Rois 11: 5), et finalement abolis par Josias (2 Rois 23: 13.), un roi qui régna sur Juda, bien après que les dix tribus du nord de la nation d’Israël fussent emportés en captivité. Elle est souvent mentionnée en relation avec Baal, comme une divinité femelle correspondante (Juges 2 13) ; et, vu l’ajout des mots, «Et toute l’armée des cieux» dans 2 Rois 23: 4, elle aurait probablement été l’un des corps célestes.   Il y a aussi des raisons de croire que l’appellation de «reine du ciel» dans Jérémie. 7: 18; 44: 17 lui soit destinée ; elle dont le culte y est dit avoir été célébré par l’offrande des encens, des libations, et des gâteaux. » (Encyclopédie de la Littérature Biblique, vol. 1, p.242, 243, article «Astarté»)

Parlant du culte de la reproduction lié à cette déesse païenne, Kitto dit: «Quant à la puissance de la nature, qui était vénéré sous le nom d’Astarté, Creuzer et Munter affirment que c’était le principe de conception et de parturition qui subordonne la puissance fécondée par une influence supérieure, et qui est cependant dépositaire de toutes les naissances dans tout l’univers … Astarté était vénérée comme étant la lune, et la transition de la lune à la planète Vénus (que nous remarquerons immédiatement) était une innovation incontestable d’une date ultérieure.   Il est évident que la lune, elle seule ne peut pas être appelée reine du ciel avec justesse ; tout comme la relation de dépendance de la lune vis-à-vis du soleil rend le symbole de sexe plus approprié ; sa fonction de femme et mère, dans toute l’étendue de la nature animée était incarnée dans Astarté (BAAL).

«Les rites de son culte s’accordent d’une part avec les quelques indications de l’Ancien Testament et d’autre part complètent les brèves remarques dans une image concordante. Les gâteaux mentionnés dans Jérémie 7: 18, que l’on appelle en hébreu «Kavvanim», étaient également connus des grecs et ils les faisaient dans la forme d’une faucille, (à ce jour, l’un des pains français les plus populaires est le «croissant» ou «cressent», maintenant ainsi cette ancienne pratique) en rapport avec la nouvelle lune … La partie la plus importante de son culte consistait à se livrer à ces orgies libidineux, qu’Augustin, un témoin oculaire de leurs horreurs à Carthage, décrit avec une telle indignation … Dans le pays de Canaan, elle était probablement représentée comme une vache. En Phénicie, elle avait la tête d’une vache ou d’un taureau, comme on le voit sur les pièces de monnaies. Sanchoniathon indique qu’ «Astarté adopta la tête d’un taureau comme symbole de sa souveraineté» ; il parle également de l’Etoile (Encyclopédie de la Littérature Biblique, Kitto, vol. 1, p.242).

Pas si étrangement, les druides de la Grande-Bretagne avaient conservé certaines des pratiques de l’ancien sacerdoce lévitique.   À titre d’exemple, ils construisaient des autels (présents en grand nombre partout dans la Grande-Bretagne, l’Irlande et le nord-ouest d’Europe) des pierres taillées parce que, selon la loi druidique, aucune hache ne pouvait toucher une pierre destinée à un autel de sacrifice.   Pourquoi? D’où venait cette interdiction ?

Remarquez, «Si tu m’élèves un autel de pierre, tu ne le bâtiras point en pierres taillées ; car en passant ton ciseau sur la pierre, tu la profanerais. Tu ne monteras point à mon autel … » (Exode 20:25, 26).

La pratique des Lévites dont on se souvient le mieux était le rituel du sacrifice des animaux comme une image de la nécessité d’une effusion de sang pour expier le péché. Les druides avaient la même pratique! Rappelez-vous que l’ancienne Pâque incluait le sacrifice d’animaux, ainsi qu’un festin composé de pain et de vin. Est-ce si étrange que les druides de l’ancienne Gaule (France) et l’Angleterre pratiquaient des rituels presque identiques?

Étudiez l’histoire des nations européennes du nord-ouest, et vous trouverez encore et encore un aveu d’ignorance de la part des grandes autorités quant à l’origine réelle des premières vagues de colons qui étaient appelés les «teutoniques», ou «Brythoniques,» ou «Belges», les «Gaulois» et les «Celtes».

Remarquez! «Quant aux origines de cette race (les premiers habitants de la France), nous sommes à nouveau dans l’ignorance complète et il serait vain de s’attarder sur les nombreuses conjectures de migrations d’une race aryenne.» Encyclopédie Americana, vol. 11, p.718).

Cependant, cet aveu est fait de plus en plus d’une similarité dans la religion! «Depuis les premiers temps, les habitants de la Gaule avaient un caractère national et une religion en commun … » (Ibid. p.718)

Cette même autorité dit au sujet des dogmes des druides de l’ancienne France: «Un de ces dogmes … était la nécessité d’un sacrifice, et, vraisemblablement, un Dieu universel … Un sacrement du pain et du vin distinguait ce culte, et une sainteté rituelle attachée à certains objets et sanctuaires, tels le gui pour les légumes et la Grotte de Chartres pour les lieux.»(Ibid. P.718, c’est l’auteur qui souligne).

Rappelez-vous s’il vous plaît que tout indice quant à l’identité des peuples de l’Europe du nord-ouest, les îles britanniques et le Commonwealth et les États-Unis d’Amérique, ne saurait être concluant après une étude isolée. Vous vous souviendrez aussi que le véritable tronc de l’arbre est une promesse infaillible de Dieu faite à Abraham, Isaac et Jacob ; promesse qu’il fit à David selon laquelle, de sa postérité, il ne manquerait jamais un successeur assis sur le trône, à savoir Christ à son avènement. Cependant, lorsque des dizaines de faits historiques, philosophiques, ethnologiques, archéologiques, et de faits de l’histoire religieuse forment une image positive qui conduit infailliblement aux mêmes conclusions, ces faits méritent alors une étude minutieuse, pas un congédiement méprisant.

Les druides portaient des vêtements sacerdotaux ; le grand prêtre portait une cuirasse, exactement comme le faisaient les anciens prêtres lévitiques. Après tout, le sacerdoce des bénévoles de Jéroboam n’était qu’une simple contrefaçon du sacerdoce lévitique!

Et qu’en est-il des Lévites qui étaient dépossédés de leur fonction? Il est parfaitement logique de croire que bon nombre d’entre eux se seraient efforcés de parvenir au nouveau sacerdoce.   Jéroboam interdisait le culte au vrai Dieu, Yahvé, Yaveh, ou Jéhovah, selon la prononciation utilisée, aux Lévites qui insistaient sur l’observation des festivals prescrits au lieu qui portait le nom de Dieu, Jérusalem. Tout Lévite qui abandonnait ces principes, et qui rejoignait t les rangs des volontaires pour le nouveau sacerdoce était admis, sans aucun doute.

Les Historiens britanniques ont été frappés par la similitude étonnante qui existe entre le druidisme et les rituels du sacerdoce lévitique de l’ancienne Israël. Beaucoup d’autres autorités ont noté la ressemblance entre la religion druidique et celle de l’Ancien Testament. Pour en citer un, Charles Hulbert, un chercheur britannique éminent: «La ressemblance entre la religion druidique de Bretagne et la religion patriarcale des Hébreux est si forte, que nous n’hésitons pas de déclarer qu’ils ont même origine.»(Stonehenge et Druidisme, E. Raymond Capt., p.75)

Est-ce si étrange, alors, que nous trouvions des pratiques et croyances presque identiques parmi les plus anciens Bretons et Irlandais, comme instituées par Jéroboam, et conservées par presque tous les rois de dix tribus d’Israël, ayant ainsi provoqué leur expulsion de leurs terres? Et est-il étonnant que les ajouts ultérieurs et raffinements du culte païen des Européens du nord-ouest portent de fortes ressemblances avec le culte des anciens Babyloniens et Assyriens qu’ils tenaient devant les «taureaux ailés» (chérubins), et dans les «bosquets» de chênes, vénérant les mêmes «dieux» païens que les voisins d’Israël?

Souvenez-vous qu’Israël et l’Assyrie étaient chassés ensemble. Ce n’est donc pas étonnant que l’affinité entre les «races teutoniques» de l’Europe du nord-ouest soit étroite ; l’affinité entre les «hollandais» (une dérivation philologique de «Teutch» à partir de «Teuton»), et les allemands.

LA GRANDE-BRETAGNE PENDANT «L’AGE SOMBRE»

Tout étudiant de l’histoire est familier avec l’«âge sombre». La raison pour laquelle on l’appelle «sombre» c’est tout simplement parce que il y a un grand manque d’informations disponibles, d’informations écrites en particulier, comme les histoires, les annales, les chroniques, les épopées ou les sagas qui détailleraient la vie et les coutumes des peuples de l’Europe du nord-ouest et des îles britanniques dans les siècles précédant la conquête romaine.

Par exemple, «Les géologues ne s’accordent pas encore sur la Grande-Bretagne pour déterminer quand et qui vivaient les premiers habitants qui l’avait peuplée. » (Encyclopédie Britannica, vol. 4, p.583, article «Grande-Bretagne»).

Les autorités conviennent que les «bretons» et «belges» étaient parmi les premiers habitants connus, et qu’ils «apportèrent les civilisations et les dialectes celtiques. Il n’est cependant pas certain de déterminer s’ils étaient des celtes de race pure et s’ils étaient assez nombreux pour absorber ou effacer les races qu’ils avaient trouvées en Grande-Bretagne. Mais il n’est pas déraisonnable non plus de penser qu’ils n’étaient pas une simple caste de conquête, et qu’ils étaient de la même race que les peuples parlant la langue celtique du continent occidental.» (Ibid., Vol. 4, p.583).

Concernant sur l’origine du mot «Bretagne», cette première autorité admet que le mot est une «forme anglicisée du nom classique d’Angleterre, du Pays de Galles et d’Ecosse, parfois étendu jusqu’aux îles britanniques dans son ensemble (Britannicae Insulae). Les formes grecques et romaines sont sans doute une tentative de reproduire une originalité celtique car la forme exacte est encore contestée.» (Ibid. p.583)

Comme nous l’avons mentionné précédemment, il y a ceux qui ont insisté sur le terme dérivé de «berith», qui est l’hébreu pour «alliance» et «ish», pour «l’homme». Si cela parait fantaisiste, relisons ce qui précède et rappelons-nous que les premiers Romains qui entrèrent en contact avec les peuples «parlant la langue celtique» de la Bretagne préchrétienne essayaient d’écrire, dans leur propre langue, une approximation du nom par lequel les premiers Bretons S’APPELAIENT! On pourrait rétorquer d’une façon ou d’une autre, et la question sera toujours non résolue. Cependant, il y a aussi autant de raison de soupçonner que ces peuples pouvaient avoir conservé une expression telle «peuple de l’alliance». Souvenez-vous qu’il est amplement prouvé que les noms des «Khumbri» et des «Cimmériens» sont des modifications étrangères d’«Omri» et sinon du même terme «Samaritains». Dans chaque cas, ceux-ci étaient des noms que les autres les attribuaient et non des noms dont ces peuples s’appelaient eux-mêmes. À titre d’exemple, il n’y a pas de ville en Italie appelée «Florence». C’est un mot anglicisé, et les sons phonétiques produits par les Anglais et les Américains en le prononçant ne portent qu’une ressemblance passagère à «Firenze», prononcé «Pheer-ERN-tsay» par les Italiens. Un Américain se renseignant auprès d’un Italien à propos de «Florence» serait regardé avec étonnement ; l’Italien ne reconnaîtrait simplement pas le nom.

Y a-t-il une importance aux toponymes?   Bien sûr que si! Les hommes ont toujours donné leurs noms et ceux de leurs progénitures aux villes, aux rivières, aux promontoires et montagnes importants, aux baies, aux estuaires, aux vallées fluviales et à d’autres emplacements géographiques.

«Heber» était l’ancêtre des Hébreux.   Dans de nombreuses langues, le «H» était silencieux, et le «e» avait un son prolongé, d’où «iber» (ee-ber) dans les diverses langues latines. Ce n’est pas étrange que les premiers habitants de la France et de l’Espagne étaient appelés «Ibères». Même aujourd’hui, la péninsule d’Espagne et du Portugal est appelé «ibérique».   C’est aussi le nom des compagnies aériennes nationales espagnoles. L’un des fleuves les plus importants d’Espagne est l’«Ebro» (remarquez la similitude avec «hébreu»).   Dans la langue arabe (maure), un wadi est un fleuve, ou un cours d’eau desséché.   Le Wadi-alkebir ou fleuve des Hébreux devint Quadalquivir, qui est l’un des principaux fleuves de l’Espagne. Les marins Danites passèrent par l’Espagne, explorèrent ses rivières, et les nommèrent de leurs noms.

Nous avons déjà mentionné les noms de lieux comme les grands systèmes fluviaux d’Europe orientale ; le Don, Udon, Dniestr, Dniepr et Danube.   Allen collectionne plusieurs des noms de lieux en Angleterre et en Scandinavie, qui implique les sons «dun», «don», «din» et «Dan», dont certains peuvent être purement conjecturels. Ceux qui s’opposent à de telles comparaisons cherchent à trouver des sons similaires dans d’autres pays, et bien sûr, ce procédé n’est pas très difficile. Cependant, la prépondérance de la preuve penche fortement vers les noms de lieux du nord-ouest de l’Europe et de l’Angleterre concernant les anciens Israélites, tels qu’ils étaient connus par d’autres et non nécessairement, dans tous les cas, comme ils s’appelaient eux-mêmes.

La très grande superficie de l’ancienne Angleterre orientale appelée «Umbria du nord» est incontestablement de la Khumbri, Kimri, etc, que les ravisseurs assyriens modifièrent en «Maison d’Omri».   Un estuaire important sur cette côte est de la «Humber». «Wessex, Sussex et Essex» ne sont autre que les «Saxons de l’est, de l’ouest et du sud».

Cela ne sert à rien de se moquer des toponymes, car les historiens admettent leur importance. «Nos informations au sujet de la terre et ses habitants sont tirées des études géologiques, ethnologiques et archéologiques, à partir des restes de brouettes et grottes britanniques, des voies, des murs et des villas romaines, des pièces de monnaie, des toponymes et des inscriptions.   Les écrits de César et Tacite ainsi que quelques avis dispersés parmi d’autres auteurs romains, appuient ces informations.» (Encyclopédie Britannica, vol. 9, p. 583, l’article, l’histoire anglaise, c’est l’auteur qui souligne).

En tentant de retrouver les premières racines connus de la langue anglaise, on trouve l’aveu suivant: «Les Angles, les Saxons et leurs alliés étaient de la race Teutonique, et parlaient une langue appartenant à la branche teutonne ou germanique de la famille indo-germanique (indo-européenne). La même race et le même langage est représenté dans les temps modernes par les peuples et les langues de la Hollande, l’Allemagne, le Danemark, la péninsule de Scandinavie et l’Islande, ainsi que celles de l’Angleterre et ses colonies. Concernant la maison d’origine de la dite race aryenne primitive, dont la langue était parenté à l’indo-européen, rien n’est certainement connu … » (Ibid., p. 588, c’est moi l’auteur qui souligne).

À maintes reprises, on retrouve la plus forte indication que le berceau des peuples du nord-ouest d’Europe et les îles britanniques était en «Asie», y compris la «Crimée» (à partir de Gimri, Kimbri, Cimmérien, etc.) et les steppes de la Russie méridionale ; la région entre la mer Noire et la mer Caspienne, région dans laquelle les anciens Assyriens et les captifs Israélites des dix tribus étaient chassés par l’empire babylonien.  

LES ANGLO-SAXONS, QUI ETAIENT-ILS?

La désintégration du royaume idolâtre du nord d’Israël n’avait pas eu lieu en quelques jours ou semaines ; pas même au cours de plusieurs années, mais au fil des décennies.

Dès le règne de mauvais rois Achab et Jéhu, plusieurs de ceux de Manassé et de Ruben, ainsi que ceux de Gad, étaient chassés de leurs terres ; d’autres étaient abattus. Dans une époque relativement récente, les archéologues ont confirmé les récits bibliques de l’élimination successive des dix tribus d’Israël de leurs terres. Des annales des rois assyriens ont été trouvées et déchiffrées dans lesquelles les noms de dix des rois israélites figuraient.   Ils comprennent Omri (appelé «Khumri» dans la langue assyrienne), Achab, Jéhu, Menahem, Pékan, Osée, Ozias, Achaz, Ézéchias et Manassé.

Une des découvertes importantes était l’ «obélisque noir de Salmanasar», que j’ai eu l’occasion de voir et qui se trouve dans un Musée anglais.   C’est un bloc de pierre très dense, dur et noire, entièrement recouvert d’écrit et de scènes picturales.   Sur la deuxième ligne à partir du haut de l’un de ses quatre côtés figure un personnage à genoux devant le roi assyrien, avec l’inscription, «le tribut de Jéhu, fils (cela implique le successeur, par l’expression assyrienne utilisée) d’Omri (Khumri) ; j’ai reçu de l’argent, de l’or, des coupes d’or, des calices d’or, des coupes d’or, des vases d’or, du plomb, un sceptre de roi, et des hampes de flèches.»

Un des tout premiers déplacements d’Israélites avait eu lieu avant 800 Avant Jésus-Christ. L’écriture dit: «Dans ce temps-là, l’Éternel commença à entamer le territoire d’Israël ; et Hazaël [roi de Syrie] les battit sur toute la frontière d’Israël. Depuis le Jourdain, vers le soleil levant, il battit tout le pays de Galaad, les Gadites, les Rubénites et les Manassites, depuis Aroër sur le torrent de l’Arnon, jusqu’à Galaad et à Basan. » (2 Rois 10:32, 33).

Ce fut en 800 avant Jésus-Christ, et pourtant, la majeure partie du royaume des dix tribus n’avait finalement été retirée qu’à partir de 720 jusqu’en 718 avant JC, environ 100 ans plus tard, deux à trois générations de plus. Qu’étaient-il advenu aux dizaines de milliers de personnes qui étaient retirées de la pécheresse Israël si tôt?

Souvenez-vous que Dieu avait dit: «En Isaac ta postérité sera appelée». Amos a écrit: «Maintenant donc tu entends le mot de l’Éternel: Tu le dis, ne prophétise pas contre Israël, et ne dépose pas ta parole contre la maison d’Isaac ». Le nom syro-phénicien pour ces peuples était «Beth-Sak».

Vous vous rappellerez que les peuples captifs n’étaient pas en mesure de se faire recueillir dans les centres d’apprentissage à des fins d’établir une civilisation très développée, de promouvoir la langue, la littérature, les arts et les sciences.   Les réfugiés ne se préoccupent pas d’érudition.   Les traces que nous trouvons des dizaines de milliers de déplacés des dix tribus d’Israël sont nécessairement inscrits dans la littérature (qui est extrêmement fragmentaire) de leurs conquérants et de ces peuples par lesquels ils passaient dans leurs migrations vers l’ouest et vers le nord.   Bristowe, dans son article «Les Lettres les plus Anciennes du Monde», à la page 32, se réfère aux tables de Tel-el-Armarna et leurs références à des peuples qui conquirent la Palestine sous le règne de Josué, comme les Habiru, Habiri, ou Abiri ; ils étaient également appelés les Saga ou Saka.   La modification évidente d’«hébreu» et «Saak» ou «Isaac» y est mentionnée.

Une des expulsions les plus massives du Beth-Sak ou Sacae, comme on les appelait, survint quand Tiglath-Piléser attaqua Israël aux environs de l’an 745 avant Jésus-Christ. «Du temps de Pékach, roi d’Israël Tiglath-Piléser, roi d’Assyrie, vint et pris Ijjon, Abel-Beth-Maaca [maison de Abel à Maaca], Janoach [Dieu de Noé], Kédesch, Hatsor, Galaad et la Galilée [ces zones incluent sont habitées par Gad, Ruben, et Manassé], tout le pays de Nephtali, et il emmena captifs les habitants en Assyrie » (2 Rois 15:29).

Amos dit: «Voici Seigneur, l’Éternel, a les yeux sur le royaume coupable. Je détruirai de dessus la face de la terre [Héb. ehrets, ce qui signifie la terre, en partie ou communément, pas le monde entier] ; toutefois, je ne détruirai pas entièrement la maison de Jacob, dit l’Éternel.

Car voici, je donnerai mes ordres, et je secouerai la maison d’Israël parmi toutes les nations, comme on secoue avec le crible, sans qu’il tombe   à terre un seul grain.» (Amos 9: 8, 9).

L’errante Israël était entremêlée aux Syro-Phéniciens, aux Assyriens et aux peuples qui devaient plus tard porter des noms qui leur seraient donnés par les Romains, les Grecs, et bien d’autres. Pendant des siècles, ces peuples étaient en fait «secoués parmi les nations », pendant qu’ils erraient le long des vallées fluviales de l’Europe centrale et orientale jusqu’à ce qu’ils arrivent aux îles du nord de l’Europe et aux îles britanniques.

Pour certains, l’hypothèse selon laquelle les États-Unis seraient «Manassé» semble incroyable car ils soulignent que les citoyens des États-Unis sont un «creuset» de plusieurs races.   Il est vrai, en particulier dans la dernière moitié du 20ème siècle, que des afflux massifs de réfugiés étrangers regagnèrent les États-Unis. Des gens issues de dizaines de races et nationalités cherchèrent refuge en Amérique à savoir les Coréens, Vietnamiens, Cambodgiens, Laotiens, Salvadoriens, les Cubains, Mexicains, Nicaraguayens et Costa Ricains. Mais les héritiers de cette terre au cours de l’établissement des colonies et les migrations massives ultérieures sous la direction des fondateurs tels William Penn était principalement venus d’Angleterre, d’Ecosse, d’Irlande et des Pays de Galles. Ils étaient aussi de Lowlands, de la Scandinavie et de l’Allemagne. Combien de millions d’Américains ne prétendent-ils pas avoir des ancêtres «Écossais», Irlandais et Néerlandais?   Combien des millions d’autres ne revendiquent-ils pas la progéniture britannique?

Le fait est que, Dieu était capable de «secouer» les peuples d’Éphraïm en Angleterre et dans les pays du Commonwealth, de tenir à ses promesses, que «… pas le moindre grain [doit] tomber à terre ».   Ce n’est pas chose étrange de voir les Américains porter des noms Teutonique, français, néerlandais, anglais et irlandais, parmi beaucoup d’autres.   Le défunt Général Dwight Eisenhower portait un nom allemand; mais n’avait ni racines généalogiques, ni tempérament raciale «allemands».   Des millions de personnes de Juda qui sont Juifs portaient des noms allemands tels «Weiz», «Weitzman», «Lieverman», «Lieberman», «Loeb», «Gelt», «Birnbaurn» et «Bauer» ainsi que bien d’autres. Pourtant, ils étaient de la maison de Juda, et n’avaient jamais été «Allemand», sauf dans un cadre nationaliste et politique. Sur le plan racial, ils ne proviennent pas des anciens Assyriens, comme cas des peuples allemands d’Europe centrale.

Non, Manassé était confiné dans les «zones de rétention» disséminés dans d’autres races ; entremêlées tel que Dieu dit qu’ils le seraient, avec leurs frères de Gad, Asher, Zebulon, Reuben, Issacar, Siméon et Lévi, et Éphraïm. En outre, ils étaient mêlés à leurs anciens ravisseurs assyriens, les «Halmanni», qui en raison de leur caractère belliqueux, étaient appelés «lanciers» («Teut-ons») par les Romains.   Ce nom était plus tard devenu «teutonique».

En 721, lorsque Salmanasar avait emporté les derniers restes de l’ensemble des dix tribus de la maison d’Israël, il y avait des dizaines de milliers de leurs frères de diverses tribus (mais tous étaient «fils d’Isaac » puisqu’Isaac était le père de Jacob [Israël]) qui avaient déjà été mêlé avec les peuples de l’est et du nord-ouest d’Europe, près de cent ans plus tôt.

Sargon II, qui était le successeur de Salmanasar, dans la conquête finale des Israélites restants, avait inscrit sur les murs de son palais ce qui suit: «Au début de mon règne, j’assiégeai et je pris procession de la ville de Samarie, avec l’aide du dieu Shamash.   J’emportai vingt-sept mille deux cent quatre-vingt de ses habitants en Assyrie et j’établis les peuples que mes mains avaient conquis.   Je plaçai mes officiers et gouverneurs sur eux, et leur imposai un tribut comme les Assyriens».

La Bible l’affirme. «Et le roi d’Assyrie parcourut tout le pays, et monta contre Samarie, qu’il assiégera pendant trois ans. La neuvième année d’Osée, le roi d’Assyrie prie Samarie, et emmena Israël captifs en Assyrie. Il les fit habiter à Chalach et sur le Chabor, fleuve de Gozan, et dans les villes des Mèdes.» (2 Rois 17: 5, 6; 18:11)

Le fleuve de Gozan était identifié comme la rivière d’Uzen qui coule vers le nord de l’ancien Mèdes et se jette dans le Mer Caspienne.   Israël avait été banni dans l’une des parties au cœur de l’ancienne Assyrie. «Khabor» est probablement une modification assyrienne d’«Heber» tout comme «Habiri» l’est d’ «Iber,” et n’était pas un aussi vaste camp des réfugiés que ça, camp qui avait reçu son nom à l’arrivée des malheureux prisonniers, plutôt que d’une ville établie des Mèdes.

Dans l’aveu même de Sargon, ils ne sont pas assimilés à la vie courante et dominante assyrienne, mais furent plutôt envoyés dans une zone frontalière périphérique ; plus de 400 miles de Ninive, capitale d’Assyrie. Là, ils devaient labourer la terre, élever du bétail, exercer leurs différents métiers et commerces, et ensuite payer le tribut annuel à Ninive.   Ce fut-là la tradition assyrienne. Les peuples conquis étaient invariablement déportés aux «camps de travail» dans les territoires périphériques.

Comme vous vous en souviendrez, la montée en puissance de Babylone finalement soumis l’Assyrie, qui disparut dans l’histoire.   Pendant des siècles, les peuples d’Israël et ceux d’Assyrie s’entremêlèrent dans leurs migrations vers le nord-ouest.   À propos de cette période, Haberman écrit: «C’était à cette époque, en 700-600 avant Jésus-Christ, que les caractères runiques se développèrent à partir de l’écriture phénicienne, caractères que nous trouvons gravés dans cette région, aussi loin que la mer d’Aral, où les Massagètes vivaient, et tout à travers la Russie au nord de l’Allemagne, la Scandinavie, l’Angleterre, et l’Islande.   C’est dans ces caractères runiques que les sagas de Saghs («Saacs») et les Goths ont été écrits, les Gathas de Zoroastre et les Eddas de la Normande, qui une fois de plus sont dérivés des Védas antérieures des Indo-Aryens. Tous ces anciens sagas, bien que considérés aujourd’hui comme de la littérature purement fictive, contiennent la tradition légendaire des héros de l’Antiquité, qui étaient les ancêtres des Goths et des Scythes, des Getai ou Guti de Tyrkland ou encore Turkestan, et des Saks de Sakland, au sud du Caucase.   Là, dans cette région au sud de la Mer Caspienne se trouvait le berceau des dites races nordiques ainsi que le cimetière de l’ancien Israël. Quand Israël disparut des pages de l’histoire, les Anglo-Saxons et les Goths furent nés.

L’Encyclopédie Britannica dans sa onzième édition, admet: «L’origine de ce titre (Anglo-Saxon) n’est pas tout à fait clair».

Pourtant, l’article, «anglo-saxon» dans la onzième édition continue pour dire: «Il est généralement admis que ça aurait surgi de l’union finale des différents royaumes sous le règne d’Alfred en 886. Bede (Hist. Eccl. i. 15) stipule que les personnes des royaumes les plus septentrionales (Anglia de l’Est, Mercia, umbria du nord, etc.) appartiennent aux Angli, tandis que celles d’Essex, de Sussex et de Wessex provenaient des Saxons ceux de Kent et du sud du Hampshire provenaient des Jutes. » (Encyclopédie Britannica, 11ème édition, vol. 2, p.38).

Le terme «Jutes» provient de «Juda», et se trouve non seulement parmi les peuples préchrétiens dans les îles britanniques, mais aussi dans la «péninsule du Jutland» qui est le nom du «Danmark» sur de nombreuses cartes, même à ce jour.

Au sujet des Saxons, la même source indique: « … un peuple teutonique mentionné pour la première fois par Ptolémée au cœur du 2ème siècle. À cette époque, ils auraient habité le col de la péninsule cimbrique (notez le nom «Khumri», «Gimry», «Gimiri” et «Cimiri» ainsi que «Cimmérien»), par lequel nous devons probablement comprendre la province moderne de Schleswig, avec les trois îles situées au large de sa côte occidentale.» (Ibid., vol. 24, p. 264)

Admettant le lien avec les «Angli», la même source dit: «Il est peu probable que les Saxons qui envahirent la Grande-Bretagne aient été réellement distincts des Angli, car toutes leurs affinités tant dans la langue que dans les coutumes correspondent avec ceux-ci et non pas avec les Saxons (anciens Saxons) du continent.»(ibid. vil. 24, p.265).

LE PAYS DE GALLES ET LES GALLOIS

Tout au long des îles britanniques, les origines philologiques témoignent du fait que les anciens peuples qui commencèrent leurs migrations entre la Mer Noire et la Mer Caspienne c’est-à-dire aux steppes de la Russie méridionale et la région actuellement habitée par les Ukrainiens, les Afghans et les Iraniens, arrivèrent enfin à l’extrême nord-ouest de l’Europe, les Pays scandinaves et les îles britanniques!

Une moitié de la tribu de Dan errait le long de ces mêmes routes avec les autres des dépossédés Israélites, y compris les membres des tribus d’Éphraïm et de Manassé (qui portent le nom «Israël» plus que tous les autres), de Zabulon, Nephtali, Issacar, Ruben, Gad, Benjamin, Siméon, et nombreux de Levi qui étaient dispersés à travers toutes les terres tribales, tout en étant considérés comme «juifs».

N’oubliez pas non plus que les plus de 200.000 Juifs partirent du nord de Juda pour les mêmes terres comme captifs avant la capitulation finale de Juda!

La Philologie est une étude fascinante!   L’origine des mots et des langues peut être très trouble et obscure, prenant des revirements étranges selon les coutumes des peuples.   Alors que la plupart des Américains sont familiers avec «les Apaches Indiens», ils ignorent que ce fut simplement un nom attribué par d’autres tribus indiennes à un groupe guerrier des Indiens dans les régions désertiques du sud-ouest, et le terme «Apache» dans les langues indiennes signifiait simplement «ennemi».

En fait, le mot «Gallois », à partir duquel la zone du Pays de Galles en Angleterre est dérivé, signifiait simplement «étrangers».   C’est un terme teutonique appliqué aux gens de Kymry, qui étaient les derniers restes des «Kimmerioi» dont parlent Homère et des Cimbres (Kymry) du nord de l’Allemagne.

Saville dit: «Ce nom Kymri ou Cymry, comme il est plus communément écrit, est en réalité le pluriel de Kymro, ce qui signifie un Gallois, et le pays de Kymry est appelé Khymru par eux-mêmes ; ce mot est latinisé en Cambria qui est bien connu.

«Dans la langue galloise, la lettre V a deux forces, et ces deux forces sont actifs dans le mot Kymry.   Cette lettre «V» a le son «U», sauf quand il se trouve dans la dernière syllabe du mot; il porte alors le son Italien et français du « i »! Par conséquent, la prononciation correcte du pays de Galles, ou le terre de Cymry, dans son ancienne langue serait aussi proche que possible des noms Kumree, Khumree ou Kumri.»

QUI ETAIENT LES GOTHS?

Quel voyageur à destination d’Europe n’est-il pas familier avec les arcs en ogive, les flèches élancées et les décorations baroques des anciennes cathédrales, des châteaux, des manoirs et des bâtiments publics qui sont supposés être «gothiques»?   Pourtant, l’histoire nous dit que ce terme est un abus de langage qui devint applicable à toute architecture aux « arcs en ogive» plutôt que des arcs plein-cintre, semblables à ceux de l’ancienne Égypte, l’Assyrie, et le Moyen-Orient.

L’histoire rapporte que les Goths étaient un peuple qui serait venu de l’ancienne Suède, répandu dans les régions centrales de l’Europe au nord du Danube et qui vint contre les frontières du nord de Rome. Finalement, ils arrivèrent aussi loin que l’Asie Mineure et la Grèce, conquirent et pillèrent Rome et établirent un des leurs comme roi sur le trône romain.   Il ne fait aucun doute que les peuples appelés «Goths» par d’autres étaient en Suède et dans les régions environnantes ; mais l’affirmation qu’ils en seraient les originaires avant de se propager vers le sud à travers l’Europe jusqu’au nord de la Macédoine est très controversée. L’île de “Gotland” au large du Danemark porte leur nom.   À l’apogée de leur puissance, les Goths régnèrent sur de vastes régions d’Europe ; un de leurs rois s’assit sur le trône de César, et un autre sur le trône d’Espagne, la partie la plus riche de la Gaule à l’époque.

Pourtant, après rien de plus que 250 années de cette époque où les Goths étaient le peuple le plus puissant d’Europe, ils disparurent de l’histoire.   Que leur arriva-t-il? Qui étaient-ils? Une autorité première dit que les Goths étaient

«… un peuple teutonique qui, au 1er siècle de l’ère chrétienne semble avoir habité la partie centrale du bassin de la Vistule … » (Encyclopédie Britannica, 11ème édition, vol. 12, p.272).

Le mot «Teuton» était le mot latin pour «lancier», et s’appliquait à ces peuples barbares et guerriers avec qui ils entrèrent en contact au nord de leurs célèbres «limes» ou lignes de défense, le long de leurs frontières nord, en suivant à peu près les régions alpines d’Europe centrale.   Les historiens vont plus tard appeler «teutonique», tout peuple, indépendamment de leurs distinctions tribales, quand ils étaient originaires de la région occupée à différents moments par des douzaines de différents groupes tribaux, ou simultanément par beaucoup d’entre eux, de l’Europe central et l’Europe du nord-ouest.   Le mot était modifié en «toitch» avec le «t» laissant place à un son «d», soit «Doitch, «Deutsch» et ainsi de suite.   Les anciens «Teutons» avec lesquels les Romains étaient en conflit sont ceux de «Deutschland», ou «terre des teutons» aujourd’hui. L’origine du mot «Néerlandais » est évidemment similaire.

Certains se réfèrent aux Goths comme étant des barbares. Pourtant, ils avaient une langue bien développée, et leur niveau de civilisation était remarquable. Les Goths n’étaient probablement pas des «barbares», sauf dans les descriptions faites par des tiers. La tradition dit qu’ils étaient venus de l’ancienne Scandinavie, et souligne que «Gotland pouvait avoir été nommé par eux.   Il y a dans cela, un élément particulier d’intérêt car le nom, «Goth» a peu d’étymologie. La source précédente parlant de ce nom dit : «… les Gotones, plus tard appelés Goths».

Mais remarquez l’origine du mot anglais «God (Dieu)».   En germanique, le mot est «Gott», et en ancien gothique, ce mot était «Guth» prononcé «Goeth » comme avec un tréma. Les «Goths» vénéraient tellement leurs concepts de «God (Dieu)» ou «Guth») qu’ils étaient devenus païens, plutôt que Chrétiens, et c’est un fait bien prouvé. Mais rappelez-vous qu’Israël sous Jéroboam vénérait des veaux d’or.   Jéroboam, imitant la conduite d’Aaron au mont Sinaï, leur dit: « Ce sont là les dieux, 0 Israël, qui t’ont fait sortir du pays d’Égypte.»   Les «dieux» étaient les veaux d’un bœuf, ou une représentation de l’un des quatre faces d’un chérubin. À l’origine, Satan était l’un des chérubins «protecteurs» du trône de Dieu (Ézéchiel 28:14), et les Israélites vénéraient «l’armée des cieux,» plutôt que le vrai Dieu.

Le Nouveau Dictionnaire anglais puise les origines du mot anglais «God (Dieu)» dans deux racines aryennes de la forme «Gueu», dont l’une signifie «invoquer», et l’autre «verser». À propos de l’origine de ce mot, l’Encyclopédie Britannica dit: «Certains ont également prétendu que le mot peut signifier «une image de fonte» ou «verser». (Ibid., vol. 12, p.169, Article: «Dieu»).

Le mot «Guth», était-il donc une évidence de l’origine des «Goths», ou des peuples qui vénéraient leur concept de «Guth» ou «Gott», concept contenu dans le culte de veau ou de taureau?   La probabilité est impossible à ignorer.   Par exemple, Alexandre le Grand expulsa des peuples appelés les «Gètes» du nord de la Macédoine, sur le Danube (fleuve de Dan) et vers la mer Baltique. Pythéas de Marseille les appelait «Gutones», mais eux-mêmes se dénommaient Guita-thiuda, ce qui signifie, «le peuple de Guths», ou Goths ; en d’autres mots, les peuples qui vénéraient le signe du taureau ou le chérubin et le bœuf qui représente «Taurus» parmi les pays nordiques. Les cornes du taureau sont courantes parmi les peuples de l’Europe du nord-ouest, en particulier chez les Scandinaves et les Vikings.

Les peuples gothiques étaient divisés en plusieurs sous-tribus, pas nécessairement distinctes les unes des autres, mais nommées généralement par leurs voisins ou leurs ennemis. Certains d’entre eux étaient les Gretungi, Teruingi, Austrogothi (Ostrogoths, qui signifie «les Goths de l’Est»), et les Taifali. (Ibid., Vol. 12. p.272) Les Goths étaient salués par toutes les autres races teutoniques, et enregistrés dans leurs annales et traditions. La littérature des Anglo-Saxons (Engle-Saaks, issus des adorateurs de taureau «Saaks» ou fils d’Isaac) prétend que la suprématie des Goths parvint jusqu’à Holstein, une des provinces de l’Allemagne juste en dessous de la péninsule du Jutland et le Danmark.

En recherchant l’origine des Goths dans toute la littérature connue à ce jour, on se retrouve toujours devant la toute première mention reconnue, faite à leur sujet, trouvée dans les mémoires d’un voyageur de la colonie grecque de Marseille.   Son nom était Pythias, et aux environs de l’an 300 avant Jésus-Christ, il écrit concernant un peuple appelé les «Guttones» (le peuple de «Goot» ou «Gute»).

La pièce la plus importante de littérature qui nous soit parvenue de l’anglais la plus ancienne et de la langue germanique est le fameux «Beowulf», conservé dans un seul manuscrit (actuellement présent au Musée Britannique) et écrit vers l’an 1000. Le poème épique est fondé sur les exploits de Beowulf, qui est le fils d’Ecgþeow, et neveu de Hygelac, roi des Geatas (Goths). Sur l’origine étymologique du terme, l’Encyclopédie Britannica dit : « … les Geatas, c’est-à-dire les peuples appelés Gautar dans les registres scandinaves, dont une partie sud de la Suède tient son nom actuel de Gotland.» (Vol. 3, p. 758, Article «Beowulf»).

Le poème épique est un mélange de l’histoire profane et de mythologie, et comprend de nombreux détails de «…l’histoire des maisons royales, non seulement des Gautar (Goths) et des Danois (Dan), mais aussi des Suédois, des Angles, des Ostrogoths (Goths de l’Est), des Frisons et des Heathobeards … ». (ibid. p.759).

Qui étaient alors les Goths? Ils étaient un peuple à plusieurs tribus, qui, pendant une grande période de l’histoire occupaient les terres jusqu’à l’est de la zone située entre la Mer Noire et la Mer Caspienne, la Crimée et le nord de la Grèce ; l’ouest jusqu’en Espagne et la Normandie ; le nord jusqu’en Suède, le Danemark et les rives de la Baltique, ainsi que tout le centre et l’ouest de l’Europe! Ces peuples, avaient-ils disparu tout simplement? Loin de là. Au cours des siècles, leur langue, qui est l’une des langues anciennes qui ont donné lieu à toutes les langues teutoniques, et même à l’anglais, changea peu à peu comme cas du vieil Allemand, du vieil anglais et du gaélique, ainsi que d’autres, qui tombèrent en désuétude

Parlant de l’origine des langues teutoniques, l’Encyclopédie Britannica dit, « …. un terme global pour un certain nombre de langues, dont la plupart sont encore parlées à l’heure actuelle, à savoir l’anglais, le frison, le néerlandais, le Flamand, l’allemand (haut et bas) et les différentes langues scandinaves (le suédois, le danois, l’islandais et les dialectes norvégiens).   Au fil du temps, une très large tendance à obscurcir les affinités entre ces langues s’est développé, et dans plusieurs cas, ils ont été mutuellement inintelligibles pendant de nombreux siècles. Dans leurs premières formes connues, cependant, ils trahissent les traces les plus indubitables d’une origine commune. Aux langues énumérés ci-dessus, nous devons ajouter le gothique, une langue disparue de nos jours qui, dans les 5ème et 6ème siècles était parlée sur une grande partie de l’Europe.» (Ibid., vol. 26, p.673).

Et qui étaient les Teutons? Ils étaient «… une tribu de l’Europe du Nord, connu des Romains en l’an 103 avant Jésus-Christ, lorsque, selon l’Epitome de Tite-Live et en collaboration avec les Ambrones, ils renforcèrent les Cimbres (Gimiri, Gymri, Khumri, Bit-Humri, ou maison d’Omri!) après qu’ils aient été refoulés de l’Espagne par les Celtibères ».   Remarquez le nom «Celt-Iberi» où l’identification des peuples Celtes et «haberi», ou «hébreux» était entremêlée par les Romains…» Leur nom est celtique dans sa forme, et de nombreux écrivains supposent que les Teutons (un nom donné par les Romains, qui signifie «lanciers», et non pas le nom par lequel ils se dénommaient eux-mêmes) étaient bel et bien une tribu celte. Il est possible que leur nom ait été conservé dans celui du district appelé Thyland ou Thythsyssel jusqu’à récemment, district situé à l’extrême nord-ouest du Jutland (Danemark). (Encyclopédie Britannica, vol. 26, p.673).

Il ne fait aucun doute que de nombreux Israélites étaient à un moment appelés «Teutons» par les Romains, comme ils étaient aussi connus par tant d’autres noms. Après tout, il y en avait des millions d’entre eux ; des dizaines de milliers représentant dix différentes tribus ; toutes devaient éventuellement hériter des terres selon les anciennes prophéties de Dieu révélées dans Genèse 49.

Les «peuples de Saak», ou fils d’Isaac étaient connus sous plusieurs noms au cours des siècles et pendant leurs migrations progressives, à partir de leur terre de captivité d’origine, dans les terres désertes du nord de l’Assyrie, la région située entre la Mer Noire et la Mer Caspienne. Remarquez les aveux de diverses autorités concernant l’histoire des «Scythes».

Hérodote, l’historien égyptien, (iv. 142) écrit au sujet du pays dans lequel les «Scythae» étaient seigneurs et en parle comme étant la steppe des Carpates à la rivière Don, une partie de l’Europe le long de laquelle les Israélites migrateurs voyageaient, et une rivière qui porte encore le nom de l’une de leurs tribus, «Dan».

Il y a au moins trois différentes théories quant à l’identité et l’origine des Scythes.   Dans chaque cas, ils sont liés avec les «Cimmériens» ; soit parce qu’ils avaient expulsé les Cimmériens de leurs terres, ou parce qu’ils étaient emportés dans le pays des Cimmériens. Hérodote dit que les Scythes régnèrent sur le pays des Mèdes. Souvenez-vous que c’est dans le pays des Mèdes, le long des grands fleuves, plus de 400 miles au nord-est de Ninive, que les captifs Israélites avaient été emportés.

L’Encyclopédie Britannica dit : «La preuve assyrienne (concernant les Scythes) est dans la principale confirmation d’Hérodote, bien que la plupart des auteurs pensent que les Scythes qui troublaient l’Asie étaient les Sacae de l’est de la mer Caspienne.» (Ibid., vol. 24, P.527).

Les Scythes auraient été entraînés sur la rivière «Araxe» (gr., «Oxus», se référant au «buffle») par un peuple appelé les «Massagetae». Le terme veut tout simplement dire «le peuple de Massa». Rappelez-vous que l’une des plus grandes tribus arrachée d’Israël, possédant une double portion de terre répartis à l’est et à l’ouest par la rivière Jordan, était Manassé! Et qui étaient les «Massagetae»? Hérodote dit qu’ils étaient un peuple antique guerrier demeurant au-delà de la rivière du Buffle. «Probablement le nom «Massagetae» ne dénotait aucune entité ethnique, mais impliquait tous les voisins barbares du nord-est des Perses c’est-à-dire les peuples demeurant entre la mer Noire et la Caspienne.» (Ibid., Vol. 17. P.864, article «Massagetae»).

Curieusement, les peuples connus du nom de «Scythes» par Hérodote avaient une division tribale qu’il appelait les «Scythes royaux», et qui revendiquaient domination sur les autres tribus! Les historiens scindent les Scythes en différentes sous-tribus en fonction de leur mode de vie. L’Encyclopédie Britannica dit: «Hérodote divise expressément les Scythes en groupes d’Agriculteurs, de Callipidae, d’Alazônes, de Aroteres et de Georgi dans la partie occidentale du pays ; à l’est, on trouve les Nomades avec les Scythes royaux. Ces derniers exercent une domination sur tout le reste». Il est ensuite admis que: «la question se pose de savoir si nous avons à faire à des différentes tribus d’une seule race dans différents États de la civilisation, ou à une population mixte appelée «étrangers» par la tribu au pouvoir» (Encyclopédie Britannica, vol. 24, P.526, c’est l’auteur qui souligne).

Le fait est que les historiens ont toujours pensé que les personnes habitant une grande partie de l’Europe et dont ils relatèrent les vies plus tard, venaient des régions «Indo Aryennes» de l’ancienne Perse, la région de l’ancienne Assyrie et de Babylone! Peu importe les nombreux noms qui leur sont attribués par les Grecs, les Egyptiens, les Romains et les autres, ce sont là les peuples d’Assyrie, ensemble avec les peuples des dix tribus d’Israël, dont l’identité s’était peu à peu perdu, confuse dans l’histoire ; peuples dont la langue a subi les mêmes changements graduels que les langues de tous les autres peuples au cours du temps ; peuples nommés par leurs ennemis, leurs voisins ou par les historiens des autres nations ; peuples qui vénéraient le buffle et dont les noms portaient des indices qui les reliaient aux «Bit-Khumri» ou maison d’Omri, comme les appelaient leurs ravisseurs. Ils portaient des noms tels «Dan» qui est l’un de leurs ancêtres, «Isaac» (Saka, Sacae, Saki, Saaks, Saxons, Saxones), et d’autres noms (tels que «Sarmates», une modification de «Samaritains»).

Haberman écrit: «Les inscriptions en hébreu-phéniciens découvertes en Crimée et les environs indiquent que les Saki qui avaient laissé ces inscriptions là-bas, contrairement à la mythologie des Goths qui montre qu’ils étaient païens, n’étaient pas un peuple païen et étaient bien conscients de leur ascendance israélite. L’énigme ainsi présentée ne peut être expliquée que par le fait que la plupart des sagas gothiques étaient centrés autour d’Odin, qui fut déifié des années plus tard certes, mais était néanmoins un homme et un chef des Ases, Asen, Asa, ou hommes d’Asie, dont la capitale était à Asgard dans Asaheim, là où son château de Valhalla était situé.» (À la recherche de nos ancêtres blancs, Haberman, p.133).

Haberman propose que le terme «Asie», qui est finalement devenu attaché à l’ensemble de la masse continentale de l’Oural aux îles japonaises, tire ses origines chez des Israélites adorateurs de taureau qui habitaient anciennement, le long de la Mer Noire et la Mer Capsienne. Il souligne que la première lettre de l’alphabet phénicienne (hébraïque à l’origine) est Aleph, représenté par le symbole d’un taureau. Les peuples d’Odin (Odin, qui plus tard fut vénéré dans la mythologie nordique) étaient appelés les «puissants Asa», les «principaux Asa» ou les «premiers Asa». Les runes gothiques contiennent la lettre «A», qui était prononcée «Asa» ou «Ace». Il est probable que ce soit la raison pour laquelle notre jeu de cartes moderne contient une carte appelée «Ace», qui est la principale ou la première carte, tout Comme l’hébreu «Egle» ou «Engle» (buffle) est liée au symbole d’«Aleph» (qui était un taureau) ; Haberman voit un lien avec les pratiques païennes des anciens Israélites des dix tribus qui vénéraient le signe de «Taurus», ou taureau.   Il écrit: «Il n’est donc pas surprenant que les peuples d’Odin, les Asa ou Angles, devraient, dans leur patrie l’Ariana, l’Asaland et aussi l’Allemagne du nord, porter les cornes d’un taureau comme coiffure, les casques d’airain ayant les oreilles et les cornes d’un buffle ou encore les cornes du buffle, comme indiqué sur les photos d’Odin et ses peuples Asa ou Angli.» (Ibid. p.135)

QUI SONT LES ALLEMANDS?

Qui sont les Allemands? Peut-on trouver les peuples allemands modernes dans les pages de la Bible?

L’identité des peuples germaniques doit, par nécessité, faire face à une question de race, pas seulement de nationalité.

Beaucoup de nations sont composées de deux races ou plus ; ils ne comprennent nécessairement pas une seule race de peuples.

Les principales races en Yougoslavie, par exemple, sont les Serbes et les Croates ; en Belgique, les Flamands et Wallons ; en Suisse, ceux d’origine germanique, française et italienne ; et en Allemagne, les Thuringe, les Hessois, les Souabes, les Bavarois, les Autrichiens, et beaucoup d’autres.

En vue d’identifier les peuples modernes, nous devons d’abord établir les noms sous lesquels ils étaient connus par les anciens historiens, et même plus anciens c’est-à-dire les noms attribués à ces mêmes peuples dans les histoires et prophéties bibliques.

Une connaissance passagère de quelques langues étrangères serait utile.   Par exemple, il n’y a pas de mot en langue latine (espagnol, français, italien, etc.) pour «Allemagne » ou « Allemand». Pour les Espagnols, l’Allemagne c’est «allemand» et allemand c’est «Aleman».   En fait, le mot «allemand» était un nom appliqué aux tribus guerrières qui migraient de la région entre la mer Noire et la mer Caspienne, vers l’Europe centrale et voulait dire «guerriers» ou «hommes de guerre». Parmi les autres noms de tribus importants appliquées aux peuples germaniques par les Romains étaient, «Hatti», «Alemani» (Halmanni) et «Saubi», «Casuari», «Quades» etc. (Voir Encyclopédie Britannica, 11ème Édition, article «Allemagne».)

Des revendications surprenantes sont faites dans les anciennes histoires allemandes. La ville la plus ancienne d’Allemagne est Trèves, dont il est dit qu’elle fut fondée plus de vingt siècles avant Jésus-Christ. Dans un manuel allemand, «Indeutschen Landen», l’auteur Josef KL Bihl dit: «Les habitants de Trèves soutiennent l’idée selon laquelle leur ville est la plus ancienne dans toute l’Europe». Il dit: «Trèves fut fondée par Trebeta, un fils du célèbre Roi Assyrien Ninus.   Ninus correspondait à Nimrod, le fondateur de NINIVE, une ancienne capitale d’Assyrie.   En fait, on retrouve même une inscription à Trèves disant: «Trèves existait mille trois cent années avant que Rome ne fut rebattit». Est-ce surprenant?

Mais pourquoi donc? Rappelez-vous que les traces de l’humanité mènent loin du Moyen-Orient! La pelle de l’archéologue confirme toujours et corrobore les histoires et les archives bibliques sans jamais les réfuter!

Chaque grande nation moderne représente des groupes tribaux parfois multiraciaux qui sont des descendants des trois fils de Noé: Sem, Cham et Japhet.

Le «tableau des nations» se trouve dans le dixième chapitre de la Genèse.   Là, vous pourrez lire l’histoire des enfants de chacun des trois fils de Noé ; vous lisez essentiellement les noms tribaux qui dans de nombreux cas restent encore indélébiles et sont un sceau sur les peuples modernes!

Vous remarquerez que l’un des fils de Cham était Cush (Genèse 10: 6).   Maintenant, lisez le verset 8: «Cush engendra aussi Nimrod ; c’est lui qui commença à être puissant sur la terre. Il fut un vaillant chasseur devant l’Éternel [au lieu de] ; c’est pourquoi l’on dit : Comme Nimrod, vaillant chasseur devant l’Éternel. Il régna d’abord sur Babel, Erec, Accad, et Calné, au pays de Schinear.» (Le pays de «Schinear» est différent de la terre occupée par l’ancienne Assyrie entre la Mer Noire et la Mer Caspienne!).

Le verset suivant est un peu déroutant dans la version anglaise King James, mais le commentaire en bas de page dans la version King James d’Oxford le clarifie, comme dans d’autres traductions. Ça devrait plutôt se lire: «de ce pays-là [Ninus ou Nemrod!] ; sortit Assur [Assyrie] ; il bâtit Ninive, Rehoboth-Hir, et Calach, …» (Genèse 10: 6-11).

Nimrod, connu dans l’histoire comme «le roi Ninus» était le fondateur tant de Babylone que de Ninive! Il est important que les historiens allemands revendiquent que leur ville la plus ancienne (datant d’avant l’époque romaine!) était fondée par le fils du Roi Assyrien «Ninus»

Les anciens Assyriens avaient certaines caractéristiques raciales exceptionnelles. Tout d’abord, ils se croyaient une «race supérieure», et croyaient qu’il n’y avait rien de plus glorieux que la conquête par la guerre. Les rois et héros assyriens étaient invariablement présentés dans des chars de guerre, des chevaux, avec les ennemis sur lesquels ils avaient remporté la victoire être foulés aux pieds. Les rois étaient présentés comme accomplissant des exploits telle la subjugation des armées entières ou des individus tuant des lions et autres bêtes.

Les Assyriens étaient les premiers constructeurs de grandes routes pavées, non seulement à des fins commerciales, mais aussi avec le but spécifique et ayant à l’esprit le soutien logistique des armées! Un réseau de routes pavées conduisait vers de diverses routes externes à partir de l’ancienne capitale assyrienne, Ninive!

Les Assyriens avaient de la révérence pour les femmes, et seraient les premiers à utiliser le fer dans la fabrication de leurs chars (véhicules de guerre mécanisés).

L’historien romain Pline prétendait que les «Assyriani» (Assyriens) habitaient la région au nord de la mer Noire (Histoire naturelle, IV, paragraphe 12, p.183).

Les historiens allemands s’accordent dans leur description d’un peuple belliqueux et hostile habitant l’Europe centrale qui se confronta à l’Empire romain en pleine expansion, entraînant ainsi les Romains à construire leurs fameuses «limes» (positions défensives et murs) et des légions de stations le long de leurs frontières nord pour arrêter l’avancée des hordes guerrières.

Les histoires de l’Allemagne sont immanquablement unanimes dans leur description de ces tribus.

Gardez à l’esprit que l’un des noms les plus importants des dix tribus nomades perdues d’Israël était bit-Khumri (qui provient de «Beth-Omri» et qui signifie «la maison d’Omri») ou autres dérivés de ce nom, telles «Humri», «Gymri», «Cimmiri», «Gymbri» et «Cimbri».

Un autre élément que vous devez s’il vous plait prendre en considération c’est que, ces diverses descriptions sont faites dans la langue Anglaise, qui tire ses racines des langues d’Europe centrale de ces mêmes peuples, y compris les Francs, les Celtes, les Angles, Saxons, et autres.   En fait, «le haut et bas allemand», le néerlandais, le vieil anglais et l’anglais moderne découlent tous de la même origine qui est basée sur les langues indoeuropéens des tribus mentionnées ci-dessus.

Gardez aussi à l’esprit que nous avons tendance à identifier les différents groupes raciaux et tribaux par les noms qui leur étaient attribués par les civilisations anciennes les plus lettrées avec qui ils entraient en contact.

Ainsi, c’est à l’historien romain Tacite, ainsi qu’aux autres, que nous sommes redevables pour la description de certaines de ces tribus errantes.

Il est évident que les Assyriens dépossédés, enlevés de leurs terres situées entre la Mer Noire et la Mer Caspienne par les armées envahissantes de l’empire babylonien en pleine expansion, s’étaient librement entremêlés au cours de leurs errances et expansions successives vers le nord-ouest, avec les centaines de milliers de leurs propres anciens esclaves.

Ainsi, il n’est pas étonnant que les Romains aient parlé de tribus envahissantes de l’Europe centrale comme étant deux groupes distincts de peuples, à savoir les «Cimbres» et les «Teutons».

Sabine Baring-Gould, dans son livre «Allemagne» (page 1) dit: «Ces envahisseurs s’appelaient les Cimbres et les Teutons».

Plus tard, parlant des peuples suisses modernes, Sabine Baring-Gould explique, concernant le caractère bilingue et biraciale de la Suisse: «Ce caractère est dû au fait que deux races distinctes cohabitent maintenant en Suisse comme c’était le cas cent treize années avant Jésus-Christ.   Les francophones représentent les Cimbres et les germanophones représentent les Teutons» (Ibid., P.2). Curieusement, même les noms «Allemagne» et « allemands» dérivent d’un nom attaché à ces tribus guerrières donné par les Romains. Baring Gould-dit: «Les allemands étaient ainsi appelés à cause des lances qu’ils portaient et le nom signifie «lanciers» (C’est l’auteur qui souligne).   Les Romains aux oreilles peu habituées essayaient de traduire les noms de ces peuples «germaniques» acharnés, dans leur propre langue, le rendant ainsi «Deutschen» comme «Teutons».

En fait, le «t» dans leur langue peut être prononcée de façon très similaire au «d» anglais.

L’Encyclopédie Americana, dans l’article, «Allemagne » dit: «En l’an 113 avant Jésus-Christ, quand les premières tribus germaniques, les Cimbres et les Teutons, tentèrent de pénétrer l’Empire romain, la frontière germanique devint un problème majeur pour le maintien de la sécurité dans le monde romain.»   Il est tout à fait logique que le Assyriens déplacés, chassés de leurs vastes plaines entre la Mer Noire et la Mer Caspienne se seraient trouvés errant le long d’importantes vallées fluviales, ainsi que les restes des «dix tribus perdues» d’Israël.  

Mais pendant toutes leurs errances et tendance à s’installer dans des zones où ils étaient soit adjacents ou entremêlés les uns avec les autres, au fil des décennies et des siècles, les différences linguistiques, culturelles, religieuses, sociales, raciales et philosophiques de ces peuples tendaient à les amener à s’installer séparément selon leurs vieilles habitudes tribales d’origine, et à éviter celles d’autres souches raciales.

Ces peuples mixtes, migrant sans cesse vers l’ouest, les États Americana, «… les tribus germaniques … à l’exception des tribus scandinaves, s’installèrent depuis un certain temps dans les terres situées entre le Rhin et la Vistule, mais plus tard se déplacèrent en direction de l’ouest ou du sud. Les Anglo-Saxons (fils de «Saac» ou «fils d’Isaac») allèrent en Angleterre ; les Goths et les Vandales aux pays méditerranéens ; les Lombards au nord de l’Italie ; les Bourguignons, dans la région de Rhône ; les Francs en Gaule (France).» (Encyclopédie Americana, article, «Allemagne»).

L’une des principales distinctions entre ces errants Assyriens, appelés «Teutons» par les Romains était leur caractère guerrier. En 98 après JC., rien que 67 ans après la mort, l’ensevelissement et la résurrection du Christ, Publius Cornelius Tacite publia son article «Germania», signalant qu’ils étaient un «peuple belliqueux» et affirmant que «la guerre était leur principale industrie». Dans la bataille, dit-il, «survivre à la mort de son chef et retourner vivant d’un champ de bataille était considéré comme une honte. La plus haute loyauté, d’autre part, était d’avoir défendu, protégé et soutenu le chef, et attribué ses propres actes de bravoure à celui-ci, de façon à canaliser les aspirations et les buts tribaux dans la volonté d’un seul homme, à savoir le chef.   Même si l’une des tribus s’enfonça dans une paix prolongée», Tacite dit: «ses jeunes hommes sollicitaient de servir sous un autre chef qui était engagé dans la guerre.» (C’est l’auteur qui souligne).

Tacite mentionne également la musique martiale parmi les tribus germaniques, racontant comment «les chants de guerriers bruyants» étaient utilisés avant et après les batailles.

L’Encyclopédie Americana dit: «Il est raisonnable de supposer que la plupart des chants tribaux allemands étaient chantés par les prêtres païens, et qu’ils étaient principalement des chants conçus pour enflammer les esprits martiaux des guerriers.»

Nous savons que les Assyriens étaient de grands bâtisseurs. Leurs villes magnifiquement fortifiées, leurs palais et monuments, et leur grande statuaire sont parmi les plus beaux de l’antiquité.   Ils étaient des super- guerriers ; ils utilisaient les techniques les plus avancées de l’ingénierie et de la technologie de leur époque tant dans leur industrie domestique que dans les batailles. Tout cela est également documenté.

À partir de telles réalisations monumentales dans le bâtiment, Rawlinson vint à conclure que «… les Assyriens avaient fait des progrès considérables dans la connaissance mécanique et connaissaient bien la plupart des artifices où les poids lourds (sous forme de colonnes massives, blocs de construction et pierres mis en place à l’aide des poulies, etc.) étaient souvent déplacés et élevés parmi les nations civilisées de l’Europe. (Ils possédaient) … des compétences dans les procédés mécaniques pour façonner la poterie et le verre, marteler et mouler les métaux et couper les intailles sur des pierres dures … les secrets de la métallurgie, de la teinture, d’émaillage, d’incrustation, de soufflage du verre, ainsi que la plupart des procédés de fabrication ordinaires, étaient connus d’eux.» (Les sept grandes monarchies de l’Ancien Monde oriental, chap. VI, p.240, 241, Rawlinson).

Le même auteur affirme que les Assyriens suivaient «… la pratique d’emprunt des services d’ouvriers qualifiés des états conquis …» (Ibid. chap. IX, p.507).

La conclusion selon laquelle les Allemands modernes sont, en grande partie, les descendants des anciens Assyriens n’est pas un acte d’accusation hystérique. Cela ne veut pas dire que le peuple allemand d’aujourd’hui «se glorifie dans la guerre» ou qu’ils attendent calmement les élucubrations d’un autre Hitler défilant comme un lemming, pour tremper l’Europe dans un bain de sang, un autre horrible holocauste.

La parole de Dieu dit au sujet d’Assyrie : «Mais, il n’en juge pas ainsi, et ce n’est pas là la pensée de son cœur …» concernant les plans conscients de conquête. Cependant, dans la même prophétie «… il ne songe qu’à détruire, qu’à exterminer les nations en foule.» (Esaïe 10: 7)

L’allemand de nos jours ne peut songer un seul instant, qu’une Allemagne réunifiée, à la tête de la future États-Unis d’Europe, pourrait conquérir les États-Unis d’Amérique. Mais, comme le comprennent bon nombre d’allemands, la situation mondiale actuelle n’est pas le dernier chapitre, que ce soit dans l’histoire européenne ou dans l’histoire américaine. L’avenir sera aussi bientôt là.

Une fois que vous connaissez l’identité des nations modernes dans le langage biblique, il est relativement simple de comprendre ce que la prophétie biblique dit ce sur ce qui leur arrivera dans le futur.

LA FIERTE DE L’AMERIQUE, A-T-ELLE ETE BRISEE?

Dieu dit que les gens vont connaitre un affaiblissement terrible de la VOLONTE, de la FIERTE de notre puissance! Remarquez : «Je tournerai ma face contre vous, et vous serez battus devant vos ennemis ; ceux qui vous haïssent domineront sur vous, et vous fuirez sans que l’on vous poursuive. Si, malgré cela, vous ne m’écoutez point, je vous châtierai sept fois plus pour vos péchés. Je briserai l’orgueil de votre force, …» (Lévitique 26: 17-19).

Cette prophétie a déjà commencé à s’accomplir!

Nous ne savons pas pourquoi nous sommes affaiblis. L’Amérique n’a pas une grande cause. Il n’y a pas de grand objectif que nous visons tous ensemble. Il n’y a pas de grand lien fédérateur unique, aucun dévouement spirituel commun, aucun but profond transcendantal pour lequel nous luttons.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, nous avions l’objectif de mettre fin, une fois pour toutes, à des dictatures oppressives et aux tentatives faites par des fous de gouverner le monde. Notre objectif était non seulement de «garantir la démocratie au monde», mais aussi de combattre une guerre en vue de «mettre fin à toutes les guerres».

Nous avons gagné la guerre, mais nous avons perdu la paix.

Il y avait des étapes progressives à travers lesquelles la fierté de l’Amérique fut brisée!

La guerre froide, le mur de Berlin, la course aux armements, la Corée, les pouvoirs de Gary et l’incident U2, le Pueblo, le Vietnam, le Watergate, la crise iranienne des otages, le Nicaragua et les audiences “Contra”, tous y participèrent.

Après le retour des otages de l’Iran, l’attention nationale se concentra par le biais des médias, sur le l’amertume de dizaines de milliers de vétérans du Vietnam. Leur triste retour de la guerre la plus impopulaire de l’histoire à un public indifférent laissa des blessures de l’esprit peut-être aussi mauvaises que celles de la chair des patients dans les Hôpitaux s’occupant des vétérans du Vietnam (en anglais «Veterans Administration» ou V.A.

Les vétérans du Vietnam décorés de médailles d’héroïsme, obligés de passer leur vie dans un fauteuil roulant comme des paraplégiques impuissants, ne prennent pas leurs médailles à la légère car ils représentent comme un dernier acte de défi contre les politiques du gouvernement qu’ils ne pourrait jamais comprendre.

Où était notre patriotisme? Est-il mort?   Est-ce mort peu à peu? Le patriotisme est, après tout, un profond amour jaloux et fier du pays de ses pères, une appréciation reconnaissante pour les libertés acquises à si grand prix par des dizaines de milliers de personnes qui payèrent le plus horrible des prix. Le patriotisme est l’amour du pays. Mais, à l’image de l’amour dans une famille unie, un américain totalement patriote est parfois très en colère contre les tendances au sein de son pays. Les parents qui aiment tendrement leurs enfants, se fâchent quand l’enfant prend une décision qui le nuirait.

Le patriotisme ne saurait être un brandissement de drapeau à l’aveuglette, un refus comme un drapeau enveloppé pour ainsi dire, d’admettre les difficultés familiales, une détermination à demeurer résolument ignorants des maladies profondes dont souffre la famille.

La plupart des américains ont oublié comment se sacrifier.

Nous sommes malades Et notre plus grande maladie est notre refus obstiné de reconnaître notre propre pauvreté morale et spirituelle.   Diagnostiquer nos nombreuses maladies c’est inviter les ricanements d’un nombre croissant de super-patriotes dont les fonds de commerce dont l’attitude est celles des grandes entreprises, de chambre de commerce ; et disant: «parlons de ce qui est juste pour l’Amérique».

D’accord. Faisons-le ainsi. Nous sommes la plus grande puissance que le monde ait jamais connue. Nous nous sommes élevés à des hauteurs vertigineuses de développement technologique et de réalisations scientifiques. Les empreintes américaines parsèment la lune. Notre langue, notre culture, nos produits ont ceinturé le monde. Nous avons été bénis avec la portion de terre la plus fabuleusement riche sur terre. Notre niveau de vie a atteint des sommets d’opulence inimaginables dans la science-fiction d’antan.

Mais d’où tenons-nous notre richesse?

Laissons Abraham Lincoln répondre:

«Nous avons été les bénéficiaires des meilleurs bontés du ciel. Nous avons été préservés, toutes ces nombreuses années, dans la paix et la prospérité.   Nous avons connu une croissance numérique, une richesse et une puissance qu’aucune autre nation n’ait jamais connues ; mais nous avons oublié Dieu. Nous avons oublié la gracieuse main qui nous a maintenus dans la paix, nous a multipliés, nous a enrichis et nous a fortifiés ; et nous avons vainement imaginé, dans la fausseté de nos cœurs, que toutes ces bénédictions sont le résultat d’une certaine sagesse supérieure et une vertu qui nous est propres … » (Proclamation présidentielle, Avril 1863).

Ces mots sont encore plus vrais aujourd’hui que jamais!

Ce célèbre président a reconnu que notre richesse fantastique nous a été donnée directement par Dieu le Créateur. Tout cela grâce à l’obéissance d’Abraham!

Les fabuleuses terres de nos peuples, nos ressources minérales, nos étendus de bois, nos pâturages luxuriants et nos terres agricoles, nos côtes, nos portes stratégiques de mer et notre climat favorable ; tout nous a été donnés par le Dieu que nous, dans cette génération avons oublié.

Pour comprendre ce qui nous arrive, vous avez besoin de regarder en arrière aussi loin que 1950, et la Corée. Nous avions perdu la bataille en Corée.   Depuis lors, nous avons vécu par rapport à l’incident de Gary Powers, la Baie des Cochons, la Révolution hongroise, la Pueblo, les nombreuses années du mur de Berlin et une décennie d’horreur à l’étranger ainsi que de protestation frénétique chez nous sur la futilité de la guerre au Vietnam, et les otages en Iran.

Nous avons vécu huit années d’impudeur totale, d’hypocrisie flagrante et de dégradation morale au plus haut niveau dans le pays.

Comme l’avait dit Abraham Lincoln, nous avons oublié le Dieu qui nous a donné nos libertés! Nous avons renoncé au Créateur qui nous a bénis et nous a enrichis au-dessus de tous les peuples qui aient déjà foulé la surface de la terre.

Nos laïcs se sont plongés dans le matérialisme avec des désires égocentristes et nos chrétiens leur ont donné toute leur bénédiction, appelant la violation des dix commandements de Dieu, une «nouvelle morale».

Et que nous dit Dieu: «Si, malgré cela, vous ne m’écoutez point, je vous châtierai sept fois plus péchés.

JE BRISERAI L’ORGUEIL DE VOTRE FORCE».

Il est Brisse. Nous n’observons pas les dix commandements. Pouvez-vous consciemment nier le lien? »

Je rendrai votre ciel comme du fer, et votre terre comme de l’airain. Votre force s’épuisera inutilement, …» (Lévitique 26: 18-20).

Nous avons consommé notre force ; oh, comme nous l’avons consommé!   Nous avons perdu notre énergie, notre grande richesse, nos jeunes hommes les plus forts, nous avons fait des dépenses énormes et prodigieuses ;

Et tout cela, en vain.

Nous avons consommé nos maisons et nos familles, nos fermes et leurs produits ainsi que nos usines et leurs productions. Nous y avons consommé notre temps et notre préoccupation. Nous avons tant dépensés, en vain!

En vain.

Quelque chose de terrible est arrivée en Amérique. La clé de voûte d’un peuple sain et viable a été détruite. Certains dirigeants ont cependant reconnu ce qui fait la grandeur de l’Amérique.

PROSPERITE ET DEGRADATION

Le président Eisenhower dit, dans son discours à la nation, prononcé le 7 janvier 1960: «L’Amérique ne doit pas sa grandeur à la douceur et à l’auto-indulgence, à son progrès miraculeux et son flux d’accomplissements d’autres qualités sont de loin plus dignes et substantielles, à son adhérence aux principes et méthodes consonnant avec notre philosophie religieuse ; la satisfaction dans le dur labeur ; la disposition à faire des sacrifices qui en valent la peine, au courage de relever tous les défis de son progrès: l’honnêteté intellectuelle et la capacité de reconnaître le vrai chemin de son propre intérêt».

Ce fut à peine quelques jours avant ce discours remarquable, qui semble rétrospectivement prophétique, que le défunt économiste, Roger Babson, déclara: «L’épreuve d’une nation est la croissance de sa population, tant physique, intellectuelle que spirituelle. L’argent et la soi-disant «prospérité» importent peu …»

La Babylone, la Perse, la Grèce, Rome, l’Espagne et la France avaient tous leur tour d’être les plus riches du monde.   Au lieu de les sauver, leur soi-disant prospérité les ruina.

«Notre nation est maintenant classé comme la plus riche, mais elle pourrait facilement devenir une nation de seconde classe et chuter: L’argent ne nous sauvera pas.   Les cultures agricoles ne nous sauveront pas. La bourse des valeurs et les banques ne nous sauveront pas. Déjà notre or au Fort Knox est en diminution. Seul un réveil spirituel sain, capable de changer les désirs de notre peuple nous sauvera. Nous devons être animés d’un désir de rendre service, de chercher la force plutôt que la sécurité, de prioriser le caractère plutôt que les profits. Même la démocratie pour laquelle nos pères combattirent et saignèrent pourrait entraîner notre chute ».

Deux semaines avant ces déclarations prophétiques, un autre américain, le célèbre historien George Kenyan déclara devant un auditoire de Washington: «Si vous me demandez en tant qu’historien, si un pays dans l’état que ce pays se trouve aujourd’hui (sans aucun sens d’objectif national très développé, avec un accent écrasant sur une vie de confort et d’amusement, une pénurie de services publics et une surabondance des gadgets vendus en privé, un système de transport chaotique … avec une insuffisante de discipline sociale ne serait-ce que pour garder ses grandes industries en fonction sans interruptions graves), a de bonnes chances, à long terme, de concurrencer une société résolues, sérieuse et disciplinée comme celle de l’Union soviétique, je dois dire que la réponse est «non».

Ces paroles, ayant été prononcées au début des années 1960, celles-ci semblent prophétiques à présent.

LA MORALE ET LE DECLIN SPIRITUEL DE LA GRANDE-BRETAGNE ET L’AMERIQUE

Dès le début des années 1960, la Grande-Bretagne et l’Amérique commencèrent une descente en luge dans une dégradation spirituelle et morale. Nos «cultures» commencèrent à s’emporter de plus en plus à la dérive de l’hédonisme, du matérialisme et même du nihilisme. Nous avons abandonné ces sentiments patriotiques profonds des années de guerre, et adopté le concept de l’auto satisfaction.

Chaque facette de nos sociétés reflète notre déclin moral et spirituel.

Pensez à ‘incroyable différence entre les décennies des années 30, 40 et 50 d’avec celles des années 60 au tournant du siècle. À l’époque, le film «Gone With The Wind» (Autant en emporte le vent «était interdit à Boston en raison de l’utilisation infâme et audacieuse de Clark Gable du terme d’argot «putain».   Aujourd’hui, des millions de personnes affluent vers les cinémas pour entendre les «stars du rap» sortir des obscénités hideuses et des blasphèmes de leur bouche qui ressemble à un égout à ciel ouvert. Ils sont mouchetés d’outrages, dansent en tournoyant les hanches, ont l’air hagard et poussent des cris lacées d’appel de tuer les flics, ou de violer sa propre mère.

De tels «stars» (une appellation incroyable de crachats et de vomissures) perçoivent des sommes énormes, et gagnent l’adulation des millions de «fanatiques» pendant qu’ils reçoivent les meilleurs «prix» d’Hollywood.

Tout commença avec le groupe musical «The Beatles» et Elvis, qui, tout en étant un scandale pour la génération la plus âgée à son époque, semble rétrospectivement bénigne.

Une brève enquête sur le changement spectaculaire des grands groupes musicaux, du «swing» au «rock and roll» et «heavy metal », suffit pour convaincre quiconque d’une plongée dans les sons démoniaques et les sons de la mort.

La télévision, ce monstre borgne du sexe, du sadisme, de la violence et des «séries télévisées» insensées contribua massivement à la descente en luge morale et spirituelle. La Grande-Bretagne mena dans la précipitation, l’ébranlement des barrières morales, permettant la pleine nudité frontale à la télévision dans les années 1960 Et l’Amérique s’en associa consciencieusement. Finalement, les magnats du cinéma étaient convaincus de la nécessité d’une «connotation», une mise en garde pour le flot incessant de crasse qu’ils véhiculaient. Parmi ces connotations, on trouve «G», «PG» et «R», tandis que «X» resta dans les salles de cinéma louches et les drive-in des communautés en pleine désintégration depuis que les proxénètes, les prostituées, les trafiquants de drogue et les homosexuels en prirent la charge.

Aujourd’hui, les signes de sexualité X et XXX se sont installé dans les salons américains et britanniques.

À présent, le spectacle le plus hideux de l’activité sexuelle pervertie, de la sodomie au sadomasochisme sont apparents dans de milliers de salons et sont mis à la disposition des enfants âgés de 10 et 12 ans, sur l’ordinateur familial. Il n’y a pas d’autres restrictions. L’hédonisme règne.

Que vous examiniez les couvertures de divers articles grotesques de scandale disponibles à la sortie de tous les supermarchés, ou les couvertures des dizaines de magazines dans le bac à journaux, vous ne verrez presque rien d’autre que le sexe, le sexe, et encore plus de sexe ; qui est en instance de divorce, qui est en train de porter l’enfant illégitime de qui, qui «vient de sortir de sa cachette» et s’est publiquement prononcé «homosexuel» ou quel est le dernier cas d’assassinat, de violence domestique, de toxicomanie, ou de pédérastie. Tout cela est, bien sûr écrit au sujet des «stars» qui sont adorés sur les écrans d’ordinateur et à la télévision.

Dieu dit: « Ainsi parle l’Éternel des armées, le Dieu d’Israël: Reformez vos voies et vos œuvres, et je vous laisserai demeurer dans ce lieu».

Ne vous livrez pas à des espérances trompeuses, en disant: c’est ici le temple de l’Éternel, le temple de l’Éternel, le temple de l’Éternel! [En disant: «Nous sommes le peuple de Dieu, ce qui est le pays de Dieu.»]

«Si vous réformez vos voies et vos œuvres, si vous pratiquez la justice envers les uns et les autres,

«Si vous n’opprimez pas l’étranger, l’orphelin et la veuve, si vous ne répandez pas en ce lieu le sang innocent, et si vous n’allez pas après d’autres dieux, pour votre malheur,

Alors je vous laisserai demeurer dans ce lieu, dans le pays que j`ai donné à vos pères, d’éternité en éternité.

Mais voici, vous vous livrez a des espérances trompeuses, qui ne servent à rien [témoins de nombreuses décisions de la Cour suprême sur tout: l’avortement, la prière de l’école, la pornographie].

«Quoi! Dérober, tuer, commettre des adultères, jurer faussement, offrir de l’encens à Baal, aller après d’autres dieux que vous ne connaissez pas !…

«Puis vous venez vous présenter devant moi, dans cette maison sur laquelle mon nom est invoqué, et vous dites : nous sommes délivrés !… et c’est afin de commettre toutes ces abominations!» (Jérémie 7: 3-10).

Aujourd’hui, on trouve des églises de «gays» (lisez l’article «les sodomites et les lesbiennes perverses») en Amérique! Plusieurs des plus anciennes dénominations officielles et guindées ont autorisé l’ordination de pasteurs et de prêtres homosexuels déclarés. Non seulement cela, mais aussi les hommes «gays» déclarés sont au dôme des plus hauts postes dans le pays. Lisez Genèse 19 pour connaitre l’attitude de Dieu face à l’homosexualité. Dieu produisit un feu de Géhenne en miniature pour consommer Sodome et Gomorrhe comme un témoignage perpétuel contre «les efféminés de l’humanité» (Romains 1: 24-27). Or, même des Institutions américaines telles que les scouts, les enseignants traditionnels aux principes moraux solides, sont assaillis par des mouvements juridiques, forçant les jeunes garçons américains d’aller en expéditions de camping avec les homosexuels!

La jeunesse de notre pays se voit refuser l’innocence juvénile. Ils sont au contraire plongés dans le cloaque de décantation pornographique, de moisissure, de déchets et de vomissure forcés sur eux par les organes judiciaires et législatifs du gouvernement même, pour ne pas mentionner les exemples incroyables établis dans les années 90 par le pouvoir exécutif.

Pendant des décennies, les apologistes, les gauchistes, tous ont prétendu qu’il n’y avait aucun lien entre la violence non-stop et la promiscuité sexuelle vues dans les films, à la télévision et maintenant, dans les jeux vidéo et les crimes violents.

Même quand on sait que les jeux vidéo de ces dernières décennies, comme «Donjons et Dragons» et bien d’autres qui sont (si possible) encore plus sataniques, ont été constamment joués et pratiqués par de jeunes garçons qui ensuite ont attaqué leurs propres écoles, assassinant leurs propres camarades de classe sans défense, les apologistes de l’austérité, battant leur coulpe, rechignent qu’il n’y a pas de lien.

Ils sont friands de souligner que «beaucoup d’autres enfants jouent aux mêmes jeux sans pour autant devenir violent». Ainsi donc, il n’y a pas de restrictions. Les jeux vidéo modernes en 3D apparaissent REEL aux jeunes gens qui les jouent. Ils voient les balles s’éclabousser dans la chair humaine simulée, les bras et les jambes volant dans des explosions, les corps tordus et l’écoulement de sang.

Ensuite, les parents désemparés lèvent les mains avec une innocence feinte et disent: «Je ne comprends pas.   Je lui ai donné tout ce qu’il voulait! Il a toujours été un BON garçon! » Oui, ils lui ont donné tout ce qu’il voulait, mais ils ne lui ont pas donné la discipline, pas plus qu’ils ne lui ont enseigné à différencier le bien du mal!

Pensez un instant à la criminalité et aux suicides juvéniles ; à l’alcoolisme et à la toxicomanie juvénile ; toute la charge de vomissures, d’ordures jonchées de saleté qui est versées dans la pensée des enfants ; et pensez ensuite au mouvement féministe, aux «femmes prédicateurs», aux femmes dans le gouvernement, et au nombre incroyable de femmes électrices. Pensez-y pendant que vous lisez ce que Dieu votre Créateur dit au travers d’Esaïe sur nos sociétés aujourd’hui, tant en Grande-Bretagne qu’en Amérique: «Mon peuple a pour oppresseurs, des enfants, et des femmes dominent sur lui ; mon peuple, eux qui te conduisent t’égarent, et ils corrompent la voie dans laquelle tu marches.» (Esaïe 3:12).

Oui, c’est «ceux qui te conduisent», des juges aux législateurs, du clergé à l’enseignant qui établit les orientations, montrent les exemples, et travaillent à retrancher de la Grande-Bretagne et de l’Amérique le dernier vestige de la contrainte morale. Des milliers d’entre eux veulent une orgie, et Dieu va la leur donner!

Dieu inspira Ézéchiel à écrire: «Prépare les chaînes ! Car le pays est rempli de meurtres, la ville est pleine de la violence.

«Je ferai venir les plus méchants des peuples, pour qu’ils s’emparent de leurs maisons ; Je mettrai fin à l’orgueil des puissants, et leurs sanctuaires seront profanés. La ruine !

Ils cherchent le salut, et point de salut !

Il arrive malheur sur malheur, un bruit succède à un bruit ; ils demandent des visions aux prophètes ; les sacrificateurs ne connaissent plus la loi, les anciens n’ont plus de conseils.

“Le roi se désole, le prince s’épouvante, les mains du peuple du pays sont tremblantes. Je les traiterai selon leurs voies, je les jugerai comme ils le méritent, et ils sauront que je suis l’Éternel.» (Ézéchiel 7: 23-27)

Vous n’avez pas besoin de chercher très profondément dans les tendances de nos sociétés au cours des cinquante dernières années pour admettre que nos gens méritent bien ces vigoureuses condamnations de la part de Dieu.

Comme nous ne sommes plus dignes d’habiter nos sur nos terres, plus du tout digne de la miséricorde et la protection de Dieu, plus apte à survivre, Dieu va PUNIR nos sociétés hédonistes, désobéissantes, défiantes et violant la loi!

Il n’est pas trop tard pour la Grande-Bretagne et l’Amérique. Il n’est pas encore trop tard pour avoir un leadership inspiré, une clarté des objectifs, une unanimité de but, un dévouement pour une grande cause et un sacrifice collectif afin de propulser la plus grande puissance du monde dans les larges avenus de la paix, pour un nouvel avenir brillant, pour une ère utopique de la réalisation des rêves les plus beaux de l’homme. Il n’est pas trop tard pour l’Amérique de voir l’immensité de sa richesse. Il n’est pas trop tard pour une réponse spirituelle à nos plus profonds problèmes de l’esprit.

Il est cependant beaucoup, mais alors beaucoup trop tard que vous ne pensez!

La grandeur d’une nation ne peut être mesurée pas sa capacité industrielle, ses ressources naturelles ou son Produit National Brut. C’est plutôt par la qualité du caractère de ses habitants.

L’Amérique est en train de perdre le caractère.

Reste-t-il encore de la volonté? Reste-t-il un esprit de sacrifice?   Un dévouement pour la grande cause?

Avons-nous oublié comment se repentir?

NECESSITE: REPENTANCE NATIONALE

Pouvez-vous imaginer si les chefs du gouvernement pouvaient s’agenouiller devant Dieu, dans une repentance sincère et vraie, criant à lui pour nous délivrer de notre problème national effroyable?

«C’est ridicule!» diront certains.

Et, parce qu’une telle image de repentance nationale est si «ridicule» et inimaginable, nos peuples se dirigent vers une punition, peut-être la plus grande punition nationale qui n’ait jamais venu sur aucune autre nation.

Notez cette prophétie biblique frappante du livre d’Ézéchiel:

«L’iniquité de la maison d’Israël [nos peuples anglophones modernes] et de Juda est grande, excessive ; le pays est rempli de meurtres [l’Amérique mène le monde dans le crime], la ville est pleine d’injustice [nos villes sont devenues des jungles d’asphalte de la criminalité, l’immoralité, la toxicomanie et de la recherche du plaisir sensuel], car ils disent : l’Éternel a abandonné le pays, l’Éternel ne voit rien.» (Ézéchiel 9: 9).

N’est-ce pas exactement ce que des millions de personnes disent aujourd’hui: «Dieu n’existe pas», «Il est parti quelque part au loin», «il est parti à la retraite»?

Mais Dieu n’est pas à la retraite. Il existe en effet. Et Il dit dans sa parole, la Bible, qu’Il punit les gens qui agissent constamment en violation de ses lois et qui provoquent tous les problèmes effroyables que nous voyons autour de nous et partout aujourd’hui. Notre mode de vie lui importe beaucoup!

Il dit: «Je … te jugerai selon tes voies, je te chargerai de toutes tes abominations [nos crimes nationaux et les péchés]. Mon œil sera pour toi sans pitié, et je n’aurai point de miséricorde ; mais je te chargerai de tes voies.» (Ézéchiel 7: 3, 4)

Cela semble-t-il un peu vague, peut-être un peu archaïque ou peut-être même un peu trop comme du «feu et du souffre de l’Ancien Testament»?

Ne nous faisons pas d’illusions! Dieu va punir sévèrement nos peuples pour nos crimes nationaux et individuels, et nos péchés, à moins que nous nous repentions sincèrement et nous tournions vers Lui.

NOS PROPRES VOIES

Jusqu’à présent, Dieu ne punit pas encore directement nos peuples. Il nous laisse simplement commencer à nous auto tuer. Il nous laisse subir les conséquences automatiques de nos propres voies. Nous abusons de la terre qu’Il nous a donnée: en polluant nos rivières et nos ruisseaux avec des pesticides et des produits chimiques ; en éliminant les nutriments du sol, luttant par nos propres moyens mécaniques humainement conçus, pour produire des cultures.

Dieu dit: «Ta méchanceté te châtiera, et ton infidélité te punira …» (Jérémie 2:19), et «Ce qui cause ta ruine Israël, c’est tu as été contre moi, contre celui pouvait te secourir.» (Osée 13: 9)

Notre Créateur dit qu’il n’est pas encore trop tard pour la Grande-Bretagne et l’Amérique. Que nous pourrions encore nous repentir et qu’il nous aiderait.

Remarquez les conditions:

«Ainsi parle l’Éternel des armées: réformez vos voies et vos œuvres, et je vous laisserai demeurer dans ce lieu … Si vous réformez vos voies et vos œuvres, si vous pratiquez la justice envers les uns et les autres, si vous n’opprimez pas l’étranger [des groupes minoritaires], l’orphelin et la veuve, si vous ne répandez pas en ce lieu le sang innocent [meurtres brutaux sont monnaie courante dans l’Amérique d’aujourd’hui], et si vous n’allez pas après d’autres dieux, pour votre malheur, alors je vous laisserai demeurer dans ce lieu, dans le pays que j`ai donné à vos pères d’éternité en éternité.» (Jérémie 7: 3-7)

Sinon une captivité nationale et une dispersion de nos peuples aux quatre points cardinaux est prédit dans le livre d’Ézéchiel, au chapitre 5, versets 11 et 12.

Dieu dit qu’Il est prêt, si nous le sommes. Il veut que nous nous repentions.   Il ne désire pas la mort du méchant (Ézéchiel 33:11).

JEUNE ET PRIERE

Cette nation, peut-elle suivre l’exemple d’Abraham Lincoln? Continuant avec sa proclamation présidentielle citée plus tôt, «… Intoxiqués par le succès sans faille, nous sommes devenus trop autosuffisants pour sentir la nécessité de la grâce rédemptrice et préservatrice (apparemment Abraham Lincoln comprit le sens réel de la grâce), trop orgueilleux pour prier au Dieu qui nous a façonnés.»

Il nous appartient donc de nous humilier devant la Puissance que nous avons offensée, de confesser nos péchés nationaux et implorer la clémence et le pardon:

«Maintenant, donc, conformément à la demande, et souscrivant pleinement aux vues du Sénat, je déclare par la présente proclamation et je réserve le jeudi, 30 Avril 1863, comme un jour d’humiliation nationale, de jeûne et prière … faisant tout ceci dans la sincérité et la vérité, reposons nous donc humblement dans l’espérance des enseignements divins, et croyons que le cri à l’unisson de la nation sera entendu d’en haut et exaucé par des bénédictions autres que le pardon de nos péchés nationaux et la restauration de notre pays désormais divisée et souffrant, à son état initial de bonheur, d’unité et de paix».

Je me demande si de nos jours, un président pourrait décréter impunément une journée nationale d’humiliation, de prière et de jeûne!

IL Y A MOYEN D’ECHAPPER AU JUGEMENT

Même si le pays continue obstinément dans son cours actuel et refuse de se repentir, il y a tout de même un moyen pour vous d’échapper personnellement.   Vous, en tant qu’individu pouvez-vous repentir et échapper aux punitions directes futures du Dieu Tout-Puissant.

Oui, il y a un moyen d’évasion pour vous, même dans cet âge moderne, si vous êtes prêt à prendre en compte ces paroles et rechercher votre Dieu.

Lisez le chapitre 33 d’Ézéchiel. Voyez comment Dieu dit que toute personne qui entendrait la voix de sa sentinelle sera protégée contre ces temps difficiles à venir! Lisez ses promesses dans le Psaume 91.

Les prophéties sont vraies, la fierté de notre puissance a été brisée. À moins que nous nous repentions, ce n’est qu’une question de temps pour que notre nation soit brisée, nos villes détruites, nos peuples pris en otage par de puissants ennemis que nous ne pouvons soupçonner présentement.

LE TEMPS D’ANGOISSE POUR JACOB

Des preuves irréfutables prouvent absolument que la Grande-Bretagne et les États-Unis sont une partie des dites «dix tribus perdues» d’Israël! La plupart des peuples de la Scandinavie et de l’Europe du Nord-Ouest constituent le reste des dix tribus d’Israël.

La plupart des étudiants de la prophétie biblique, tout à fait ignorants de notre identité, se retrouvent avec rien de plus que des spéculations sauvages sur le scénario de l’avenir, complètement inconscients que les prophéties de Christ lui-même concernant la GRANDE TRIBULATION à venir sont dirigées PRINCIPALEMENT contre les États-Unis et la Grande-Bretagne, puis contre le nord-ouest de l’Europe, et l’État juif en Palestine moderne, appelé «Israël».

La Grande Tribulation est décrite comme un temps de terribles calamités nationales provoquées par une myriade de causes: la sécheresse, la famine, la maladie, la criminalité, la pollution, la surpopulation, les guerres, à un moment où la puissance militaire de la Grande-Bretagne et de l’Amérique ne va pas nous sauver des catastrophes les plus impensables!

Des millions d’Israélites étaient massacrés au cours de la Seconde Guerre mondiale ; plusieurs des nations israélites étaient soumises à l’occupation de l’ennemi, la déportation, l’esclavage, la privation impensable. La Norvège, le Danemark, la Hollande, la Belgique, le Luxembourg, la France ; tous tombèrent devant les armées nazies, tout comme l’ancienne Israël succomba devant les vagues d’envahisseurs Assyriens, sept cents années avant Jésus-Christ. La Finlande saigna dans une guerre contre la Russie.   La Grande-Bretagne souffrit horriblement de 1939 jusqu’à la fin de la «bataille d’Angleterre», et continua à perdre des hommes et du matériel, fut profondément lésée sur le plan financier au point qu’elle ne saurait jamais récupérer complètement, à la suite de cette Seconde Guerre mondiale. Suite à cette grande guerre, la Grande-Bretagne commença une tendance à la baisse. L’Empire britannique autrefois si fier, fut démantelé, et elle fut désormais connue comme «l’homme malade» de l’économie européenne ; finalement il réussit à rejoindre le marché par nécessité économique

Les pays du Commonwealth à savoir l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Afrique du Sud et le Canada, bien qu’inoccupés et sécurisés (en dehors du bombardement japonais de Darwin, et l’occupation d’une partie de la Nouvelle-Guinée) laissèrent des dizaines des milliers de leurs fils et leurs pères pourrir dans les pays étrangers ou au fond des mers.

Les États-Unis furent victimes de 407316 décès dans l’armée ; 670846 touchés par des blessures non-létales entre le 7 décembre 1941 et le 31 décembre 1946. Le coût que l’économie dû payer fut de 360 MILLIARDS DE DOLLARS!

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis avaient atteint le zénith. Ils comptaient 8.266.373 hommes dans l’armée, 3380817 dans la Marine, 2.372.292 dans la Force aérienne, soit un total de quatorze millions cent quatre-vingt-quatorze mille quatre cent quatre-vingt-deux, dans tous les services combinés!

Pourtant, en 1946, l’effectif dans l’Armée de l’Air avait chuté à 455 515, sauf la Marine qui se pût se maintenir à 381 538 jusqu’en 1950; l’armée de terre jusqu’à 67784 au cours de la même année.

Autrefois, Dieu a dit qu’il BRISERAIT L’ORGUEIL DE NOTRE POUVOIR si nous ne constatons pas Ses lois.

Aujourd’hui, des millions d’américains ont avalé la fable selon laquelle l’Amérique est «la seule superpuissance restant au monde»! Ils oublient que de nombreux autres pays, dont la France, la Chine, l’Inde, Le Pakistan et Israël possèdent la bombe atomique. Les pays qui sont soupçonnés de posséder des armes nucléaires, ou en voie de les posséder sont, l’Allemagne, le Brésil, l’Irak, la Corée du Nord, l’Afrique du Sud et l’Iran.

Beaucoup de nations possèdent des missiles balistiques intercontinentaux et des missiles balistiques de portée intermédiaire sophistiqués. La Russie est toujours en possession de milliers de missiles et ogives nucléaires, ainsi que des sous-marins nucléaires armés. L’Ukraine est du jour au lendemain devenue une puissance nucléaire, à la subdivision de l’URSS.   La Chine a acheté des croiseurs et des missiles sophistiqués de type AEGIS, transportant des sous-marins de la Russie.

Plusieurs nations ont des capacités de lancement de satellites, dont la Grande-Bretagne, la France, la Chine et le Japon. Des douzaines de nations possèdent des réacteurs nucléaires fredonnant au quotidien, et leurs produits dérivés servent de matériel utilisé dans la production de bombes nucléaires.

De nombreux pays possèdent des stocks chimiques et biologiques mortels.

Aujourd’hui, la Grande-Bretagne et les États-Unis se préparent pour de nouvelles attaques terroristes horribles. Du bombardement des casernes marines du Liban dans les années 80, au bombardement de la caserne des forces américaines en Arabie Saoudite dans les années 90 et mis en évidence par l’attentat à la bombe contre l’USS Cole en 2000, les USA ont pris conscience de la virulente haine des nations islamiques contre nous. À cause de notre rôle de tuteur et protecteur envers Israël, nous sommes appelés «le Grand Satan» par les peuples d’Iran et d’Irak et par d’autres nations islamiques.

La vérité c’est que nous ne sommes PAS «la seule superpuissance au monde». Il y a une grande puissance qui se forme en Europe, puissance au sujet de laquelle j’avais fait une prédiction depuis plus de 45 ans maintenant et qui va CHOQUER ses fondateurs! Elle finira par devenir toute une arme nucléaire, les «États-Unis d’Europe», avec toute la force aérienne et l’armée européenne, et elle finira par OCCUPER LE MOYEN-ORIENT!

PROPHETIE BIBLIQUE, UN AVERTISSEMENT!

Un tiers de la Bible contient de la prophétie. Jésus-Christ était le plus grand prophète de tous les temps. Sa célèbre prophétie du mont des Oliviers est la pierre angulaire de toute prophétie pour la fin des temps, le temps de la GRANDE TRIBULATION, le Jour du Seigneur et la seconde venue du Christ où il paraîtra pour régner sur toutes les nations!

Munis de la connaissance de l’identité des nations modernes des États-Unis et de l’Europe, vous pouvez enfin comprendre l’image globale des événements futurs.

Comme nous le verrons, la GRANDE TRIBULATION prophétisée s’abattra principalement sur JACOB! Le temps de «l’angoisse pour Jacob» est arrivé, c’est-à-dire le temps d’un grand traumatisme national pour l’Angleterre, le Canada, l’Australie, l’Afrique du Sud, et les États-Unis, ainsi que pour d’autres nations des dix tribus d’Israël. Rappelez-vous qu’EPHRAÏM ET MANASSE étaient les porteurs du NOM D’ISRAËL! Car Jacob (Israël) en mourant, dit: «Qu’ils HÉRITENT DE MON NOM!»

Maintenant, prenons note des prophéties de Christ lui-même.

LES PROPHETIES DE CHRIST

On peut avoir une compréhension partielle de la prophétie biblique sans pour autant avoir connaissance de l’identité des Dix Tribus Perdues.   Par exemple, une étude minutieuse du livre de Daniel 2, 4, 7, du livre d’Apocalypse 13, 17, 18 et prophétie du mont des Oliviers donne un aperçu des événements du monde dans un avenir immédiat, mais à condition que nous soyons armés de la connaissance du vrai sens de la bête, de l’image de la bête, et de la vraie identité du faux prophète et de l’antéchrist! Et même avec ça, on demeure ignorants quant à la façon dont ces prophéties affecteront les États-Unis d’Amérique. Si on manque la clé la plus importante de la prophétie, c’est-à-dire, l’identité des États-Unis et de la Grande-Bretagne!

Les preuves concernant l’identité des empires dominants au monde, représentés par l’image légendaire de Nebudchadnezzar (Daniel 2) seraient trop nombreuses pour être mentionnées. La plupart des commentaires bibliques contiennent de nombreuses références aux sources historiques identifiant correctement les royaumes de Babylone (la tête d’or), la Perse (la poitrine d’argent), gréco Macédoine (le ventre et les cuisses d’airain), et Rome (les pieds et les orteils d’argile de potier et en fer). La prédiction nette de Daniel sur l’élévation et la chute de tous ces royaumes, y compris les renaissances successives du même système (l’Empire romain) à travers les siècles, est l’un des grands témoignages à l’inspiration des Écritures, l’exactitude de la Parole de Dieu.

Aujourd’hui, des millions de théologiens amateurs réfléchissent sur l’identité de la «bête», tirent des conclusions incroyables qui semblent fantastiques en s’appuyant sur les théories fantaisistes.   Certains pensent que la bête est aux États-Unis. Certains prétendent que c’est l’Église catholique. Certains pensent que c’est un groupe de prêteurs juifs impliqués dans une vaste conspiration.   Les opinions et les théories sont monnaie courante, comme prédis par Christ. «Beaucoup viendront en mon nom, disant que je suis le Christ [pas nécessairement qu’ils sont Christ, mais qu’il EST le Christ! «Prêcher le Christ!»] Et ils séduiront beaucoup!»

Mais l’identité de la bête n’a jamais changé. Le point culminant des anciens royaumes était Rome et ses nombreuses renaissances à travers l’histoire sont documentées. Une faible renaissance du «Saint-Empire romain», représentant les mêmes races au cœur de l’Europe comme aux jours d’Habsbourg et d’Otton le Grand, eut lieu pendant la seconde guerre mondiale, avec Adolph Hitler et Benito Mussolini qui déclarèrent l’alliance de l’Europe centrale, le «Saint- Empire Romain».

La seconde bête d’Apocalypse 13 est semblable à «un agneau», c’est-à-dire se déguise en une organisation semblable à Christ, mais «parle comme un dragon», c’est-à-dire comme Satan!

Le commentaire Bullinger’s Companion Bible comprend une comparaison entre la prophétie du mont des Oliviers et les sept sceaux d’Apocalypse. On peut prouver de manière concluante que les «quatre cavaliers de l’apocalypse» représentent l’aggravation progressive de la condition humaine prédite par le Christ dans Matthieu 24. Le cheval blanc indique les faux christs, les faux prophètes ; la parution finale de «l’impie» (II Thess 2.) qui aura le pouvoir de faire des miracles, de s’asseoir dans le «temple de Dieu, se proclamant lui-même Dieu» et amenant des millions de personnes à «adorer la bête et son image».   En d’autres termes, le cheval blanc du 1er sceau représente le dévoilement du faux prophète et de l’antéchrist à la tête de l’«image de la bête» (la religion mystérieuse Babylonienne) juste avant la Grande Tribulation.

Le cheval rouge est synonyme de prédictions du Christ des «guerres et bruits de guerres», dans la prophétie du mont des Oliviers. Bullinger montre correctement les parallèles exactes entre les deux prophéties; que le cheval gris représente la famine et la mort du cheval noir.

Christ regarda au-delà de son temps jusqu’au nôtre et prédit l’avenir, le temps dans lequel nous vivons et les temps à venir! Même si l’on ne connaît pas l’identité de dix tribus perdues d’Israël, croyez-moi, nous vivons le «temps de la fin» prophétisé dans la Bible, comme au «jour de Noé », quand toute l’humanité poursuit les passions de la chair, sans se soucier des catastrophes qui nous attendent.

La différence c’est que, ceux qui connaissent l’identité d’Israël savent l’implication de leurs propres peuples ; ils reconnaissent les horribles punitions nationales d’un futur proche et ils sont équipés en vue de jouer un rôle dans les travaux commandés et servir de TEMOIGNAGE PUISSANT et d’AVERTISSEMENT au peuple de Dieu avant qu’il ne soit trop tard!

Oui, des millions de personnes connaissent la prophétie de la «Grande Tribulation!» Mais ce que ces mêmes millions de personnes ne connaissent pas c’est que selon la prophétie, cette tribulation frappera les peuples de la maison d’ISRAËL EN PREMIER!

Voyons la preuve! Christ a dit:

«Car alors, la détresse sera si grande [un temps d’ennui terrible] qu’il n’y en point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent, et qu’il n’y en aura jamais.» (Matt. 24:21) Une période sans précédent, absolument unique dans les horreurs qu’il causera, sans pareil dans toute l’histoire! Cela signifie que la Grande Tribulation est un temps de souffrance humaine qui n’a lieu qu’UNE SEULE FOIS! Il n’y en a pas DEUX de ce genre! UN seul! Notez ce que cela veut dire!

À la fin de la plus longue prophétie de la Bible, dans Daniel 11, l’archange Gabriel dit à Daniel : «En ce temps-là se lèvera Michaël, le grand chef, le défenseur des enfants de ton peuple ; et ce sera une époque de détresse, telle qu’il n’y en a point eu de semblable depuis que les nations existent jusqu’à cette époques. En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés.» (Dan. 12: 1, 2)

Évidemment, la grande époque de détresse, c’est cette MEME époque de la Grande Tribulation prédite par le Christ. Il ne peut y avoir deux de ces moments, l’un annule l’autre. La description de la plus grande époque de détresse DANS TOUTE L’HISTOIRE veut dire l’unique époque de la Grande Tribulation!

Maintenant, remarquez! «Ainsi parle l’Éternel Dieu d’Israël: écris dans un livre toutes les paroles que je t’ai dites.

Voici les jours viennent, dit l’Éternel, où je ramènerai les captifs [ramènerai les captifs ; les ramenant de captivité] de mon peuple d’Israël ET DE JUDA … »

Remarquez! DEUX DIFFERENTS GROUPES DE PERSONNES!   Les dix tribus d’Israël qui sont les Israélites et la «Maison d’Israël »et «Juda »qui sont les Juifs!

Mais n’oubliez pas qu’Israël DISPARUT de l’histoire! Ils ne furent jamais ramenés de la terre de leur captivité entre la Mer Noire et la Mer Caspienne, mais fut errant à travers l’Europe, perdus dans l’histoire pendant les siècles passés. Aujourd’hui par contre, les peuples juifs ont leur propre nation, «Israël». Comme nous le verrons et aussi horrifiant que cela peut paraitre, une captivité à venir des Juifs est prophétisée dans la Bible!

Maintenant, revenons à notre passage : «Je les ramènerai dans le pays que j`ai donné à leurs pères, et ils le posséderont.

Ce sont ici les paroles que l’Éternel a prononcées sur Israël et sur Juda.

Ainsi parle l’Éternel: nous entendons des cris d’effroi ; c’est l’épouvante, ce n’est pas la paix.

Informez-vous, et regardez si un homme enfante! Pourquoi vois-je tous les hommes les mains sur les reins, comme une femme en travail ? Pourquoi tous les visages sont-ils devenus pâles?» Ici, Jérémie voit en vision des gens complètement choqués, donc frappés de terreur, à cause des horreurs vus ici par leurs yeux incrédules!

«Malheur! Car CE JOUR EST GRAND ; IL N’Y EN A POINT EU DE SEMBLABLE … » Notez que bien! Une fois de plus, nous lisons au sujet de LA MÊME EPOQUE ; la «Grande Tribulation» prophétisée par le Christ ; LA MÊME EPOQUE décrite par Daniel ; un temps d’ennuis si grands qu’il est absolument sans précédent dans toute l’histoire de la terre! ET SUR QUI VIENDRA DE GRAND MOMENT DE TRIBULATION NATIONALE À VENIR?

«C’est encore un temps de détresse pour Jacob …» (Jér. 30: 1-7)

Ah! Le temps d’angoisse pour JACOB! Et qui était Jacob? Son nom fut changé en ISRAËL! Pendant qu’il était mourant, il croisa les mains, comme vous l’avez lu, et bénit Éphraïm d’une plus grande bénédiction que celle de Manassé, en disant: «QUE MON NOM SOIT PROCLAMÉ SUR EUX!» Parmi toutes les tribus d’Israël, qu’Ephraїm (la Grande-Bretagne) et Manassé (les États-Unis) aient le droit d’être appelés «Jacob», ou la «Maison d’Israël!»

Ainsi donc, la Grande Tribulation dont parle le Christ ; le temps horrible de la colère de Satan contre la terre viendra PRINCIPALEMENT CONTRE LE PEUPLE DE GRANDE-BRETAGNE ET DES ÉTATS-UNIS, et incidemment, contre le reste des dix tribus perdues d’Israël! Maintenant, observez le reste de ce 30ème chapitre remarquable du livre de Jérémie:

«… Mais il en SERA délivré [ce qui signifie Jacob, les États-Unis et la Grande-Bretagne, doivent passer par là, mais ne doivent pas être complètement détruits ; ils en seront sauvés!]. En ce jour-là, dit l’Éternel des armées, je briserai TES LIENS, et des étrangers ne s’assujettiront plus…. » (Jér. 30: 7, 8).

Et quel est le réglage du temps de cette prophétie concernant la captivité nationale imminente pour la maison de Jacob, d’Israël? «Ils serviront l’Éternel, leur Dieu, et David, leur roi, que leur susciterai!» (Jér. 30: 8, 9)

Les États-Unis et la Grande-Bretagne servent-ils Dieu, aujourd’hui? La nation d’«Israël», en Palestine, «sert-elle Dieu?» NON! Le réglage du temps de CETTE prophétie est celui de Matthieu 24, Apocalypse 6, et Daniel 12, Juste avant la seconde venue du Christ. Juste avant la résurrection des morts en Christ, quand Dieu ressuscitera David ensemble avec tous les saints et patriarches morts, à la rencontre du Christ (1 Thess. 4:17), quand il reviendra sur la terre (Apocalypse 1: 7; Actes 1:11; Apocalypse 19) et se tiendra debout, en ce même jour, sur le Mont des Oliviers à Jérusalem (Zacharie 14: 4.).

Maintenant, à qui appartient le joug qui sera mis sur nos peuples?

LA FEMME QUI S’ASSIT SUR LA BETE

Jean vit en vision, une grande prostituée à califourchon sur une bête à plusieurs têtes. Les prophéties du Christ, ainsi que celles de Daniel et de l’Apocalypse, ne laissent aucun doute quant à l’identité de ce système d’État-église. Observez: «Puis un des sept anges qui tenaient les sept coupes vint, et il m’adressa la parole, en disant : Vient, je te montrerai le jugement de la GRANDE PROSTITUÉE qui est assise sur les grandes eaux.

C’est avec elle que les rois de la terre se sont livrés à la débauche, et c’est du vin de sa débauche que les habitants de la terre se sont enivrés.

Il me transporta en esprit dans un désert. Et je vis une femme assise sur une bête écarlate, pleine de noms de blasphème, ayant sept têtes et dix cornes.

Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, et parée d’or et de pierres précieuses et de perles. Elle tenait dans sa main une coupe d’or remplie d’abominations et des impuretés de sa prostitution.

Sur son front était écrit un nom, UN MYSTÈRE: BABYLONE LA GRANDE, LA MÈRE DES PROSTITUÉES ET DES ABOMINATIONS DE LA TERRE.» (Apocalypse 17: 1-5)

Cette femme est une grande fausse église universelle! Elle est «assise sur» une «bête», c’est-à-dire elle détient la prévalence et l’influence sur l’union de dix nations de l’Europe centrale. Elle CONTRÔLE la bête!

De toute évidence, les dix nations existent dans les tous derniers jours des gouvernements de l’homme sur cette terre, juste avant la deuxième venue du Christ! Remarquez : «Les dix cornes que tu as vues sont dix rois, qui n’ont pas encore reçu de royaume, mais qui reçoivent autorité comme rois [pouvoir autocratique absolu] pendant une heure [un temps très court dans la prophétie] avec la bête.

“Ils ont un même dessein [une politique ; un but sur lequel ils sont en complet accord], et ils donnent leur puissance et leur autorité à la bête [ils mettront en commun leurs économies nationales, des matières premières, l’industrie, et leur force militaire].

“Ils combattront contre l’Agneau [ils s’apprêteront à lutter CONTRE LE CHRIST lors de sa seconde venue: le paramètre temps dans cette prophétie est impossible à ignorer], et l’Agneau les vaincra, car il est Seigneur des seigneurs, et Roi des rois, et les appelés, les élus et les fidèles qui sont avec lui les vaincrons aussi.» (Apocalypse 17: 12-14)

Ils ont un même dessein, et ils donnent est nécessaire à ce stade, de vous rappeler un FAIT géopolitique extrêmement important. Supposons, un instant, que tout ce que vous avez lu sur les origines des États-Unis et de la Grande-Bretagne n’est que pure fantaisie. Supposons que toutes ces histoires sont mal placées et qu’aucun des faits concernant Dan, ou Juda, Éphraïm et Manassé ne s’appliquent vraiment à ces derniers.

Et, SOUVENEZ-VOUS que la prophétie du mont des Oliviers de Jésus-Christ concerne principalement JERUSALEM! Celle-ci fut prononcée en pleine vue du plus célèbre horizon de tous les temps, du mont des Oliviers, à la vue du temple de l’époque du Christ. Sa prophétie n’était accomplie que comme précurseur préliminaire, en l’an 70 après Jésus-Christ, lorsque les armées de Titus détruisirent Jérusalem.

Mais l’accomplissement littéral de la fin des temps est ENCORE À VENIR!

Maintenant, pensez-y! Croyez-vous un seul instant que si Israël était attaqué par les armées arabes réunies ; si les missiles Scud et Silkworm tombaient sur Tel Aviv, Haïfa, Lod, et d’autres villes juives ; si les armes chimiques et biologiques tuaient des CENTAINES DE MILLIERS de citoyens israéliens, les USA et la Grande-Bretagne ne S’IMPLIQUERAIENT-ILS PAS?

Ce serait de la stupidité à son comble que d’assumer le contraire!

Nous SERIONS immédiatement impliqués si le spectre du massacre des Juifs dans une «Israël» moderne devait se produire!

Et ça, vous le savez! Le chapitre 11 de Daniel montre que la puissance de la bête (pas les États-Unis et la Grande-Bretagne), va immédiatement descendre dans la Moyen-Orient comme un «tourbillon» et OCCUPER toutes les nations, du Liban à l’Arabie saoudite, y compris Israël et l’Égypte! Ce sera probablement un mouvement visant, tant à PROTEGER les survivants juifs que d’ARRETER UNE GRANDE GUERRE D’ENGLOUTIR LE MONDE ENTIER!

Malheureusement, ce sera en vain! Remarquez que «nouvelles du nord et de l’est» apportent des nouvelles d’une intervention massive de la RUSSIE et de la CHINE! (Daniel 11: 40-44) Enfin venue cette grande bataille appelée la «bataille d’Armageddon» qui portera sur les signes célestes et le Jour du Seigneur!

Rappelez-vous que lors du retour du Christ, la puissance de la bête, qui sera en ce temps-là installée à Jérusalem, en collaboration avec le grand «faux prophète» qui est l’Antéchrist, tenteront de COMBATTRE CHRIST!

Ceci est une parallèle exacte de Daniel 2:44 et les versets précédents, où Dieu dit la PIERRE symbolique (le Christ) que l’on voit descendre du ciel comme un météore, fracasse les dix orteils de la grande image.   L’image représente tous les royaumes Gentils dominants du monde, de l’époque de l’ancienne Babylone jusqu’à l’époque de notre l’âge moderne, les dix orteils représentent les dix rois (nations) d’Apocalypse 17.

Cette grande et fausse église qui exerce une pression sur les gouvernements nationaux est de nouveau identifiée dans Esaïe 47. Remarquez-là: «Assieds-toi en silence, et va dans les ténèbres, fille des Chaldéens ! On ne t’appellera plus la souveraine des royaumes.

J’étais irrité contre mon peuple, j’avais profané mon héritage, et je les avais livrés entre tes mains: tu n’as pas eu pour eux e la compassion, TU AS DUREMENT APPESANTI TON JOUG SUR LE VIEILLARD.

Tu disais : A toujours je serai souveraine ! Tu n’as point mis dans ton esprit, tu n’as point songé que cela prendrait fin.

Écoute maintenant ceci, voluptueuse, qui t’assieds avec assurance, et qui dit en ton cœur : moi, et rien que moi ! Je ne serai jamais veuve, et je ne saurai jamais privée d’enfants !

Mais ces deux choses t’arriveront subitement, au même jour, la privation d’enfants et le veuvage ; elles fondront en plein sur toi, malgré la multitude de tes sortilèges, malgré le grand nombre de tes enchantements.

Tu avais confiance dans ta méchanceté, Tu disais: Personne ne me voit ! Ta sagesse et ta science t’ont séduite. Et tu disais en ton cœur: moi et rien que moi!

Le malheur viendra sur toi, sans que tu en voies l’aurore ; la calamité tombera sur toi, sans que tu puisses la conjurer ; et la ruine fondra sur toi tout à coup à l’improviste.» (Esaïe 47: 5-11).

Notez qu’il s’agit ici de la grande fausse église, sous l’autorité du FAUX PROPHETE, c’est-à-dire l’anti-christ qui contrôle les dix nations, afin de PUNIR nos peuples!

Et qu’en est-il de la nation principale qui sera l’une des dix? Lisez Isaïe 10! Remarquez ce qui est dit à propos de la nature de l’Assyrie du temps moderne! «En ce jour, le reste [Il y aura seulement dix pour cent de rescapés laissés vivants (Esaïe 06:13)] en Israël, et les réchappés de la maison de Jacob [Éphraïm et Manassé], cesseront de s’appuyer sur celui qui les frappait ; ils s’appuieront avec confiance sur l’Éternel, le Saint d’Israël.» (Esaïe 10:20). Ce passage décrit leur délivrance au moment de la Seconde Venue du Christ!

Notez en outre : «En ce jour, son fardeau sera ôté de dessus ton épaule, Et son joug de dessus ton cou, et la graisse fera éclater le joug.» (Esaïe 10:27)

Notez donc que le joug, symbolisant l’ESCLAVAGE et la captivité, est déposé sur nos peuples par l’église l’universelle ET PAR L’ASSYRIE, et que joug demeure jusqu’à la seconde venue du Christ; jusqu’à ce que nos peuples commencent à «rester sur l’Éternel», et jusqu’à ce que vienne «l’onction»!

Notez les preuves suivantes concernant L’ETAT DE NOTRE PEUPLE à la venue du Christ: «Dans ce même temps, le Seigneur étendra une seconde fois pour racheter le reste de son peuple, dispersé en Assyrie et en Égypte, A Pathros et en Éthiopie, à Elam, à Schinear et à Hamath, et des îles de la mer.

Il élèvera une bannière pour les nations, il rassemblera les exilés d’Israël, et il recueillera les dispersés de Juda, des quatre extrémités de la terre

La jalousie d’Éphraïm disparaîtra, et ses adversaires en Juda seront exterminés ; Éphraïm ne sera plus jaloux de Juda, et Juda ne sera plus hostile à Éphraïm.» (Esaïe 11: 11-13).»

«L’Éternel desséchera la langue de la mer d’Égypte, et il lèvera sa main sur le fleuve, en soufflant avec violence: Il le partagera en sept canaux, et on le traversera avec des souliers.

Et il y aura une route pour le reste de son peuple, qui sera échappé de l’Assyrie, comme il y en eut une pour Israël, le jour où il sortit du pays d’Égypte. » (Esaïe 11:15, 16)

«Voici, les jours viennent, dit l’Éternel, où je susciterai David un germe juste ; et il régnera en roi et prospérera. Il pratiquera la justice et l’équité dans le pays.

En son temps Juda sera sauvé, Israël aura la sécurité dans sa demeure; et voici le nom dont on l’appellera, L’ETERNEL NOTRE JUSTICE.

C’est pourquoi voici, les jours viennent, dit l’Éternel, où l’on ne dira plus: L’Éternel est vivant, Lui qui a fait monter du pays d’Égypte les enfants d’Israël !

«Mais on dira : L’Éternel est vivant, Lui a fait monter et qui a ramené la postérité de la maison d’Israël du pays du septentrion et de tous les pays où je les avais chassés ! Et ils habiteront dans leur propre pays.» (Jérémie 23: 5-8)

Remarquez que l’ancien exode sous Moïse devient insignifiant par rapport à l’exode en provenance des pays du Nord! Maintenant, voyez le réglage du temps dans Jérémie 3:17 et les versets suivants: «A ce moment-là, on appellera Jérusalem le trône de l’Éternel ; et toutes les nations se rassembleront vers elle [comparer avec Zach. 14: 16-21], le nom de l’Éternel, à Jérusalem: elles ne suivront plus l’imagination de leur mauvais cœur.

«En ces jours la maison de Juda marchera avec la maison d’Israël (NOTEZ! DEUX MAISONS SEPAREES; DEUX PEUPLES DISTINCTS!), Et ils viendront ensemble du pays du septentrion [ceci n’est jamais arrivé dans l’histoire! Les dix tribus d’Israël avait disparues, dans l’ensemble, bien avant que l’empire babylonien ne limoge Juda!] vers le pays que je l’ai donné en héritage à vos pères».

Enfin, notez cette prophétie: “… En ce jour, on sonnera la grande trompette (voir 1 Cor. L5: 50-52), et alors reviendront ceux qui étaient exilés au pays d’Assyrie ou fugitifs au pays d’Égypte, ET ILS ADORERONT L’ETERNEL SUR LA MONTAGNE SAINTE, à Jérusalem.» (Esaïe 27:13).

Chaque fois que vous rencontrez des prophéties concernant Israël et la SECONDE VENUE DU CHRIST, Israël se trouve être dans un état de CAPTIVITE, d’horrible esclavage, de privation, de souffrance, de famine! Le réglage de temps est ÉVIDENT et ne peut être ignoré!

À l’image de la nation moderne d’Israël dans la terre de la Palestine qui aura à souffrir ENCORE UN AUTRE TERRIBLE HOLOCAUSTE, DE MEME LES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE ET LA GRANDE-BRETAGNE SOUFFRIRONT, À MOINS QUE NOUS NOUS REPENTIONS, ET NOUS TOURNIONS A NOTRE DIEU!

Dieu nous commande de: «Cherchez l’Éternel pendant qu’il se trouve ; invoquez-le pendant qu’il est près. Que le méchant abandonne sa voie, et l’homme d’iniquité ses pensées ; qu’il retourne à l’Éternel qui aura pitié sur lui. À notre Dieu, qui ne se lasse pas de pardonner.

«Car mes pensées ne sont pas vos pensées, vos voies ne sont pas mes voies, dit l’Éternel.» (Esaïe 55: 6-8).

Jésus-Christ commanda en disant: «REPENTEZ-VOUS, et croyez à l’Évangile!» Le jour de la Pentecôte, Pierre s’écria: «REPENTEZ-VOUS, et soyez baptisés, et vous recevrez le don du Saint-Esprit!»

À ceux qui écoutent les commandements de Dieu et acceptent l’invitation de Jésus-Christ, Dieu dit: «Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l’heure de la tentation [GRANDE TRIBULATION], qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre.» (Apocalypse 3:10).

David s’exclama: «Celui qui demeure sous l’abri du Très Haut repose à l’ombre du Tout-Puissant. Je dis à l’Éternel: Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie ! C’est lui qui te délivre du filet de l’oiseleur, de la peste et de ses ravages. Il te couvrira de ses plumes, et tu trouveras un refuge sous ses ailes ; sa fidélité est un bouclier et une cuirasse. Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit; ni la flèche qui vole de jour ; Ni la peste qui marche dans les ténèbres; ni pour la contagion qui frappe en plein midi. Que mille tombent à ton côté, et dix mille à ta droite ; tu ne seras pas atteint. De tes yeux seulement tu regarderas, Et verras la rétribution des méchants. Car tu es mon refuge, Ȏ Éternel ! Tu fais du Très-Haut ta retraite. Aucun malheur ne t’arrivera, aucun fléau n’approchera de ta tente. Car il ordonnera à ses anges de te garder dans toutes tes voies.» (Psaume 91: 1-11).

Qu’en est-il de vous? Avez-vous réglé la GRANDE question de votre vie? Que vous arrivera-t-il dans l’avenir? Êtes-vous en sécurité dans les bras de Dieu, sous sa PROTECTION divine? Ne vous y trompez pas! Ce que vous venez de lire dans ce livre est la vérité! Lisez les nombreux livres cités dans la bibliographie! Étudiez bon nombre des documentations disponibles qui PROUVENT nos identités nationales, sans l’ombre d’un doute! Mais n’oubliez pas ceci: que vous croyiez à la vérité de notre identité ou non, la Grande Tribulation VIENDRA EN EFFET!

La prochaine guerre mondiale se traduira par l’utilisation des armes NUCLEAIRES, des armes biochimiques telle la toxine botulinique, le gaz à effet de serre, des armes inimaginables et horribles! Des DIZAINES DE MILLIONS DE PERSONNES mourront!   Il ne s’agit pas de se poser la question de savoir SI une terrible guerre secouera le monde, menaçant l’anéantissement du genre humain. Il s’agit plutôt de savoir QUAND!

Merci à Dieu pour sa vérité ; pour la compréhension de la prophétie ; pour son appel à faire partie de son ŒUVRE DE SENTINELLE en prêchant, en témoignant et en AVERTISSANT un monde mourant et malade du péché! Que Dieu donne vous accorde la conviction personnelle d’agir selon ce que vous connaissez à présent.


BIBLIOGRAPHIE

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